Analyse du sujet : Un sujet qui interroge sur la relation entre la certitude – l'état de l'esprit qui donne son assentiment sans aucune crainte d'erreur – et le vrai, la conformité avec le réel.
Conseils pratiques : Le terme de "certain” doit être questionné : il est ambigu, puisqu'il renvoie, soit à une attitude subjective, soit à des critères objectifs. Cette distinction vous permettra d'élaborer une stratégie de dissertation.
INTRODUCTION
Toute pensée se voulant sérieuse est en quête de la vérité. Mais à quoi se reconnaît cette dernière? Qu'est-ce qui peut nous garantir sa présence? La certitude est-elle un indice suffisant de la vérité?
Introduction
I. Le problème : la certitude se produit à l'occasion du vrai comme du faux.
1. La certitude, marque du vrai. 2. La certitude peut néanmoins se produire à l'occasion du faux. 3. Cette ambiguïté de la certitude nourrit le scepticisme.
II. Il est néanmoins possible de rétablir l'unité de la certitude et de la vérité.
1. Critique du scepticisme. 2. Il est possible de s'assurer du vrai. 1 3. Des précautions à observer pour éviter l'erreur.
III. D'où vient le décalage entre certitude et vérité?
1. Le décalage entre certitude et vérité vient d'un acte de la volonté. 2. Les limites de la théorie cartésienne de l'erreur. 3. Critique spinoziste de la théorie cartésienne de l'erreur. Conclusion
La notion d'esprit revêt plusieurs sens. Elle désigne d'une part l'intellect, la raison, la pensée. Elle désigne d'autre part l'âme, l'être immatériel qui constitue notre intériorité, notre personnalité. Les philosophes classiques ne faisaient pas de différence entre les deux: l'âme, qui relève du sentiment que nous avons de nous-mêmes, est aussi le siège de la pensée. C'est peut-être une indication qu'affectivité et raison sont plus étroitement unies qu'on ne le croit, dans l'esprit, précisément.
Doctrine selon laquelle on ne peut affirmer aucune vérité. Le scepticisme peut inciter à relativiser la vérité (il n'y a pas une vérité absolue, mais des vérités partielles.
Au sens large, ensemble des forces psychiques portant à l'action. Inclinations, désirs, passions relèvent de la volonté ainsi entendue. C'est la détermination arrêtée d'accomplir une certaine action. VOLONTE DE PUISSANCE: Cette notion n'a, dans la philosophie de Nietzsche, aucune connotation militaire, belliqueuse. Celui qui est puissant est celui qui a le courage et la force de réaliser ce que la vie lui demande de réaliser. VOLONTE GENERALE: Selon Rousseau, elle ne peut pas s'identifier seulement à la majorité. La volonté générale est unanime. Elle exprime en sa totalité l'esprit d'une communauté.
Chiffre de référence utilisé pour indiquer les variations de l'activité économique d'un produit ou d'un
secteur et servant à rééva
luer les prix.
Exemple : indice du coût de la construction, indice des prix à la consommation...