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Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde

Publié le 07/09/2018

Extrait du document

L'action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux, Nicolas Poussin, se rend rat domicile de Maitre Porbus, un célèbre peintre de cour, dans l'espoir de devenir son élève. Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre.

> QUESTION                                                        [4 pts]

Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle

mesure le transposent-ils ?

Votre réponse n' excèdera pas une trentaine de lignes.

> TRAVAIL D'ÉCRITURE                                       [16 pts]

1 - Commentaire

Vous ferez un commentaire du texte de Balzac (texte 1).

II - Dissertation

En partant des textes du corpus, vous vous demanderez si la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu'à imiter le réel. Vous vous appuierez aussi sur vos lectures personnelles et les œuvres étudiées en classe.

III - Écrit d'invention

 

Le narrateur du Temps retrouvé croise une femme qu'il a aimée dans sa jeunesse et pour laquelle il conserve une vive affection. Il perçoit, sous ses traits vieillissants, les traces de sa beauté d'autrefois. En vous inspirant de l'extrait proposé (texte 4), vous imaginerez la description qu'il pourrait en faire.

·       Victor HUGO, L'Homme qui rit (1869)

 

L’action se déroule en Angleterre, à la fin du XVIIe siècle. Enfant, Gwynplaine a été enlevé par des voleurs qui l'ont atrocement défiguré pour en foire un monstre de foire : ses joues ont été incisées de la bouche aux oreilles, de façon à donner l'illusion d'un sourire permanent. Devenu adulte, il se produit dans une troupe de comédiens.

« SUITES DE LA R�VOLUTION à néant toutes ses ambitions, et sauva sans doute la liberté anglaise.

De mémorables interventions de Burke (discours sur la taxation des Américains, 1774; discours sur la conciliation avec l'Amérique, 1775), au cours du combat par lui livré pour empêcher la sécession des treize colonies, avait mis le sceau à sa réputation.

Réputation d'indomptable libéral, de magnifique, puissant et somptueux orateur politique.

Mais ensuite, Burke, aux prises avec la crise très grave où se débattait le parti whig, scindé en coteries rivales, avait commis, semble-t-il, des fautes de tactique et de jugement.

Il s'était laissé aller à des écarts, à une certaine intempérance, revers de sa riche et généreuse nature irlandaise.

La dissolution de 1784, triomphe du second Pitt, avait marqué, avec la durable défaite whig, la fin des espoirs politiques de Burke.

Lorsque éclate la Révolution française, la réputation du grand whig est en déclin ; les jeunes gens jugent surannée son éloquence ; plusieurs fois il a paru manquer du sens des proportions ; dans son propre parti, on le tient à l'écart : trop impérieux, intraitable et violent ; ses ennemis s'acharnent à le décrier, le persécutent ; la moitié de la nation anglaise, nous dit-on, le considère alors comme u un fou » plein de dons.

14 juillet 1789, prise de la Bastille.

Le célèbre whig Fox, ami de Burke, s'exalte : voilà le plus grand événement de l'histoire du monde, et le plus heureux.

Dans bien des cœurs anglais, qui avant peu maudiront la France satanique, sonne pour le moment l'heure des vœux généreux.

Quels accents enflammés ne peut-on attendre de l'ardente bouche irlandaise qui, contre l'opinion populaire, celle du Parlement, celle de la Cour, avait défendu la liberté américaine -maintenant qu'à son tour se lève, éclairant l'Europe, la liberté française! Or Burke se tait ; silence réticent ; son premier mouvement a été défavorable.

En 1773, Burke avait fait un voyage en France.

Marie-Antoinette avait seize ans alors, et n'était que dauphine; il l'avait vue à Versailles et admirée.

Ce souvenir devait lui inspirer, dans les Réflea:ions, une page d'anthologie («elle était ainsi que l'étoile du matin, brillante de santé, de bonheur et de gloire»).

Mais Burke à Paris avait aussi pris contact avec «les philosophes n du temps ; ces «encyclopédistes» et. »

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