Le sujet pose une question des plus déconcertantes. En effet, alors que l’origine de la philosophie remonte à Héraclite ou à Parménide pour le monde occidental – c’est-à-dire il y a plus de VI siècle ! –, alors que nous n’avons cessé de penser et de philosopher depuis lors, il nous demande si l’étonnement est à la base de l’acte de philosopher. Comme si nous pouvions nous étonner encore après plus de vingt-sept siècles de philosophie. Comme s’il y avait encore des sujets inexplorés qui provoqueraient encore en nous un étonnement nouveau. Les philosophes ne parlent-ils pas toujours de la même chose ? Ne pensent-ils pas toujours les mêmes sujets ? De quoi pourraient-ils bien s’étonner ? Qu’est-ce que l’étonnement si après tous siècles il agit encore en nous ? Et comment peut-il être la « base « de la philosophie ? Enfin, la philosophie est-elle un « acte « comme le présuppose le sujet ?
- Développement rationnel des étapes idéales par lesquelles une réalité quelconque se constitue et qui permet d'en expliquer les propriétés actuelles ; en ce sens, l'origine suppose bien un commencement, mais il n'est pas placé dans un temps historique, dans une chronologie réelle ; c'est en ce sens que l'on parlait, au XVIIIe siècle, de l'origine du langage, de l'inégalité, etc. ; SYN. genèse ; l'idée moderne selon laquelle, dans le langage par ex., la totalité est donnée avant les éléments qui se définissent par leurs relations matérielles, semble exclure cette approche. 5. - Original : a) Ce dont autre chose est la copie ou la représentation ; SYN. modèle. b) Qui ne ressemble à rien d'autre ; (péjoratif) fantasque. 6. - Originaire : a) Qui tire son origine de.
Qui remonte à l'origine, qui existe depuis toujours.
Acte par lequel un avocat reçoit un mandat de son client pour le représenter et l'assister dans un procès.