La liberté semble faire l’objet d’une expérience ou tout au moins d’un désir universel. Partout, nous voyons des combats pour la liberté. Chacun semble donc vouloir être libre. Cependant, ce désir ne fonde pas ni la définition à donner à la liberté, ni une preuve de l’existence réelle de cette liberté. Il est vrai que la liberté est complexe à définir parce qu’elle couvre de nombreux domaines différents : liberté politique, liberté de penser, liberté d’action, liberté morale,…. Dans un premier temps, la liberté désigne la possibilité de faire ce que l’on veut. Je suis libre lorsque je peux mettre en œuvre ce que j’ai envie ou ce que j’ai décidé de faire. Or, le terme « perdre « signifie être privé de quelque chose dont on était en possession. Ainsi, il implique que la liberté soit première pour que l’homme puisse en être privée. Il s’agit ici de savoir donc si perdre la liberté a une signification, s’il est possible que cette expression s’incarne dans une situation. Or, il semble dans un premier temps, que l’homme peut ne plus être libre, devenir esclave. C’est une situation que l’on voit tous les jours. Pourtant, l’homme est-il premièrement libre ? Ne doit-il pas gagner la liberté ? De plus, l’homme n’a-t-il pas toujours le choix entre la liberté et l’esclavage ?
Mon pouvoir d'accomplir des actes est très limité, par les lois de la nature ou les lois juridiques. Quant à mon pouvoir de faire réussir mes actions, il est quasiment nul, puisque cela dépend du concours du reste du monde, ou encore de la chance. En y réfléchissant bien, je ne suis pas absolument certain d'être encore vivant demain ou tout à l'heure. Tant de choses peuvent arriver... En revanche, il est une chose qui ne dépend que de moi, sur laquelle j'ai un pouvoir absolu : c'est ma volonté. Moi seul décide de ce que je veux. Par exemple, si je ne veux pas aller à un endroit, on peut m'y contraindre par la force, mais on n'aura pas pu changer ma volonté. Je découvre, par cette réflexion, que je possède, comme chaque homme, une volonté absolument libre, ou encore un libre-arbitre, comme disent les philosophes. Je dispose donc d'un domaine de pouvoir et de liberté, qui est tout intérieur à moi-même. Le secret du bonheur.
Qui ne comporte aucune restriction ou r�serve, qui est valable pour tous et en tous temps. S'oppose � relatif. Ce qui est absolu n'est pas consid�r� comme un rapport � autre chose.
Etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du cœur et de l'esprit.
Personne de condition non libre, qui peut être vendue et achetée et forcée à travailler, le plus souvent sans autre contrepartie que le logement et la nourriture.
Eléments du langage qui associent d'une façon conventionnelle une suite de sons et un concept.
Au sens large, ensemble des forces psychiques portant à l'action. Inclinations, désirs, passions relèvent de la volonté ainsi entendue. C'est la détermination arrêtée d'accomplir une certaine action. VOLONTE DE PUISSANCE: Cette notion n'a, dans la philosophie de Nietzsche, aucune connotation militaire, belliqueuse. Celui qui est puissant est celui qui a le courage et la force de réaliser ce que la vie lui demande de réaliser. VOLONTE GENERALE: Selon Rousseau, elle ne peut pas s'identifier seulement à la majorité. La volonté générale est unanime. Elle exprime en sa totalité l'esprit d'une communauté.