Devoir de Philosophie

Le travail.

Publié le 18/03/2014

Extrait du document

travail
Le travail  Karl Marx : compare l’activité de l'Homme et l'activité de l'animal, il rend hommage à l'excellence de l'activité animale (ex : abeille travaille aussi bien voir mieux que l'Homme). Les gestes de l'animal sont fait de manières productivistes, cela donne l'illusion d'un travail de conception (ingénieur chez l'Homme). Tout de même il y a une distinction radicale à faire entre le travail de l'animal et de l'humain. La différence entre l'activité de l'animal et celle de l'Homme, c'est la représentation, pour l'animal l'activité est synonyme de l’exécution d'un programme. Mais qui a donné à l'abeille son programme ? L'animal ne conçoit pas le geste qu'il exécute alors que l'Homme si donc Marx réserve le concept de travail à l'Homme car travailler c'est exécuter un projet dont on est soi-même l'auteur. Il se peut alors que le travail soit une expression de la faculté pensante de l'Homme. A partir du moment où le travail est une occasion pour nous de développer notre nature pensante. IL fait la différence entre le travail et l'emploi mais aussi entre le travailleur et l'employé.   Hegel rappel quelques que évidences, par exemple qu'il ne travaille pas mais consomme les fruits du travail de l'esclave. On remarque que l'esclave travaille toujours pour le maître mais aussi pour se nourrir donc cela signifie que le travail d'un seul homme est productif. Hegel relativise la jouissance du maître qui est oisive, elle est incapable d'être une satisfaction durable qui est celle de l'esclave. Ce qui signifie que l'état d'esclave n'est pas un état de jouissance mais un état de satisfaction cela vient du fait que l'esclave trouve quand même satisfaction dans son travail. La situation va alors s'inverser car en travail l'esclave se métamorphose en un autre être que le maître ne peut pas voir. La jouissance du maître est presque une illusion, il a la jouissance du consommateur c'est-à-dire du destructeur, il est alors incapable de construire le monde. Le travail réalise la conception objective du monde, l'esclave rencontre la contrainte imposée là où le maître fait ce qu'il veut de ses journées, sauf que pour l'esclave joue un rôle inespérée qui est un rôle éducatif pour l'esclave puisqu'il doit discipliner son être et notamment discipliner ses désirs. L'esclave se libère à son insu sans le savoir et sans le vouloir. Le travail forme est transformé notre nature, c'est une forme d'espoir, c'est pour cela que le travail est vertueux ce qui fait que le travail est en train de renverser le rapport de force qui l'oppose à son maître. Pour Hegel il se passe une sorte de « ruse de la raison » c'est-à-dire le fait que de manière cachée, de manière clandestine, une rationalité du devenir se met en place, il y a une éducation de l'homme qui se met en place mais encore une fois seulement pour l'esclave. Nous sommes forcés de constater une positivité extraordinaire du travail comme accomplissement de l'Homme et de sa nature intelligente où l'Homme se transcende lui-même. Le travail est à la fois pratique et théorique, il est manuel et intellectuel. Hegel passe sous silence la peine au travail, alors même que cette peine peut priver l'esclave de son avenir. Marx veut absolument différencier l'activité animale du travail humain alors qu'il y a malgré tous des similitudes car lorsqu'il travail, l'homme est tourné vers l'entretien de son corps, pour le nourrir. Si nous voulons trouver une spécificité humaine, pourquoi la chercher dans le travail ?   II] – Le travail comme activité imposée par la nature   Il est certain que le travail s'accompagne d'une usure du corps et qu'il n'est pas inoffensif, il y a des effets cumulatifs. Plus le travail est pénible physiquement, plus le temps de vie est court. L'activité animale est axé complètement sur la survie du corps, le corps est consommateur par définition est donc il faut recommencer l'activité pour produire d'autres biens qui seront à leurs tour consommés jusqu'à la mort. Ce cycle est l'image de l'enfermement. L'Homme ne connaît-il pas le destin de l'animal à ce niveau-là ? Oui car le travail pour nous est une manière de nourrir notre corps qui fonctionne lui aussi de manière cyclique. Le travail co...
travail

« discipliner son être et notamment discipliner ses désirs.

L'esclave se libère à son insu sans le savoir et sans le vouloir.

Le travail forme est transformé notre nature, c'est une forme d'espoir, c'est pour cela que le travail est vertueux ce qui fait que le travail est en train de renverser le rapport de force qui l'oppose à son maître.

Pour Hegel il se passe une sorte de « ruse de la raison » c'est-à-dire le fait que de manière cachée, de manière clandestine, une rationalité du devenir se met en place, il y a une éducation de l'homme qui se met en place mais encore une fois seulement pour l'esclave. Nous sommes forcés de constater une positivité extraordinaire du travail comme accomplissement de l'Homme et de sa nature intelligente où l'Homme se transcende lui-même.

Le travail est à la fois pratique et théorique, il est manuel et intellectuel.

Hegel passe sous silence la peine au travail, alors même que cette peine peut priver l'esclave de son avenir.

Marx veut absolument différencier l'activité animale du travail humain alors qu'il y a malgré tous des similitudes car lorsqu'il travail, l'homme est tourné vers l'entretien de son corps, pour le nourrir.

Si nous voulons trouver une spécificité humaine, pourquoi la chercher dans le travail ?   II] - Le travail comme activité imposée par la nature   Il est certain que le travail s'accompagne d'une usure du corps et qu'il n'est pas inoffensif, il y a des effets cumulatifs.

Plus le travail est pénible physiquement, plus le temps de vie est court.

L'activité animale est axé complètement sur la survie du corps, le corps est consommateur par définition est donc il faut recommencer l'activité pour produire d'autres biens qui seront à leurs tour consommés jusqu'à la mort.

Ce cycle est l'image de l'enfermement.

L'Homme ne connaît-il pas le destin de l'animal à ce niveau-là ? Oui car le travail pour nous est une manière de nourrir notre corps qui fonctionne lui aussi de manière cyclique.

Le travail consiste pour à passer tous les jours, des heures uniquement pour reproduire notre force de travail. Les produits du travail sont faits pour être consommés, les produits du travail sont faits pour être consommés par le corps.

Le travail consiste à produire des biens qui seront immédiatement consommés et à entretenir les moyens de production de ces biens.

Il y a une usure de la machine au travail or le corps de l'homme participe de la production est participe de cette usure aussi.

Hannah Arendt : La condition de l'Homme moderne « Le. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles