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Le propylène glycol

Publié le 26/01/2014

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Tpe : La cigarette électronique I/ 2) Composition de la cigarette électronique Propylène glycol :http://www.inrs.fr/accueil/produits/bdd/doc/fichetox.html?refINRS=FT%20226 Le propylène glycol aussi appelé propanediol est le principal composant de l'e-liquide (90%). Le propylène glycol est également utilisé pour la fabrication de résine synthétique comme le polyester ; dans des solvants émulsifiants, humectant, ou conservateurs dans les industries alimentaire, pharmaceutique, dans les cosmétiques et les produits d'hygiène corporelle ; c'est également un composant des fluides hydraulique, antigel, liquide de frein et liquide réfrigérant ; enfin il est utilisé dans l'industrie des encres d'imprimerie et également dans les nettoyants liquides, les détergents. Le...

« Le propylène glycol n’est pas très toxique en exposition aigüe.

C’est un irritant sévère pour les yeux, mais pas pour la peau (l’application sur la peau d’un lapin n’entraine aucune irritation).

Le propylène glycol est un peu toxique en exposition répétée ou prolongée.

Il n’est pas mutagène dans les tests pratiqués.

Plusieurs études par voies orales, cutanée ou sous cutanée ont montré que le propylène glycol n’est pas cancérogène chez le rat et la souris.

Le propylène glycol n’agit ni sur la fertilité ni sur le développement des animaux.

Il n’entraine pas de modification du cycle œstral chez les femelles ni de modification du poids des organes reproducteurs males ou du sperme.

De plus l’administration de propylène glycol par voie orale pendant la gestation n’induit ni toxicité maternelle ou fœtale ni effet tératogène (qui produit des malformations chez l’embryon) chez le rat ou la souris. Pour l’homme le propylène glycol est réputé peu toxique.

Les effets observés font suite à son emploi dans des médicaments, des aliments ou des produits cosmétiques.

Les expositions professionnelles provoquent des irritations cutanées et muqueuses et rarement des allergies cutanées.

L’ingestion par des volontaires d’une forte dose de propylène glycol n’a pas mis en évidence d’effet métabolique ou biologique patent, en dehors d’un effet sédatif isolé.

L’inhalation pendant une heure d’un aérosol contenant 10% de propylène glycol ne provoque aucun effet sur les sujets exposés.

Dans des conditions expérimentales, l’exposition de 27 volontaires à un brouillard contenant une concentration géométrique moyenne de 309 mg/m3 pendant une minute induit une irritation oculaire et respiratoire.

L’administration par voie orale, parentérale ou transcutanée se traduit par la production de métabolite peu toxiques (acide lactique et pyruvique) qui peuvent être responsables de troubles métaboliques sans complication rénale pouvant aller jusqu’à la crise convulsive ou le coma mais guérissant sans séquelle après arrêt de l’administration et du traitement. Il existe un certain nombre de texte réglementent l’usage du propylène glycol notamment dans le monde du travail concernant les mesures de prévention des risques chimiques, l’aération et assainissement des locaux, la prévention des incendies et des explosions, les maladies de caractère professionel. »

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