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« Nous avons construit un monde où l’intelligence est la première des facultés, où la science et la technique nous tire en avant, et nous chutant, en produisant, plus de misères de famines, de maladies ».

Publié le 18/04/2013

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Dissertation français « Nous avons construit un monde où l'intelligence est la première des facultés, où la science et la technique nous tire en avant, et nous chutant, en produisant, plus de misères de famines, de maladies «. Michel Serres, philosophe français né en 1930. Depuis la nuit des temps, l'être humains a toujours naturellement été orienté vers le progrès, le perfectionnement de son environnement. Le progrès peut être présent dans l'économie, la politique, la science, les techniques industrielles, ou plus généralement, dans les branches ayant une répercussion au sein de notre mode de vie ou de pensées. Le progrès, souvent à tort, est associé indissociablement à l'évolution du genre humain, hors le progrès sous-entend l'idée d'une amélioration, tel que le progrès technique, qui permet d'améliorer le confort de nos vies. Ce qui n'est pas le cas de l'évolution. D'icelle est un passage progressif d'un état à un autre. L'évolution est donc une notion à priori alors que le progrès est une notion a posteriori. De ce fait si le progrès prend forme après l'expérience cela amène à une amélioration de la condition de vie suite à l'observation d'une carence. Cette amélioration est néanmoins continuellement à double tranchant. Certes le progrès des sciences et des techniques utilisés quotidiennement facilitent notre existence, mais sont également une des premières causes de la décadence de l'humanité ou plus spécifiquement de notre société mondialisée. Michel Serres, philosophe français du XXe siècle expose son point de vu sur les causes progressistes engendrant la misère sociale de notre civilisation : « Nous avons construit un monde où l'intelligence est la première des facultés, où la science et la technique nous tire en avant, et nous chutant, en produisant, plus de misères de famines, de maladie «. La fac...

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