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Le balcon, 7ème tableau, Jean Genet

Publié le 02/08/2010

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genet
 
Introduction
Jean genet : Jean Genet (Paris, 19 décembre 1910 - 15 avril 1986) est un écrivain, poète, et auteur dramatique français. Loue la perversion, le mal et l'érotisme à travers la célébration de personnages énigmatiques au sein de mondes louches. Abandonné à la naissance par sa mère et adopté par la suite, il sera bien éduqué. Commet son premier vol à l'âge de 10 ans. Fréquente plusieurs prisons. Découvert par Sartre , c’est principale œuvres sont : Pompes funèbres (1947), Les Bonnes (1947), Les Nègres (1959), Les Paravents (1961), Un captif amoureux (1986) le balcon : pièce de théâtre se tenant dans un bordel … En quoi cette scène est du théâtre dans du théâtre ? 1) Irma Metteur en scène : les paroles d’Irma
« Il ne croyait pas qu’il pourrait ce soir jouer si bien son rôle de cadavre. « - « jouer « et « rôle « = vocabulaire de théâtrale - référence aux fantasmes « mis en scène « par Irma dans les tableaux précédents. « N’en croyez rien, monsieur l’envoyé. Ce que veulent ces messieurs, c’est le trompe-l’œil. Le ministre désirait un faux cadavre. Et Arthur est une vrai mort. Regarder-le : il est plus vrai que vivant. « - « trompe-l’œil « référence au décor théâtral, décor que peux gérer un metteur en scène. -« faux «, tout est faux dans le théâtre que produit un metteur en scène et tout est faux dans les fantasmes que met en scène Irma. - « faux « non = « vrai « antithèse qui mais en relation les deux pièces enchâssées (les fantasme et « le balcon «) - « regardez-le « Irma veut que l’on regarde comme on pourra regarder une pièce de théâtre. « Et vous n’en voyer qu’un partie ! « - orgueil=fierté : comme un metteur en scène qui serait fier de son œuvre Irma est le seul personnage qui soit seulement encré dans la pièce de genet, comme un metteur en scène qui ne participe jamais à la pièce qu’il produit. Irma par ses actions et ses paroles théâtralise la maison clos.
2) Discours sur le théâtre enchâssé dans la pièce
« Il y a je ne sais combien de siècles que les siècles s’usent à me raffiner … à me subtiliser … « -« je « = le théâtre( ?) le théâtre au cours du temps est devenue pure. « Et, en passant, laissez-moi saluez saluer l’imagination qui ordonna dans cette maison un salon funéraire. « - glorification de l’auteur de la pièce (genet) « La sagesse des nation « -le théâtre est le produit de la sagesse, le théâtre est un art de grande qualité.
3) Une maison d’illusion
 « Tout tremble « : aucune réaction de la par des personnages, il y a un décalage entre la réaction des personnages et les actions extra scéniques. Comme si l’extérieur était le vraiment monde créé par genet et la maison close un espace à part, comme le serai une pièce de théâtre pour notre vrai monde … « Souriant «, « avec orgueil « = idem pour les réactions des personnages qui ne sont pas en phase avec leur situation.
4) Les puissants et le théâtre
Leur utilité remise en question : leur administration c’est de la comédie. - décalage du comportement et des vêtements de l’envoyer « souriant « il sonne faux … il est loin de la réalité de la scène. - La reine se manifeste par sont absence (« absence «) = elle évolue en dehors de tout, sa vie et sa fonction est une mascarade une comédie dans le monde du balcon … Conclusion :
Cette scène est du théâtre dans le théâtre : grâce à Irma, à son rôle de metteur en scène/ au discours enchâssé dans la pièce /aux personnages et à leurs comportements qui animent la scène / et enfin, à la comédie des puissants mis en évidence dans ce texte. Ouverture : corneille qui parle lui aussi du théâtre


 

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