Cette puissance de la volonté, qu'on appelle le libre arbitre, constitue, selon Descartes, « la principale perfection de l'homme », car elle le rend maître de ses actions. Quand bien même un mensonge me tirerait d'affaire, je demeure libre de ne pas mentir, c'est-à-dire de donner la préférence au devoir de dire la vérité, plutôt qu'à mon intérêt.Ainsi compris, le libre arbitre nous rend entièrement responsables de nos actes. Dès lors qu'un homme est capable de distinguer le bien et le mal, le choix du mal ne peut être imputé seulement à des conditions extérieures (au passé du sujet, par exemple, ou au milieu qu'il fréquente) : c'est le choix d'une volonté qui pouvait tout aussi bien faire le choix opposé. Suite et fin du devoir (un second et dernier code PassUp vous est demandé. Ce code vous coûtera 1,80 euros).
CITATIONS: « La principale perfection de l'homme est d'avoir un libre arbitre, et [...] c'est ce qui le rend digne de louange ou de blâme. » Descartes, Principes de la philosophie, 1644. « Si à un instant la roue du monde s'arrêtait et qu'il y eût là une intelligence calculatrice omnisciente pour mettre à profit cette pause, elle pourrait continuer à calculer l'avenir de chaque être jusqu'aux temps les plus éloignés et marquer chaque trace où cette roue passera désormais.
Pouvoir de choisir. Le libre arbitre se rapproche de la liberté d'indifférence, qui est le pouvoir de choisir entre des contraires.
Au sens large, ensemble des forces psychiques portant à l'action. Inclinations, désirs, passions relèvent de la volonté ainsi entendue. C'est la détermination arrêtée d'accomplir une certaine action. VOLONTE DE PUISSANCE: Cette notion n'a, dans la philosophie de Nietzsche, aucune connotation militaire, belliqueuse. Celui qui est puissant est celui qui a le courage et la force de réaliser ce que la vie lui demande de réaliser. VOLONTE GENERALE: Selon Rousseau, elle ne peut pas s'identifier seulement à la majorité. La volonté générale est unanime. Elle exprime en sa totalité l'esprit d'une communauté.
Acte par lequel un avocat reçoit un mandat de son client pour le représenter et l'assister dans un procès.
Décision rendue par une juridiction du second degré : cour d'appel, par exemple.