Conscience et mode de vie

« que parfois l homme ne connait pas ses propres limites et que sous l influence d un leader il peut commetre des choses qu il ne s imaginait pas faire...

Ce qui nous entraine a etudier la question deu bien et du mal A présent il faut s'attacher à la différenciation du bien et du mal.

Nous sommes pleinement conscients de nos actes mais ce que l'on considère comme bien ou mal peu être nuancé par notre vécu, notre environnement, la situation dans laquelle nous nous trouvons.

Un parent dont la conscience de vie serait celle de la liberté de son enfant ne lui imposera en théorie pas d'interdictions, de punitions ou de châtiments corporels.

A présent si l'enfant en question commet une faute grave le parent pourrait aller à l'encontre de son mode de vie habituel et il lui infligera une punition conséquente même si il est pleinement conscient que ce qu'il fait est mal .

Ce même enfant devenu adulte appliquera sur ses enfants les mêmes principes que ses parents ont appliqué sur lui.

L'éducation est donc un autre facteur qui permettrait de modeler notre conscience et de définir notre mode de vie.

Le libre arbitre nous permettrait de fixer nos propres limites mais parfois nous ne savons pas faire la diff entre bien et mal.

Prenons l'exemple de la liberté des choix.

Si une personne est homosexuelle ou nudiste il faut respecter son mode de vie mais certaines personnes vont à l'encontre des droits primordiaux de l 'homme et vont empêcher un groupe soit disant différent du leur et de vivre leur vie comme ils le souhaitent. Les actes de charité sont une autre preuve que la conscience reflète notre mode de vie.

Si l'on prend une célébrité telle que Leonardo Di Caprio on s’aperçoit qu'un grand philanthrope se cache derrière l'acteur à la brillante carrière Hollywoodienne.

Cet homme, très investi dans le domaine de l'écologie, se préoccupe du sort que connaîtra notre planète dans quelques années car il est pleinement conscient que les dégâts que les hommes lui font subir finiront par la tuer .

C'est donc à partir de cette prise de conscience que son mode de vie changera vers celui d'un homme plus respectueux de l’environnement.

Il s'engagera donc à lutter pour une cause qui lui tient à cœur en effectuant plusieurs donations et en rejoignant différentes associations qui luttent pour la préservation de l'environnement.

A plus petite échelle il suffit d'être conscient de la misère dans la quelle vivent les sdf pour se préoccuper un peu d'eux en faisant un geste lorsque l'on en croise un.

Mais il se peut aussi que l'on agisse à l'encontre de nos principes sans que on ne le sache au moment ou on commet un acte ( exemple de la tragédie d’œdipe qui épousa sa mère et tua son père sans savoir qui ils sont réellement chez lui la prise de conscience sera tardive puisqu'il comprendra ce qu'il a fait après en avoir subit les conséquences ) .

Dans tous les cas il s'agit d’endosser la responsabilité de nos actes et c'est un véritable questionnement intérieur qui s'établira.

Une remise en question de nous même se fera alors afin d'établir nos propres limites pour ne pas franchir la ligne.

A présent nous allons voir qu'il ne suffit pas d'être conscient de quelque chose puisqu'il faut aussi l'appliquer.

Henri Bergson disait : retenir ce qui n'est plus et anticiper sur ce qui n'est pas encore est la fonction primordiale de la conscience.

Ses propos étaient justes puisque choisir un mode de vie ou effectuer une action suppose que l'on se remémore le passé, que l'on étudie le présent et qu'on anticipe sur le futur afin de prendre conscience de ce que nous faisons et d'admettre ce qu'il en en adviendra.

C'est ainsi que l'on évalue les risques de faire telle ou telle chose.

Après un examen approfondie de la situation notre conscience prendra une décision mais certaines choses échappent parfois à la conscience En effet elle ne peut toujours anticiper des conséquences immorales comme le vol par exemple ; elle peut effectivement prendre conscience des choses après que l'individu est commis un acte.

La conscience emmétrait donc des hypothèses ( sur une conséquence) mais elle ne guiderait pas systématiquement nos actes.

Les actes spontanés telle que la colère les lapsus ou les pulsions sont en dehors du témoignage de la conscience et la dépasserait donc.

Si l'on prend le cas de l'affaire Pistorius, ce jeune athlète paralympique était vu comme un héros en Afrique du Sud.

Il a toujours eu une conduite exemplaire et il s'est battu avec acharnement pour participer aux JO de Londres aux cotes des valides sans jamais baisser le bras.

Mais lorsqu'en février 2013 il a abattue sa petite amie son. »