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de la nature à l'humanité

Publié le 30/04/2014

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Chapitre 2 : De la nature à l'humanité Quelle place l'homme occupe-t-il dans la nature ? Est ce que l'homme est un animal comme les autres ? L'homme est-il un être naturel, crée par la nature comme les autres animaux ou au contraire, l'homme a-t-il rompu avec la nature pour devenir un être de culture ? Concepts importants : Nature : ensemble des phénomènes (milieu minéral, végétal, animal) qui n'ont pas été crées et transformés par l'homme ou la société Naturel / artificiel : est naturel ce qui vient de la nature sans avoir été crée ou transformé par l'homme et contraire pr artificiel Corps = organisme biologique Volonté : c'est se poser des fins et se donner les moyens d'accéder à cette fin Pulsion : voie de la nature en l'homme mais à laquelle sa volonté peut s'opposer Nature et culture s'oppose : inné & acquis Ethnocentrisme : tendance à considérer que sa propre culture est supérieure aux autres Jugement subjectif : jugement qui nous renseigne d'avantage sur le sujet qui l'énonce que sur l'objet jugé. Jugements subjectifs = jugements ethnocentristes = préjugés Relativisme culturel : l'idée que toutes les cultures se valent et qu'aucune n'est supérieure à une autre, chaque culture a ses propres spécificités, ses propres valeurs, il faut les respecter et ne pas les juger. Epoche : s'abstenir de juger Culture humaniste : c'est l'ensemble des connaissances acquises par l'homme, l'instruction, le savoir et notamment la connaissance des plus grandes réalisations de l'homme Immanente / transcendante Habitus = ce sont des comportements intériorisés souvent depuis l'enfance sans avoir conscience Philistin : celui qui a une position dominante dans la société et qui utilise la culture pour affirmer sa domination A retenir : A. L'homme comme être de nature I. Ce que l'homme reçoit de la nature Besoins naturels : il faut nécessairement les satisfaires pour assurer notre survie bilogique&l...

« Homme pas d’instinct exemple de instinct maternel (infanticide, abandon), instinct de survie (pas universel, nécessite apprentissage) IV.

Texte de Mauss, les techniques du corps L’homme est un être social dont le comportement, la pensée, les croyances, etc.

s’expliquent par l’appartenance à une société.

Le corps intériorise des techniques sociales qui lui sont transmises par la tradition.

Le corps lui-même relève de l’appartenance culturelle.

B.

La culture, le monde humain I.

L’homme comme être de culture Pratiques théoriques Pratiques artistiques Pratiques religieuses pas inné = culture, monde humain Pratiques politiques La culture c’est bien le monde humain en tant qu’il a rompu avec la nature On peut considérer la culture comme un édifice qui repose sur 4 piliers, cette structure est universelle : la technique, la droit, l’esthétique, la pratique théorique.

Le langage est le socle de ces 4 piliers.

II.

L’éducation Educ nécessaire pour rentrer dans le monde de la culture  rien n’est inné chez l’homme, tout est de l’ordre de l’acquis.

L’enfant sauvage qui ne côtoie pas la culture ne peux pas devenir homme Enfants sauvages Jean Itard.

Education permet à l’élève de développé ses facultés.

Au départ, l’homme est un être de culture en puissance puis il le devient en acte par l’éducation.

L’être humain actualise sa raison par l’éducation.

L’éducation est nécessaire car l’homme n’a pas d’instinct.

C.

La pluralité des cultures I .

La confrontation des cultures Rapports conflictuels, tendance à considérer que sa propre culture est supérieure aux autres = ethnocentrisme CQ : ethnocentrisme est une source majeur de préjugés, on porte un jugement subjectif sur les autres cultures sans en avoir conscience.

Les différences d’une culture à l’autres sont traitées comme des inégalités.

Par l’éducation et par l’appartenance à une culture, nous intériorisons un système de référence, c-à-d des jugements de valeurs, d’opinion, centre d’intérêts, sans que nous ayons conscience de notre intériorisation.

Préjugé ethnocentriste met au cœur de la hiérarchie culturelle l‘économie et la technologie ce qui créée une distinction entre cultures développées et sous développées.

Si on prend un autre critère la hiérarchie entre les cultures pourrait changer CQ = pour Lévi Strauss, il faut abandonner toute idée de hiérarchie entre les cultures, aucune culture n’est supérieure à l’autre  relativisme culturel II.

Peut-on résister au relativisme culturel ? Le danger du relativisme culturel de Bouveresse (voir en dessous) D.

L’exigence de culture a-t-elle un sens pour l’homme ? Il existe la culture anthropologique et humaniste : anthropologique : ensemble des structures sociales qui composent l’être humain et culture humaniste : c’est l’ensemble des connaissances acquises par l’homme, l’instruction, le savoir et notamment la connaissance des plus grandes réalisations de l’homme I.

Position théorique de la sociologie de la culture, pierre Bourdieu Critère sociologique qui permet de définir ce qui est de la culture ou pas.

Avant Bourdieu on pense que l’expérience artistique et esthétique n’a rien à voir avec la société.

L’expérience esthétique transcende les enjeux sociaux.

Bourdieu est le premier à faire une enquête statistique et sociologique sur les publics qui fréquente les lieux d’arts.

Public qui le fréquente est majoritairement une classe sociale très favorisé.

Même si l’état met en place des dispositifs rendant accessible à tous les lieux de cultures, statistiques n’évoluent pas.

Il ya plus qu’une. »

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