Du grec éthos, « mœurs «. Doctrine qui concerne la conduite de la vie, selon la finalité qu'on lui assigne. Elle est ancrée dans l'Ici et maintenant de la vie humaine en société, alors que la morale est davantage un impératif absolu, sans égard au contexte.
Par ailleurs, cette position fait fi de ce qui fait justement le mystère de la violence: l’homme est le seul être proprement violent. Lorenz est donc inconséquent dans sa démarche: les animaux ne connaissent pas la violence gratuite, la gratuité qui fait la violence. La violence n’est pas l’usage de la force, elle est l’excès dans l’usage de la force: quand on utilise plus de force qu’il n’est besoin pour aboutir à un certain résultat. Exemple: on parle de "violences policières", non quand des C.R.S dispersent des manifestants, mais quand ils le font avec un "excès de zèle", avec plus de violence que nécessaire pour arriver au résultat escompté.
Qui ne comporte aucune restriction ou r�serve, qui est valable pour tous et en tous temps. S'oppose � relatif. Ce qui est absolu n'est pas consid�r� comme un rapport � autre chose.
Caractère de ce qui tend vers un but de façon consciente (le médicament a pour finalité de soigner le malade).
Application brutale de la force par des moyens physiques ou psychologiques non maîtrisés par la raison.
Du latin violentia, "abus de la force". A l'origine, le terme désigne le fait "d'agir sur quelqu'un ou de le faire agir contre sa volonté, en employant la force ou l'intimidation.