■Conception née au XVIIe siècle, défendue en particulier par Descartes, selon laquelle les êtres vivants ne sont rien d'autre que des machines. L'explication du vivant est alors réduite aux propriétés physicochimiques de la matière, sans appel au concept de vie.
■Le mécanisme s'oppose au finalisme et au vitalisme.
la liberté s'insérant dans la nécessité et la tournant à son profit. « Bergson, L'Énergie spirituelle, 1919. La vie, pour Bergson, tranche radicalement sur la matière. Le monde matériel obéit à des lois immuables et nécessaires. Dans ce monde régi par le déterminisme le plus strict, le vivant introduit l'indétermination et la spontanéité ; d'une façon toujours imprévisible, il « se nourrit« en effet de la matière pour la transformer à son profit. « Dieu et la Nature ne font rien en vain. « Aristote, Du ciel, ive s. av. J.-C.
Idée abstraite et générale construite par l'esprit. Soit une classe d'objets, de phénomènes. De ces objets, de ces phénomènes, l'esprit abstrait des propriétés communes. Le concepts permet de donner une définition ayant la même extension que cette classe. Le concept de chaise contient tous les éléments communs à l'ensemble des chaises.
Doctrine selon laquelle le monde obéit à un but plus ou moins caché. Le finalisme conduit à expliquer les phénomènes du monde matériel ou moral par l'intervention d'un esprit créateur ou providentiel.
Doctrine selon laquelle le vivant est soumis à des lois qui lui sont spécifiques.
Voie de recours de second degré permettant la réformation ou la confirmation d'une décision prise en première instance.