La question est donc ici celle de l’opportunité/de la nécessité du recours aux passions en politique. Autrement dit, comment faut-il, en politique, employer, réguler les passions, si on ne fait pas le choix de les réprimer totalement ? Répondre à cette question demande de poser d’abord celle des conséquences de la présence des passions en politique : par exemple, si l’on schématise, la présence de la colère dans la vie politique pourra amener à des instabilités, à une absence de garantie de la justesse de toutes les décisions prises ; la présence de la joie pourrait renforcer le corps politique. Il semble donc possible de faire un certain usage des passions en politique. La question est celle de la pertinence, ou de l’éventuel danger de cet usage : la politique ne doit-elle pas justement être une activité abritée de tout ce que les passions peuvent avoir d’instable et d’aléatoire ? Les passions ne sont-elles pas un moteur bien trop puissant, susceptible d’aliéner les esprits des membres du corps politique ? (on pourra donner l’exemple de l’organisation nazie appelée « Kraft durch Freude «, « la force par la joie «). En même temps, ne pourrait-on pas concevoir une manière de régler l’usage des passions en politique pour profiter de la puissance de leur force motrice sans en subir les risques ? Ce sont autant de questions qui permettent d’aborder ce sujet.
La question est donc ici celle de l'opportunité/de la nécessité du recours de la passion en politique. Autrement dit, comment faut-il, en politique, employer, réguler les passions, si on ne fait pas le choix de les réprimer totalement ?Répondre à cette question demande de poser d'abord celle des conséquences de la présence des passions en politique : par exemple, si l'on schématise, la présence de la colère dans la vie politique pourra amener à des instabilités, à une absence de garantie de la justesse de toutes les décisions prises ; la présence de la joie pourrait renforcer le corps politique. Il semble donc possible de faire un certain usage des passions en politique. La question est celle de la pertinence, ou de l'éventuel danger de cet usage : la politique ne doit-elle pas justement être une activité abritée de tout ce que les passions peuvent avoir d'instable et d'aléatoire ? Les passions ne sont-elles pas un moteur bien trop puissant, susceptible d'aliéner les esprits des membres du corps politique ? (on pourra donner l'exemple de l'organisation nazie appelée « Kraft durch Freude «, « la force par la joie «). En même temps, ne pourrait-on pas concevoir une manière de régler l'usage des passions en politique pour profiter de la puissance de leur force motrice sans en subir les risques ? Ce sont autant de questions qui permettent d'aborder ce sujet.Références utiles : Spinoza, Traité théologico-politique.
Ce mot a trois sens: A) Il désigne toute substance matérielle que l'homme peut percevoir et qui existe en dehors de lui. En ce sens, un corps possède une masse, occupe un espace et a trois dimensions. B) Il désigne le corps humain, dont les propriétés physiques font l'objet d'études anatomo-physiologiques. C) Il désigne enfin cet épace occupé par la pensée de chacun.
Descartes appelle "passions" toutes les affections de l'âme résultant de l'action du corps sur celle-ci.
Moyens et mesures juridiques permettant au créancier de faire respecter l'engagement pris avec le débiteur, contre une éventuelle insolvabilité.
Voie de recours de second degré permettant la réformation ou la confirmation d'une décision prise en première instance.