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Dictionnaire en ligne: DÉBORDANT, -ANTE, participe présent et adjectif.

Publié le 11/12/2015

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Dictionnaire en ligne: DÉBORDANT, -ANTE, participe présent et adjectif. I.— Participe présent de déborder* II.— Adjectif. A.— Qui déborde, passe les limites de son contenant Un flot débordant Une femme passait portant sur l'épaule une cruche débordante (MAXIME DU CAMP, Le Nil, Egypte et Nubie, 1854, page 98 ). — [En parlant d'une partie du corps qui fait saillie] Gorge débordante, ventre débordant. — Au figuré, usuel. [En parlant d'un sentiment, d'une activité] Qui, au-delà de la norme, se manifeste avec force et profusion. Coeur débordant de [joie] , imagination débordante; être débordant de joie, de santé. Une éloquence abondante, débordante, lui jaillissait de la bouche (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Charles Demailly, 1860, page 148) : Ø [À propos de Rivarol] Je n'ai point connu de conversation littéraire plus débordante, plus vive, plus animée, plus pittoresque, plus fertile en heureuses citations... CHARLES-JULIEN LIOULT DE CHÊNEDOLLÉ, Journal, 1821, page 108. SYNTAXE : Être débordant d'amertume, d'amour, de gratitude, de sympathie, de tendresse; enthousiasme débordant; activité, joie débordante. B.— ART MILITAIRE. Qui a pour objet de dépasser une des ailes du dispositif pour attaquer l'ennemi de flanc. Mouvement débordant (Confer déborder II A 3). L'ensemble de notre dispositif devait pivoter autour de sa droite devant le mouvement débordant effectué par l'ennemi contre l'aile gauche (MARÉCHAL JOSEPH JOFFRE, Mémoires, tome 1, 1931, page 359 ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 509. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 234, b) 762; XXe. siècle : a) 1 215, b) 825. Forme dérivée du verbe "déborder" déborder DÉBORDER, verbe. I.— Emploi intransitif. A.— [Le sujet désigne un contenant] 1. [Généralement un cours d'eau] Dépasser brusquement les bords de son lit et répandre ses eaux. La rivière a (est) débordé(e) (d'après le Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Le fleuve, le ruisseau, le torrent déborde. Le fleuve enflé par eux, s'élève à gros bouillons, Et déborde dans les campagnes (JEAN-PIERRE CLARIS DE FLORIAN, Fables, 1792, page 37) : Ø 1. Ils [les nuages] crèvent en torrents d'eau, tout déborde, la crue monte de minute en minute, au milieu du mugissement du vent, des grondements du tonnerre et du fracas aussi des arbres prodigieux qui s'écroulent. JOSEPH DE PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1932, page 104. — Par métaphore et au figuré. La révolte au contraire [du ressentiment] fracture l'être et l'aide à déborder. Elle libère des flots qui, de stagnants, deviennent furieux (ALBERT CAMUS, L'Homme révolté, 1951, page 30) : Ø 2.... de sa voix sirupeuse. Durosier fait une conférence. Il est en verve; il déborde; et les mots coulent sur sa barbe, coulent, coulent... MAURICE GENEVOIX, La Boue, 1921, page 101. — Le coeur déborde, il s'épanche. Son coeur débordait, pareil à une coupe pleine, et il était heureux (ÉDOUARD ESTAUNIÉ, L'Ascension de Monsieur Baslèvre, 1919, page 201 ). 2. Par extension. [Le sujet désigne un contenant quelconque] La baignoire, la casserole déborde. Comme on voit sur un brasier le vase d'airain fumer d'abord, frissonner, bouillonner et déborder ensuite (JEAN DUSAULX, Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788, tome 1, 1796, page 14 ). — Proverbial et figuré. Une goutte d'eau suffit pour faire déborder un vase plein; c'est la goutte (d'eau) qui fait déborder le vase. Un dernier fait ajouté à une longue série finit par lasser la patience. Une goutte fait déborder le vase et un ennui de détail peut faire éclater la colère que mille autres choses ont préparée, et accumulée (HENRI-FRÉDÉRIC AMIEL, Journal, 1866, page 510 ). 3. Au figuré. a) [Le sujet désigne une chose] Avoir en surabondance quelque chose. Les journaux débordaient de détails (ÉMILE ZOLA, Au Bonheur des dames, 1883, page 764 ). Jardins qui débordent de vernis du Japon, de tilleuls et d'yeuses (JEAN GIONO, Voyage en Italie, 1953, page 70) : Ø 3. Je n'en veux pour preuve que cet orgueil païen, dont ce poème [Booz endormi] est plein, dont ce poème déborde, dont ce poème regorge, cette aisance, cette plénitude charnelle, ce jeu, cette sorte d'amusement, ce défi constant dans l'expression même. Jamais un fleuve ne s'était autant amusé. CHARLES PÉGUY, Victor-Marie, comte Hugo, 1910, page 754. b) [Le sujet désigne une personne, l'objet indirect un état, un sentiment qui se manifeste dans le comportement] Déborder de joie, d'enthousiasme. Elle débordait d'une telle félicité, que, cédant à son besoin d'expansion, elle se tourna vers Jacques, vers cet inconnu, pour lui sourire (ÉMILE ZOLA, La Bête humaine, 1890, page 184) : Ø 4.... il lui fallait [à Henry] à toute force un ami, un confident, son coeur débordait de larmes contenues. Oh! qu'un mot de pitié l'eût rendu heureux, qu'une caresse l'eût délecté!... GUSTAVE FLAUBERT, La Première éducation sentimentale. 1845, page 95. SYNTAXE : Déborder d'allégresse, d'amertume, d'amitié, d'amour, de fureur, de gratitude, de haine, de tendresse; déborder de jeunesse, de vie. — Vieilli. Déborder en. [Indiquant la manière dont s'exprime le sentiment, l'état] Déborder en injures, en imprécations (Dictionnaire de l'Académie française. 1932) : Ø 5.... je n'étais plus un homme, j'étais un hymne vivant, criant, chantant, priant, invoquant, remerciant, adorant, débordant en effusions sans paroles;... ALPHONSE DE LAMARTINE, Raphaël, 1849, page 162. — [Par ellipse du complément prépositionnel] Se mettre en colère : Faire déborder quelqu'un. Le voyant là debout, devant lui avec sa mine solennelle, insolemment impassible et froide, il [Napoléon devant Talleyrand] ne pouvait se contenir, il débordait. (CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Nouveaux lundis, tome 12, 1863-69, page 63 ). B.— Par métonymie. 1. [Le sujet désigne le contenu liquide] Dépasser les bords de son contenant et se répandre. L'eau, le lait déborde. Oubliez le champagne au milieu des glaçons : laissez bouillonner sa mousse; laissez-la déborder et couler à longs flots sur le cou brun des bouteilles (EUGÈNE SUE, Atar Gull, 1831, page 18 ). · Par métaphore et au figuré. La joie, la gaîté, la vie déborde. Ma passion déborda par des mots flamboyants (HONORÉ DE BALZAC, La Peau de chagrin, 1831, page 167 ). Ma jeunesse, longtemps contenue, déborda; mes sens déchaînés se prodiguèrent (CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Volupté, tome 1, 1834, page 176 ). — MÉDECINE. S'écouler brusquement avec intensité. Les larmes débordent; la bile déborde. 2. Par analogie. [Le sujet désigne des personnes qui font irruption ou se répandent à la manière d'un fleuve en crue] Les ennemis recevaient des renforts, débordaient de partout (ÉMILE ZOLA, La Débâcle, 1892, page 297) : Ø 6. Le 9 mai, lendemain de la victoire, je me rendis à Notre-Dame pour le Te Deum solennel. Le cardinal Suhard m'accueillit sous le portail. Tout ce qu'il y avait d'officiel était là. Une multitude emplissait l'édifice et débordait aux alentours. CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1959, page 252. II.— Emploi transitif. A.— Franchir, dépasser le bord de quelque chose. 1. Vieilli. [En parlant d'un cours d'eau] Que la Seine s'acharne Et déborde ses quais (RAOUL PONCHON, La Muse au cabaret, 1920, page 39 ). — Emploi pronominal. Le fleuve s'était débordé la nuit précédente (GERMAINE NECKER, BARONNE DE STAËL, Corinne ou l'Italie, tome 3, 1807, page 372 ). 2. Dépasser le(s) bord(s) d'une autre chose, des objets environnants. Cette pierre déborde l'autre de trois centimètres (Dictionnaire de l'Académie française. 1932). Sa lèvre inférieure débordait un peu l'autre, à peu près comme dans son sommeil (JULES MICHELET, Mémorial, 1820-22, page 216) : Ø 7. Tous les jeudis soir on me menait chez ma tante. C'était là, dans cette petite rue, une vieille maison obèse qui débordait l'alignement de tout son ventre soutaché de balcons de fer. JEAN GIONO, L'Eau vive, 1943, page 42. — Absolument. Cette frange déborde; la doublure de cet habit déborde (Dictionnaire de l'Académie française. 1835, 1878). La dentelle qui déborde (STÉPHANE MALLARMÉ, La Dernière mode, 1874, page 813 ). — Au figuré. Dépasser ce qui avait été prévu, délimité. Déborder les frontières, les limites, le plan, le sujet. Ce livre débordera (...) deux volumes (VICTOR HUGO, Correspondance, 1859, page 288 ). Déborder les cadres du contrat (confer Émile Durkheim, De la division du travail social, 1893, page 192 ). Les attributs du Dieu chrétien déborderont en tous sens ceux du dieu d'Aristote (ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, tome 1, 1931, page 54 ). Intransitivement. Déborder du sujet, de son rôle : Ø 8.... ils [les Français] comprennent que vous ne voulez pas laisser la civilisation germanique déborder ses limites, briser d'anciennes digues et couvrir les territoires gallo-romains où elle ruinerait les plus précieuses cultures. MAURICE BARRÈS, Mes cahiers, tome 9, 1911-12, page 168. 3. ART MILITAIRE. Étendre son front de manière à dépasser les bords, c'est-à-dire les ailes, de l'armée ennemie pour l'attaquer sur les flancs et l'arrière, l'encercler. Être débordé par la droite, par la gauche. L'avant-garde de notre flotte débordait celle des ennemis (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Ils se développèrent sur une grande ligne droite, qui débordait les ailes de l'armée punique, afin de l'envelopper complètement (GUSTAVE FLAUBERT, Salammbô, tome 1, 1863, page 166 ). — Par analogie. SPORTS. Obtenir l'avantage par une manoeuvre de contournement, faire un débordement*. Déborder un adversaire. Absolument. Bossis, monté à l'attaque, transmet la balle à Émon qui déborde et centre sur Pintenat (Onze, Compte rendu du match France-Tchécoslovaquie, n° 4, 27 mars 1976). 4. Au figuré. [Le sujet désigne tout ce qui, à l'image du fleuve ou de l'ennemi, submerge, dépasse] La politique (...) nous déborde, elle nous ennuie, on la trouve partout (HONORÉ DE BALZAC, Les Illusions perdues, 1843, page 286 ). — Surtout au passif. Être dépassé (par les événements) au point d'être incapable de redresser la situation. Les chefs de l'émeute auraient voulu s'arrêter, mais ils furent débordés (Dictionnaire de l'Académie française. 1932) : Ø 9. Nous avons tous l'impression d'être débordés, d'être dépossédés, d'être désarmés, d'être joués... sans savoir comment ni par qui... Chacun fait ce qu'il a dit qu'il ne ferait pas;... ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, L'Été 1914, 1936, page 476. B.— Éloigner, retirer du bord. 1. Déborder les draps, la couverture. En retirer les bords qui sont glissés sous le matelas. Déborder les draps et rejeter les couvertures (confer André Gide, Les Caves du Vatican, 1914, page 702 ). — Par extension. Déborder un lit, un malade (confer Roger Martin du Gard, Les Thibaut, La Mort du père, 1929, page 1281 ). — Emploi pronominal. Cet enfant se déborde toujours (LITTRÉ). Chaque élève s'est glissé dans ses draps, comme dans un étui en se faisant tout petit, afin de ne pas se déborder (JULES RENARD, Poil de carotte, 1894, page 129 ). 2. MARINE. a) Déborder les avirons. Les retirer du bord et les rentrer à l'intérieur. b) Déborder une embarcation, une chaloupe. La détacher du bord ou l'éloigner du bord du quai ou du navire et la pousser au large. — Absolument. [Le sujet désigne l'embarcation, les personnes qui s'y trouvent] : Ø 10. Au nom de l'équipage, il présenta à son honneur ses voeux pour le succès de l'expédition. Le canot déborda, et un tonnerre de hurrahs éclata dans les airs. En dix minutes, l'embarcation atteignit le rivage. JULES VERNE, Les Enfants du capitaine Grant, tome 2, 1868, page 90. — À l'impératif. Déborde, débordez. Ordre à la chaloupe de quitter le navire et d'aller au large (confer amener exemple 19). Dès que l'embarcation touchera l'eau, aux avirons, débordez (ÉDOUARD PEISSON, Parti de Liverpool, 1932, page 235 ). c) Emploi pronominal. Se détacher du bord d'un vaisseau qu'on avait abordé. Antonyme : aborder. Nous fîmes tous nos efforts pour nous déborder (Dictionnaire de l'Académie française. 1835-1932). Absolument. Après l'abordage, il ne peut déborder (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Remarque : S'emploie dans le même sens pour les bois de flottage. Déborder les bois. Les écarter du bord. Les bois débordent, s'écartent du bord (confer Nouveau Larousse illustré-Grand Larousse de la Langue française en six volumes). C.— Dégarnir quelque chose d'un bord, d'une bordure. Déborder une robe, un tapis. 1. MARINE. Déborder un navire. Le dégarnir de ses bordages. Déborder une voile. En larguer les écoutes (qui tendent le bord inférieur de la voile). Antonyme : border une voile. 2. PEAUSSERIE. Déborder des peaux. Étendre les bords d'une peau destinée à faire des gants. Racler les bords d'une peau en enlevant de l'épaisseur. Remarque : Quelques dictionnaires mentionnent encore débordoir, substantif masculin (Peausserie). Outil tranchant servant à cet usage (confer Dictionnaire de l'Académie Française, Compléments 1842, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse)-Grand Larousse encyclopédique en dix volumes, DICTIONNAIRE DE LA LANGUE FRANÇAISE (ÉMILE LITTRÉ), Dictionnaire général de la langue française (Adolphe Hatzfeld, Arsène Darmesteter)). 3. TECHNOLOGIE. Déborder des tables de plomb. Rogner les bavures des bords d'une table de plomb. STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 394. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 1 285, b) 1 825; XXe. siècle : a) 2 495, b) 2 352.

« libère des flots qui, de stagnants, deviennent furieux (ALBERT CAMUS, L'Homme révolté, 1951, page 30) : Ø 2....

de sa voix sirupeuse.

Durosier fait une conférence. Il est en verve; il déborde; et les mots coulent sur sa barbe, coulent, coulent... MAURICE GENEVOIX, La Boue, 1921, page 101. — Le coeur déborde, il s'épanche.

Son coeur débordait, pareil à une coupe pleine, et il était heureux (ÉDOUARD ESTAUNIÉ, L'Ascension de Monsieur Baslèvre, 1919, page 201 ). 2.

Par extension.

[Le sujet désigne un contenant quelconque] La baignoire, la casserole déborde.

Comme on voit sur un brasier le vase d'airain fumer d'abord, frissonner, bouillonner et déborder ensuite (JEAN DUSAULX, Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788, tome 1, 1796, page 14 ). — Proverbial et figuré.

Une goutte d'eau suffit pour faire déborder un vase plein; c'est la goutte (d'eau) qui fait déborder le vase.

Un dernier fait ajouté à une longue série finit par lasser la patience.

Une goutte fait déborder le vase et un ennui de détail peut faire éclater la colère que mille autres choses ont préparée, et accumulée (HENRI-FRÉDÉRIC AMIEL, Journal, 1866, page 510 ). 3.

Au figuré. a) [Le sujet désigne une chose] Avoir en surabondance quelque chose.

Les journaux débordaient de détails (ÉMILE ZOLA, Au Bonheur des dames, 1883, page 764 ).

Jardins qui débordent de vernis du Japon, de tilleuls et d'yeuses (JEAN GIONO, Voyage en Italie, 1953, page 70) : Ø 3.

Je n'en veux pour preuve que cet orgueil païen, dont ce poème [Booz endormi] est plein, dont ce poème déborde, dont ce poème regorge, cette aisance, cette plénitude charnelle, ce jeu, cette sorte d'amusement, ce défi constant dans l'expression même.

Jamais un fleuve ne s'était autant amusé. CHARLES PÉGUY, Victor-Marie, comte Hugo, 1910, page 754. b) [Le sujet désigne une personne, l'objet indirect un état, un sentiment qui se manifeste dans le comportement] Déborder de joie, d'enthousiasme.

Elle débordait d'une telle félicité, que, cédant à son besoin d'expansion, elle se tourna vers Jacques, vers cet inconnu, pour lui sourire (ÉMILE ZOLA, La Bête humaine, 1890, page 184) : Ø 4....

il lui fallait [à Henry] à toute force un ami, un confident, son coeur débordait de larmes contenues.

Oh! qu'un mot de pitié l'eût rendu heureux, qu'une caresse l'eût délecté!... GUSTAVE FLAUBERT, La Première éducation sentimentale. 1845, page 95. SYNTAXE : Déborder d'allégresse, d'amertume, d'amitié, d'amour, de fureur, de gratitude, de haine, de tendresse; déborder de jeunesse, de vie. — Vieilli.

Déborder en.

[Indiquant la manière dont s'exprime le sentiment, l'état] Déborder en injures, en imprécations (Dictionnaire de l'Académie française.

1932) : Ø 5....

je n'étais plus un homme, j'étais un hymne vivant, criant, chantant, priant, invoquant, remerciant, adorant, débordant en effusions sans paroles;... ALPHONSE DE LAMARTINE, Raphaël, 1849, page 162. — [Par ellipse du complément prépositionnel] Se mettre en 2. »

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