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COUPAILLÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.

Publié le 27/11/2015

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COUPAILLÉ, -ÉE, participe passé et adjectif. I.— Participe passé de coupailler* II.— Emploi adjectival. Qui est coupé en petits morceaux, de façon irrégulière. Les poumons ramollis, coupaillés, tombant en copeaux (ANTONIN ARTAUD, Le Théâtre et son double, 1938, page 26 ). — Au figuré. Entrecoupé, interrompu. La nuit (...) toute coupaillée de chants rétrécis et incohérents comme le hoquet (LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, page 164 ). Remarque : On rencontre dans la documentation les variantes coupassé (GEORGE SAND, Les Maîtres sonneurs, 1853, page 121) et coupacé. Les opérés coupacés et livides, en plusieurs tronçons (LÉON DAUDET, Devant la douleur, 1931, page 65). Fréquence absolue littéraire : 3

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