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Dictionnaire en ligne: ENVIE, substantif féminin.

Publié le 29/01/2016

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Dictionnaire en ligne: ENVIE, substantif féminin. A.— [Souvent sans article dans des locutions verbales] Besoin, désir plus ou moins violent. 1. [En parlant d'un besoin physiologique] Avoir envie de boire, de dormir, de manger. M.S. fut saisi de violentes coliques d'estomac, avec des envies de vomir, une toux convulsive et un malaise général (JEAN-ANTELME BRILLAT-SAVARIN, Physiologie du goût ou Méditations de gastronomie transcendante, 1825, page 102 ). — Absolument, familier. Avoir envie. Pour signifier le besoin d'uriner ou de déféquer. Envie de déféquer (Charles-Louis Carabelli, [Langage familier] ). 2. [En parlant d'un besoin physique, d'une décharge nerveuse qui voudrait se manifester] Avoir envie de marcher, de pleurer, de rire. Lesable tenait à deux mains la rampe de fer, buvant l'air comme on boit du vin, avec une envie de sauter, de crier, de faire des gestes violents (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 1, L'Héritage, 1884, page 486 ). 3. [En parlant d'un désir plus général relevant de l'affectivité, du rêve, du besoin d'action ou de possession, de l'ambition, de toutes les pulsions psychiques] Avoir envie de voir, de revoir quelqu'un. Croyez que ma plus chère envie est de pouvoir ici passer toute ma vie (JEAN-FRANÇOIS COLLIN D'HARLEVILLE, Le Vieux célibataire, 1792, IV, 10, page 109 ). Elle n'avait plus du tout le désir de mourir, mais une envie forte, impérieuse, de vivre, d'être heureuse (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 2, Yvette, 1884, page 556) : Ø 1.... cet homme [Louis Bonaparte] ne raisonne pas; il a des besoins, il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse. Ce sont des envies de dictateur. VICTOR HUGO, Napoléon le Petit, 1852, page 122. Ø 2.... j'ai acheté : six hectares, à la suite de mon petit héritage. Je savais la terre à vendre depuis longtemps... Oh! Je l'ai payée : plus cher qu'elle ne vaut, bien sûr. Mais elle me touchait, et j'en avais si envie que je me levais, parfois, au clair de lune, pour aller la regarder... JOSEPH DE PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1928, page V. SYNTAXE : Une envie de musique, de voyage; avoir envie, se sentir l'envie d'écrire, de se marier, de mourir, de parler, de partir; avoir des envies féroces, folles, irrésistibles de + infinitif. · Expressions et proverbes. Brûler d'envie d'être ministre. Il convenait de n'exécuter que des raids de va-et-vient. Leclerc en brûlait d'envie (CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1954, page 250 ). Mourir, se mourir d'envie de + infinitif Je mourais d'envie de voir la mer (MAURICE DE GUÉRIN, Correspondance, 1833, page 78 ). Avoir bonne envie de + infinitif — J'ai bonne envie, se dit-il, d'aller frapper à la porte du château et d'y faire une visite à Bastien (PIERRE-ALEXIS, VICOMTE PONSON DU TERRAIL, Rocambole, les drames de Paris, tome 1, 1859, page 641 ). Faire passer, ôter à quelqu'un l'envie de + infinitif Le mauvais succès de cette tentative m'ôta l'envie de la renouveler (RODOLPHE TOEPFFER, Nouvelles genevoises, 1839, page 225 ). L'envie me démange, il me prend des envies de + infinitif Il lui prenait des envies de s'envoler; rien ne lui semblait impossible (JULES FLEURY-HUSSON, DIT CHAMPFLEURY, Les Aventures de Mademoiselle Mariette, 1853, page 224 ). Il vaut mieux faire envie que pitié, pour dire qu'il vaut mieux être dans la prospérité que dans la misère ou les difficultés. Il vaut mieux faire envie que pitié (JEAN GIONO, Un de Baumugnes, 1929, page 79 ). Faire plus de peur que d'envie, pour dire que l'on craint quelque chose. L'avenir me faisait plus de peur que d'envie (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Histoire de ma vie, tome 3, 1855, page 164 ). — En particulier. a) Avoir envie de quelque chose. · Désirer un objet particulier. En trois années, elle avait contenté une seule de ses envies, elle s'était achetée une pendule (ÉMILE ZOLA, L'Assommoir, 1877, page 476 ). · Les envies des femmes enceintes. Nous avons jusqu'aux mêmes envies de femme grosse (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1861, page 940 ). b) Avoir envie de quelqu'un. Éprouver le désir sexuel pour cette personne. Et il la regarde parce qu'il a envie d'elle (JACQUES PRÉVERT, Paroles, 1946, page 276 ). Absolument. Aujourd'hui je n'ai aucune envie. Sauf peut-être celle de me taire et de la regarder (JEAN-PAUL SARTRE, La Nausée, 1938, page 175 ). Faire envie à quelqu'un. Être désirée. « Elle fera envie à tous les hommes et à tous elle donnera satisfaction » (JULES RENARD, Journal, 1905, page 1003 ). Au gré des envies. Nous nous embrassions au gré de nos envies (FRANÇOISE SAGAN, Bonjour tristesse, 1954, page 70 ). B.— Désir de ce qu'un autre possède. 1. [Par référence à un désir mêlé d'admiration, d'estime et de convoitise] Désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Être digne d'envie, un sort digne d'envie. Ils voyaient d'un oeil d'envie les richesses des bourgeois de Paris (PROSPER DE BARANTE, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, tome 2, 1821-24, page 268 ). Ce tourbillon d'envies, de désirs et d'ambitions en quoi consiste la vie sociale (JEAN GUÉHENNO, Journal d'un homme de 40 ans, 1934, page 225) : Ø 3. Quand on est jeune, belle, heureuse, comment voit-on autre chose que l'envie qu'on excite, et l'admiration qu'on inspire? CLAIRE DE KERSAINT, DUCHESSE DE DURAS, Édouard, 1825, page 156. 2. Péjoratif. Tendance négative, passion mauvaise qui consiste à s'affliger de la réussite ou du bonheur d'autrui, et pouvant aller jusqu'à lui désirer du mal et chercher à lui nuire. L'envie le dévore; être rongé d'envie; prêter le flanc à l'envie; se mettre au-dessus de l'envie. La définition (...) du catéchisme : « L'envie est une tristesse du bien d'autrui et une joie du mal qui lui arrive » (LÉON BLOY, La Femme pauvre, 1897, page 275 ). a) [vécue sur le mode de la tristesse] Il me semble que l'envie et la jalousie suffisent de reste pour attrister et même pour empoisonner tout-à-fait la vie (VICTOR-JOSEPH ÉTIENNE, DIT DE JOUY, L'Hermite de la Chaussée-d'Antin, tome 1, 1811, page 206 ). La petite envie taquine que Stendhal porte à tout ce qui a une apparence de supériorité sur lui (ÉTIENNE-JEAN DELÉCLUZE, Journal, 1824, page 22) : Ø 4. De loin elle admirait, avec un peu d'envie et de tristesse, la vie folle et romanesque, dangereuse aussi, mais variée, de ses soeurs. ÉMILE HERZOG, DIT ANDRÉ MAUROIS, Ariel ou la Vie de Shelley, 1923, page 220. b) [vécue sur le mode de la haine, de la destruction] Basse envie; envie maligne; le démon de l'envie. Ces jugements où l'on n'aperçoit que la haine, l'esprit de parti, et mille petites passions honteuses (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND, Les Martyrs ou le Triomphe de la religion chrétienne, tome 1, 1810, page 115 ). Cet esprit d'envie, de détraction et de moquerie qui nous est si particulièrement naturel (EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome 1, 1823, page 180 ). — [L'envie, un des sept péchés capitaux, représentée comme un animé] Les traits de l'envie. Les peintres et les poètes ont souvent personnifié l'envie dans leurs oeuvres (Dictionnaire de l'Académie française. 1835, 1878) : Ø 5. L'envie, qui s'attache à toutes les belles oeuvres, comme le ver aux fruits, a essayé de mordre sur ce livre,... HONORÉ DE BALZAC, Les Illusions perdues, 1843, page 424. — Symbole. Le serpent, les serpents de l'envie; l'envie aux doigts crochus. C.— Par métonymie. MÉDECINE (DERMATOLOGIE). 1. Tache de naissance sur l'épiderme d'un nouveauné (nommée ainsi parce qu'on estimait que la cause venait d'une envie qu'aurait eue la mère pendant sa grossesse). Synonyme : tache de vin.", Vous devez avoir sur le corps une marque, un signe indélébile, ce qu'on appelle une envie (PIERRE-ALEXIS, VICOMTE PONSON DU TERRAIL, Rocambole, les drames de Paris, tome 1, 1859, page 315) : Ø 6.... ces signes, nommés « envies », se réduisent à un petit nombre de types qu'on peut classer, d'après leur couleur et leur forme, en fraises, groseilles et framboises, taches de vin et de café. ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, L'Orme du mail, 1897, page 137. 2. Petit filet de peau à la racine des ongles. Pince à ongles ou à envies, nickelée (Catalogue de jouets du Bazar de l'Hôtel de ville, 1936). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 7 506. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 8 446, b) 12 169; XXe. siècle : a) 11 117, b) 11 507. Forme dérivée du verbe "envier" envier ENVIER, verbe transitif. A.— Éprouver de l'envie, du désir; avoir envie. 1. [Le complément direct désigne une chose] Désirer, posséder. Envier une terre. Il ne s'occupait pas si elle enviait un bijou ou voulait une robe (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 216) : Ø 1. — Il était capitaine de vaisseau, mon ami. N'était-ce pas prévenir toute recherche, et en même temps se poser très haut, par cette prétendue fascination exercée sur un homme qui devait être de nature belliqueuse et accoutumé à des hommages? (...) il envia des épaulettes, des croix, des titres. Tout cela devait lui plaire :... GUSTAVE FLAUBERT, Madame Bovary, tome 2, 1857, page 118. 2. [Le complément direct désigne une personne, les biens ou les qualités de cette personne] Porter envie à quelqu'un soit par estime ou admiration, soit par désir de jouir pour soi-même de biens de même nature. a) [L'envie se porte sur la personne elle-même] Envier son frère, ceux qui... Tenez, je vous envie, je voudrais être à votre place (GUSTAVE FLAUBERT, La Première éducation sentimentale, 1845, page 137 ). On enviait Mme. Cottard que la patronne appelait par son prénom (MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 601) : Ø 2. Il dut se trouver beaucoup de jeunes gens dynamiques pour envier Chanute, pour rêver de l'imiter et pour s'essayer, eux aussi, à voler de leurs propres ailes. PIERRE ROUSSEAU, Histoire des techniques et des inventions, 1967, page 358. — En particulier. Envier une femme. La désirer. Il enviait une femme dont la possession était impossible (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Là-bas, tome 1, 1891, page 150 ). — [Avec la construction de + infinitif] Je t'envie de faire un journal (ALPHONSE DE LAMARTINE, Correspondance générale. 1831, page 134 ). Les amis du jeune homme riche l'enviaient d'avoir une maîtresse si bien habillée (MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918 page 682 ). b) [L'envie se porte sur les biens, la prospérité, les talents, les dons, le bonheur d'une personne] Envier le sort de quelqu'un. La position, la fortune des autres, que nous souhaitons, désirons, envions (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1866, page 251 ). Il n'est peut-être pas de don que j'envie plus que le « don des langues », et qui m'ait été plus chichement accordé (ANDRÉ GIDE, Ainsi soit-il, ou Les Jeux sont faits, 1951, page 1190 ). — Absolument. Enviez, désirez, imaginez, coeurs de vingt ans; élargissez-vous! (CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Volupté, tome 1, 1834, page 120 ). · À la forme négative. Ne plus rien envier. Être comblé. N'avoir rien à envier à quelqu'un. Ne pas être en dessous, en reste. Padoue n'avait rien à envier à sa rivale [Milan] (FRÉDÉRIC OZANAM, Essai sur la philosophie de Dante, 1838, page 58 ). Armand de retour, Jeanne ne regrettait et n'enviait plus rien (PIERRE-ALEXIS, VICOMTE PONSON DU TERRAIL, Rocambole, les drames de Paris, tome 2, 1859, page 314 ). B.— Péjoratif. Éprouver du mécontentement, de l'amertume en considérant les biens, la supériorité, la réussite ou le bonheur d'autrui. 1. [Avec un sentiment de tristesse ou de jalousie] Je les connais. Ils envient des succès et me jalousent à cause des regards d'Inès (ALBERT CAMUS, Le Chevalier d'Olmedo, 1957, 3e. journée, 3, page 787 ). Le département de la marine envie celui de l'aviation qui a le monopole du transport de la bombe (BERTRAND GOLDSCHMIDT, L'Aventure atomique, ses aspects politiques et techniques, 1962, page 70 ). 2. [Avec des sentiments de haine, de méchanceté] « Ceux qui envient ou calomnient les grands hommes haïssent Dieu, car il n'est point d'autre Dieu » (CHARLES DU BOS, Journal, 1925, page 391) : Ø 3. Il comprit sa vie petitement et jalousa tout ce qui n'était pas flétri et brisé comme lui. Il envia jusqu'aux titres, jusqu'aux richesses des autres hommes. Il fut saisi d'une haine instinctive contre le cardinal... AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Lélia, 1839, page 509. — Emploi pronominal réciproque. S'envier l'un l'autre, les uns les autres. Faux semblant d'amitié qui ne les empêche pas de s'envier, de se haïr et de se mépriser (FRÉDÉRIC SOULIÉ. Les Mémoires du diable, tome 1, 1837, page 15 ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 521. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 2 112, b) 2 134; XXe. siècle : a) 2 105, b) 2 254.

« Nouvelles genevoises, 1839, page 225 ).

L'envie me démange, il me prend des envies de + infinitif Il lui prenait des envies de s'envoler; rien ne lui semblait impossible (JULES FLEURY-HUSSON, DIT CHAMPFLEURY, Les Aventures de Mademoiselle Mariette, 1853, page 224 ).

Il vaut mieux faire envie que pitié, pour dire qu'il vaut mieux être dans la prospérité que dans la misère ou les difficultés.

Il vaut mieux faire envie que pitié (JEAN GIONO, Un de Baumugnes, 1929, page 79 ).

Faire plus de peur que d'envie, pour dire que l'on craint quelque chose.

L'avenir me faisait plus de peur que d'envie (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Histoire de ma vie, tome 3, 1855, page 164 ). — En particulier. a) Avoir envie de quelque chose. · Désirer un objet particulier.

En trois années, elle avait contenté une seule de ses envies, elle s'était achetée une pendule (ÉMILE ZOLA, L'Assommoir, 1877, page 476 ). · Les envies des femmes enceintes.

Nous avons jusqu'aux mêmes envies de femme grosse (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1861, page 940 ). b) Avoir envie de quelqu'un.

Éprouver le désir sexuel pour cette personne.

Et il la regarde parce qu'il a envie d'elle (JACQUES PRÉVERT, Paroles, 1946, page 276 ).

Absolument. Aujourd'hui je n'ai aucune envie.

Sauf peut-être celle de me taire et de la regarder (JEAN-PAUL SARTRE, La Nausée, 1938, page 175 ).

Faire envie à quelqu'un.

Être désirée.

« Elle fera envie à tous les hommes et à tous elle donnera satisfaction » (JULES RENARD, Journal, 1905, page 1003 ).

Au gré des envies.

Nous nous embrassions au gré de nos envies (FRANÇOISE SAGAN, Bonjour tristesse, 1954, page 70 ). B.— Désir de ce qu'un autre possède. 1.

[Par référence à un désir mêlé d'admiration, d'estime et de convoitise] Désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui.

Être digne d'envie, un sort digne d'envie.

Ils voyaient d'un oeil d'envie les richesses des bourgeois de Paris (PROSPER DE BARANTE, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, tome 2, 1821-24, page 268 ).

Ce tourbillon d'envies, de désirs et d'ambitions en quoi consiste la vie sociale (JEAN GUÉHENNO, Journal d'un homme de 40 ans, 1934, page 225) : Ø 3.

Quand on est jeune, belle, heureuse, comment voit-on autre chose que l'envie qu'on excite, et l'admiration qu'on inspire? CLAIRE DE KERSAINT, DUCHESSE DE DURAS, Édouard, 1825, page 156. 2.

Péjoratif.

Tendance négative, passion mauvaise qui consiste à s'affliger de la réussite ou du bonheur d'autrui, et pouvant aller jusqu'à lui désirer du mal et chercher à lui nuire.

L'envie le dévore; être rongé d'envie; prêter le flanc à l'envie; se mettre au-dessus de l'envie.

La définition (...) du catéchisme : « L'envie est une tristesse du bien d'autrui et une joie du mal qui lui arrive » (LÉON BLOY, La Femme pauvre, 1897, page 275 ). a) [vécue sur le mode de la tristesse] Il me semble que l'envie et la jalousie suffisent de reste pour attrister et même pour empoisonner tout-à-fait la vie (VICTOR-JOSEPH ÉTIENNE, DIT DE JOUY, L'Hermite de la Chaussée-d'Antin, tome 2. »

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