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Aragon écrit dans la préface aux yeux d'Elsa (1942) : « il n'y a poésie qu'autant qu'il y'a méditation sur le langage, et chaque pas réinvention de ce langage. Ce qui implique de briser les cadres fixes du langage, les règles de la grammaire, les lois du discours. » Cette réflexion d'Aragon vous parait-elle rendre compte de la poésie d'Apollinaire dans Alcools.

Publié le 11/09/2006

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aragon

Introduction:  [intro - étape 1 : amener le sujet ] La poésie d’Apollinaire prend forme dans un contexte de versatilité et de renouveau, elle met en scène la silhouette variable d’un poète en oscillation, d’un appétit absolu du monde et des autres. Le poète prend place dans un champ culturel tracé, empli d’une part par les penchants transis d’une esthétique qui s’épuise et parcouru d’autre part par un courant de renouveau. Une sensibilité originale se forme à l’imminence d’un monde en animation, fait d’empressement, de changement idéologiques, d’audaces artistiques et technologiques. [étape 2 : citer et commenter] La réflexion qu’effectue Aragon dans la préface aux yeux d’Elsa (1942) : « il n’y a poésie qu’autant qu’il y’a méditation sur le langage, et chaque pas réinvention de ce langage. Ce qui implique de briser les cadres fixes du langage, les règles de la grammaire, les lois du discours. « nous permet de nous rendre compte de la poésie d’Apollinaire. La citation met en abîme une tendance commune de ce XXème siècle. Les règles ordinaires de la représentation sont mises en difficulté, la simultanéité l’emporte sur la successivité, les images et les mots s’amoncellent ou se concordent, le « sujet « s’étoile et se dérive en une multitude de modèle disséminé et discontinus. Il refuse de recourir aux formules déjà éprouvées et aux accents convenus d’une certaine poésie traditionnelle, Apollinaire s’est attaché à puiser en lui-même et dans les vicissitudes de son existence les motifs fondamentaux de son inspiration. [étape 3 : problématique] faut-il comprendre qu’Apollinaire est un poète qui fait fi des règles de la poésie traditionnelle? Néanmoins quelles sont les règles qu’utilise le poète pour arriver à ses fins? [étape 4 : annonce du plan] Il est évident qu’Apollinaire se joue du langage : en ce sens, nous allons étudier, en premier lieu, un monde de mot.; en second lieu nous étudierons les formes de l‘écriture poétique, dans un troisième temps nous étudierons une rétrospective des formes.    [partie 1]Avant d’être un tableau, l’expression d’un sentiment ou un fable personnelle, un poème est d’abord un univers de langage, il est constitué de mots liés les uns aux autres par une syntaxe, il se caractérise pas un dispositif énonciatif, des registres de langue, des images, des formes métriques. Apollinaire est un inventeur de formes langagières : il est de ce point de vue l’héritier des «Modernes « qui, des romantiques aux symbolistes, en passant bien sur par Baudelaire. Alcools est une œuvre moderne et originale, il y’a une aventure du langage poétique tout entière inscrite dans le champ illimité de cette « diversité formelle « dont il est question dans la cinquième section des « Fiançailles «.  Pour Apollinaire ne se restreint pas à un éventail de mot dit « poétiques «. Il est vrai que Victor Hugo avait tracé la voie, qui dans un souci libérateur autant poétique que politique il mit « un bonnet rouge au vieux dictionnaire «. Apollinaire n’a aucun préjugé en matière de lexique, il sait que la poésie ne vit que si elle intègre le volume lexical le plus large, sans discrimination ni censure. Son œuvre est une fête de mots en liberté.  Dans les poème d’Apollinaire, les mots sont souvent appelés à se mélanger ou du moins à entreteniez des voisinages inattendus. Ils se jouxtent, se fréquentent au mépris des frontières normatives instaurées par la hiérarchie des niveaux de langues. Ainsi dans « La chanson du Mal-Aimé « juste après le refrain lyrique intervient une position initiale d’un quintil homogène sur le plan lexical. Dans le même poème on trouve également ces deux vers « Et moi j’ai le cœur aussi gros/Qu’un cul de dame damascène «. Outre qu’elle se soutient d’un trait phonique commun [k], la comparaison d’un cœur avec un cul créer un effet de décalage évident en quoi il faut peur être voir la marque d’une mélancolie humoristique qui n’hésite pas à apparier un mot « poétique « par excellence à un terme trivial. Ce rapprochement qui n’est pas rare dans Alcools ne relèvent pas d’une stratégie de provocation, mais participent bien plus d’un jeu constant d’association, par lequel les mots épures cohabitent avec des voisins moins nobles dans une espèce de distance et de mélange. Nous pouvons aussi remarquer un contexte lexical qui n’est jamais unifié, de mots rares ou recherchés qui se détachent du texte qui exige de se référer au dictionnaire. Nous retrouvons ainsi des mots comme « pyraustes « ou encore « égipans «. De même nous retrouvons des termes peu utilisé de nos jours tel que « d’ahan «. Apollinaire n’hésite pas à exploiter les ressources de la langue, tant dans la diversité de ses registres et de ses lexiques que dans sa dimensions proprement historiques.  Les mots ne se contentent pas d’entretenir des relations hétérogènes; ils jouent également. Ils peuvent partir par exemple sur les signifiés des termes eux-mêmes. Il y’a des phénomènes de répétitions, de mots ou de sonorités, le jeu verba, tire toute son efficacité. Les ressorts de l’homophonie, de l’équivalence et du calembour sont aussi fortement mobilisés. Prenons comme exemple ces deux vers « Nous lui dîmes adieu et puis/ De ce puit sortit l’Espérance «. La reprise d’un mot à l’autre de la même suite sonore (puis puit) crée une équivoque. Le jeu de mot est producteur de sens).si les mots s’attirent et consonnent les uns avec les autres , c’est toujours pour ouvrir une dimension insoupçonnée dans le poème, instituer de nouveaux rapports analogiques ou opérer une remotivation sémantique. (« l’amour jeu des nombrils ou jeu de la grande oie/la mourre jeu du nombre illusoire de doigts «)    [partie 2] La forme de l’écriture poétique possède une place essentielles dans l’écriture d’Apollinaire. Nous verrons ce qu’il en est de la ponctuation, du vers et de la strophe, des images poétiques.  L’indice le plus certain de cette modernité, est le défaut de toute ponctuation dans les textes d’Alcools. Apollinaire a abrogé toutes les marques de ponctuations sur les épreuves du recueil. Il s’agit d’un remaniement de taille, qui nous amène à nous interroger sur les propriétés rythmiques, mélodiques et structurelles d’un texte poétique non ponctué. Apollinaire n’innove pas à proprement parler, il ne fait qu’ ankyloser une pratique qui avait été tentée à la fin du XIXème par Mallarmé, lequel se plaisait a affirmer que les vers peuvent se passer de la ponctuation, « par le privilège d’offrir, sans cet artifice de typographique, le repos vocal qui mesure l’élan «. Pour Mallarmé, ma première vertu de cette annulation consistait à faire nettement ressortir le vers, sa structuration interne, rythmique et prosodique. La déponctuation chez Apollinaire nous invite à être attentif au rythme constitutif du vers : « pour ce qui concerne la ponctuation, je ne l’ai supprimée que parce qu’elle m’a paru inutile et elle l’est en effet; le rythme même et la occupe des vers voilà la véritable ponctuation il n’en est point besoin d’une autre. « on pourrait ajouter que cette événement nous permet d’accorder une vigilance plus fine aux liaisons de vers à vers et de prendre en compte les interstices qui séparent les strophes ou les groupements de vers. En fait, à la ponctuation ordinaire, dont les marques n’apparaissent pas, se substitue un autre type de ponctuation qui produit d’un vers à l’autre soit des effets de détachement et de relance, soit des effets d’ambiguïté syntaxique et sémantique. Nous allons étudier d’examiner, à travers un exemple, comment la ponctuation graphique est remplacée par un rythme du discours poétique qui ne tire pas parti des blancs typographiques dans le poème « Zone «. Le début du poème présente trois propositions initiales ayant valeurs de phrases détachées. Les vers qui suivent, réunis en un bouquet de trois, ces vers ne jouent pas le détachement mais la reprise, un effet de soudaineté se produit que rend encore plus délicat la répétition du mot «religion « placé en position initiale et en position finale du vers 5.  Généralement, un poème se reconnaît à la disposition des vers, réguliers, rimés, en strophe constituées. C’est le cas de la « chanson du Mal-Aimé «. Il y’a quatre séquences (identifiés en italique) qui alternent avec des intermèdes(en caractères romains). Les séquences comme les intermèdes sont formés de quintils, d’octosyllabes. Il y’a dans ce poème une parfaite régularité métrique et strophique. Il n’en est pas de même pour le poème « Zone « qui ne comporte pas de strophes traditionnelles immédiatement perceptibles. De même il est malaisé de circonscrire des suites de vers réguliers tant domine dans ce poème une liberté formelle qui autorise les agencements et les combinaisons métriques les plus imprévisibles. On parlera de vers libres. Pourtant quand on y regarde de plus près, on est fondé à dégager de cet ensemble apparemment chaotique des régions métriques où ressortent des vers facilement repérables tel que les alexandrins. Ainsi on peut isoler des groupements rimés, franchement irréguliers.  Il y’a un principe de variété entre métaphores et comparaisons. Ainsi se déploie un éventail richement fourni de comparaisons. Nous allons relever un exemple : « L’amour s’en va comme cette eau courante «. La comparaison instaure donc une identité grammaticalement sémantique explicitée. La métaphore fonctionne à la manière d’une comparaison privée de son outil comparatif : l’identité y est affirmée par un procédé d’identification, comme le démontre cet exemple « Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances «.    [partie 3] Bien qu’il se soit engagé dans la voie de la modernité en poésie, Apollinaire n’en reste pas moins attaché aux formes et aux genres hérités du passé. Un simple regard fournit déjà un enseignement précieux: les titres de ces poèmes dont assez pauvres en indication de genre, à l’exception de « La chanson su mal aimé «, qui donne d’emblée une clé utile. Le poème s’apparente au genre de la chanson, genre en vogue à l’époque médiévale et à la renaissance, qui, traversant les Siècles jusqu’à nous, témoigne d’une vivacité inentamable. Dépourvue de toute contrainte fixe, la chanson se caractérise par une grande souplesse formelle. Cependant, on reconnaît d’ordinaire la chanson à la disposition alternée de couplets et de refrains, mais ce n’est pas toujours le cas, les chansons de Clément Marot n’ont pas de refrain. Dans « La chanson du Mal-Aimé « alterne reprises et échos. Ainsi le quintil introduit à la fin de la première séquence de ce long poème est repris à l’initiale de la troisième et quatrième séquences. En revanche « Le pont Mirabeau « poème composé de quatre couplets et d’un refrain dont le retour est régulier, offre l’illustration même de la chanson. Chanson triste, toute teintée de mélancolie, et dans le berceau rythmique, monotone, contribue à la musicalité de l’ensemble. Le poème liminaire du recueil exige un traitement à part. le titre Zone ne délivre aucune indication néanmoins la forme n’en ais pas muette, rien ne permet ici d’affilier le texte à un genre préconstruit ou à un modèle poétique hérité de la tradition; tout concourt à lui conférer une certaine irrégularité et un fonctionnement interne non systématique.  L’absence de ponctuation nous conduit également à reconsidérer la structure interne des poèmes. La structure de « Zone « par exemple est déliée, elle procède à une association d’idée, à des glissement ou des cheminements thématiques. La structure de « La chanson du mal-aimé « est dense et complexe, elle repose sur des divisions internes très nettes qui font apparaître quatre séquences et trois « intermèdes «s. chaque séquence orchestre à sa manière et parfois contradictoirement a thématique de la faillite de l’amour. Ainsi, le motif de amour illusoire et trompeur fait progressivement place,à la fin de la première séquence, qui évoque le triomphe de l’amour défunt ainsi que de la permanence des sentiments d’amour du Mal-Aimé. Ces trois poème possède, de plus une structure close et circulaire . Il y’a une certaine clôture qui ne permet plus aucun espoir « le pont Mirabeau «. Ce sentiments est accentués par les répétitions lexicales, par les variations calculées sur le thème de l’amour enfui.    [Conclusion ] L’Œuvre d’Apollinaire est un réel kaléidoscope des formes. celui-ci poursuit son exploration formelle et son entreprise d’une innovation poétique. La citations d’Aragon rend correctement compte de la poésie d’Apollinaire, cette œuvre possède une résonance profondes et métaphorique, l’image tremblante des misères du corps et du cœur son correctement mis en avant grâce à une esthétique lié à la modernité.

aragon

« toutes les marques de ponctuations sur les épreuves du recueil.

Il s'agit d'un remaniement de taille, qui nous amène à nousinterroger sur les propriétés rythmiques, mélodiques et structurelles d'un texte poétique non ponctué.

Apollinaire n'innove pas àproprement parler, il ne fait qu' ankyloser une pratique qui avait été tentée à la fin du XIXème par Mallarmé, lequel se plaisait aaffirmer que les vers peuvent se passer de la ponctuation, « par le privilège d'offrir, sans cet artifice de typographique, le reposvocal qui mesure l'élan ».

Pour Mallarmé, ma première vertu de cette annulation consistait à faire nettement ressortir le vers, sastructuration interne, rythmique et prosodique.

La déponctuation chez Apollinaire nous invite à être attentif au rythme constitutifdu vers : « pour ce qui concerne la ponctuation, je ne l'ai supprimée que parce qu'elle m'a paru inutile et elle l'est en effet; lerythme même et la occupe des vers voilà la véritable ponctuation il n'en est point besoin d'une autre.

» on pourrait ajouter quecette événement nous permet d'accorder une vigilance plus fine aux liaisons de vers à vers et de prendre en compte les intersticesqui séparent les strophes ou les groupements de vers.

En fait, à la ponctuation ordinaire, dont les marques n'apparaissent pas, sesubstitue un autre type de ponctuation qui produit d'un vers à l'autre soit des effets de détachement et de relance, soit des effetsd'ambiguïté syntaxique et sémantique.

Nous allons étudier d'examiner, à travers un exemple, comment la ponctuation graphiqueest remplacée par un rythme du discours poétique qui ne tire pas parti des blancs typographiques dans le poème « Zone ».

Ledébut du poème présente trois propositions initiales ayant valeurs de phrases détachées.

Les vers qui suivent, réunis en unbouquet de trois, ces vers ne jouent pas le détachement mais la reprise, un effet de soudaineté se produit que rend encore plusdélicat la répétition du mot »religion » placé en position initiale et en position finale du vers 5.Généralement, un poème se reconnaît à la disposition des vers, réguliers, rimés, en strophe constituées.

C'est le cas de la« chanson du Mal-Aimé ».

Il y'a quatre séquences (identifiés en italique) qui alternent avec des intermèdes(en caractèresromains).

Les séquences comme les intermèdes sont formés de quintils, d'octosyllabes.

Il y'a dans ce poème une parfaiterégularité métrique et strophique.

Il n'en est pas de même pour le poème « Zone » qui ne comporte pas de strophestraditionnelles immédiatement perceptibles.

De même il est malaisé de circonscrire des suites de vers réguliers tant domine dansce poème une liberté formelle qui autorise les agencements et les combinaisons métriques les plus imprévisibles.

On parlera devers libres.

Pourtant quand on y regarde de plus près, on est fondé à dégager de cet ensemble apparemment chaotique desrégions métriques où ressortent des vers facilement repérables tel que les alexandrins.

Ainsi on peut isoler des groupements rimés,franchement irréguliers.Il y'a un principe de variété entre métaphores et comparaisons.

Ainsi se déploie un éventail richement fourni de comparaisons.Nous allons relever un exemple : « L'amour s'en va comme cette eau courante ».

La comparaison instaure donc une identitégrammaticalement sémantique explicitée.

La métaphore fonctionne à la manière d'une comparaison privée de son outil comparatif: l'identité y est affirmée par un procédé d'identification, comme le démontre cet exemple « Ce sont les Christ inférieurs desobscures espérances ». [partie 3] Bien qu'il se soit engagé dans la voie de la modernité en poésie, Apollinaire n'en reste pas moins attaché aux formes etaux genres hérités du passé.

Un simple regard fournit déjà un enseignement précieux: les titres de ces poèmes dont assez pauvresen indication de genre, à l'exception de « La chanson su mal aimé », qui donne d'emblée une clé utile.

Le poème s'apparente augenre de la chanson, genre en vogue à l'époque médiévale et à la renaissance, qui, traversant les Siècles jusqu'à nous, témoigned'une vivacité inentamable.

Dépourvue de toute contrainte fixe, la chanson se caractérise par une grande souplesse formelle.Cependant, on reconnaît d'ordinaire la chanson à la disposition alternée de couplets et de refrains, mais ce n'est pas toujours lecas, les chansons de Clément Marot n'ont pas de refrain.

Dans « La chanson du Mal-Aimé » alterne reprises et échos.

Ainsi lequintil introduit à la fin de la première séquence de ce long poème est repris à l'initiale de la troisième et quatrième séquences.

Enrevanche « Le pont Mirabeau » poème composé de quatre couplets et d'un refrain dont le retour est régulier, offre l'illustrationmême de la chanson.

Chanson triste, toute teintée de mélancolie, et dans le berceau rythmique, monotone, contribue à lamusicalité de l'ensemble.

Le poème liminaire du recueil exige un traitement à part.

le titre Zone ne délivre aucune indicationnéanmoins la forme n'en ais pas muette, rien ne permet ici d'affilier le texte à un genre préconstruit ou à un modèle poétique héritéde la tradition; tout concourt à lui conférer une certaine irrégularité et un fonctionnement interne non systématique.L'absence de ponctuation nous conduit également à reconsidérer la structure interne des poèmes.

La structure de « Zone » parexemple est déliée, elle procède à une association d'idée, à des glissement ou des cheminements thématiques.

La structure de« La chanson du mal-aimé » est dense et complexe, elle repose sur des divisions internes très nettes qui font apparaître quatreséquences et trois « intermèdes »s.

chaque séquence orchestre à sa manière et parfois contradictoirement a thématique de lafaillite de l'amour.

Ainsi, le motif de amour illusoire et trompeur fait progressivement place,à la fin de la première séquence, quiévoque le triomphe de l'amour défunt ainsi que de la permanence des sentiments d'amour du Mal-Aimé.

Ces trois poèmepossède, de plus une structure close et circulaire .

Il y'a une certaine clôture qui ne permet plus aucun espoir « le pontMirabeau ».

Ce sentiments est accentués par les répétitions lexicales, par les variations calculées sur le thème de l'amour enfui. [Conclusion ] L'Œuvre d'Apollinaire est un réel kaléidoscope des formes.

celui-ci poursuit son exploration formelle et sonentreprise d'une innovation poétique.

La citations d'Aragon rend correctement compte de la poésie d'Apollinaire, cette œuvre. »

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