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Base de données de dissertations philosophiques - III

Publié le 27/07/2009

Extrait du document

La révolte peut-elle être un droit ?
Le droit a-t-il pour fin d'abolir la violence ?
Le droit n'est-il que l'expression des rappports de force ?
Le droit peut-il garantir la liberté ?
Le fait de pardonner est-il contraire aux exigences du droit ?
Le principe d'égalité exige-t-il d'abolir toutes les différences existant entre les hommes ?
Les droits de l'homme : évidence ou problème ?
L'intelligence donne-t-elle des droits ?
Peut-on accepter la loi de la majorité si l'on refuse la loi du plus fort ?
Peut-on concevoir le droit sans devoirs ?
Peut-on parler d'un droit naturel ?
Peut-on revendiquer le droit au secret ?
Pourquoi défendre le faible ?
Pourquoi écrit-on les lois ?
Pourquoi revendique-t-on le droit d'être citoyen ?
Quel sens donner au mot \"droit\" dans l'expression : \"j'ai le droit de…\" ?
Quels droits la compétence donne-t-elle ?
Y a-t-il un droit à l'erreur ?
Y a-t-il un droit naturel ?
A quoi servent les lois ?
A quoi servent les lois ?
De quel droit le juge prononce-t-il la sentence ?
Est-ce au peuple qu'il appartient de faire les lois ?
Est-ce pour prévenir la récidive que la justice punit ?
Le droit à la différence est-il sans limite ?
Le droit est-il toujours fondé ?
L'homme et le citoyen.
L'intérêt général est-il la somme des intérêts particuliers ?
Peut-il être légitime de s'opposer à la loi ?
Peut-on appeler à la conscience contre la loi ?
Peut-on refuser d'obéir à la loi politique par respect pour la loi morale ?
Peut-on subordonner les Droits de l'homme à la raison d'Etat ?
Peut-on vivre sans foi ni loi ?
Quand on se borne à exercer son droit, est-on, pour autant, en règle avec sa conscience ?
Résister à la répression, est-ce un droit naturel ?
Le droit a-t-il pour fin de protéger le faible ?
Le droit nous dit-il ce qu'il est juste de faire ?
\"J'ai le droit\" Que voulons-nous dire par cette expression ?
A-t-on le droit de s'opposer à la loi ?
Avons-nous le droit de discuter le droit ?
Avons-nous le droit de nous venger ?
Ce qui est légal est-il nécessairement juste ?
Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
Combattre l'injustice, n'est-ce pas respecter le droit ?
Comment le droit pénal peut-il se fonder philosophiquement ?
Des lois justes suffisent-elles à assurer la justice ?
Est-ce la volonté du plus grand nombre qui fonde le droit ?
Est-ce l'égalité des droits qui assure l'égalité des hommes ?
Est-il légitime de revendiquer ses droits par la force ?
Faire régner la justice, est-ce seulement appliquer le droit ?
La désobéissance à la loi peut-elle être un devoir ?
La loi doit-elle s'appliquer à tous de la même manière ?
La loi limite-t-elle la liberté ou lui donne-t-elle les moyens de se réaliser ?
La loi n'a-t-elle pour fin que la sécurité ?
La violence est-elle nécessairement contraire au droit ?
La violence peut-elle être un remède à l'injustice ?
L'application du droit dépend-elle des circonstances ?
Le droit a-t-il pour seul but de pacifier les relations humaines ?
Le droit d'expression autorise-t-il à soutenir n'importe quelle opinion ?
Le droit d'expression autorise-t-il n'importe quelle opinion ?
Le droit doit-il suivre l'usage ?
Le droit est-il l'œuvre de la raison ?
Le droit ne fait-il que traduire un rapport de forces ?
Le droit peut-il être fondé sur la nature ?
Le droit peut-il se mêler de tout ?
Le droit peut-il s'opposer aux traditions ?
Le recours à la force peut-il être une marque de faiblesse ?
Les exigences du droit entre-t-elle en conflit avec la nature humaine ?
L'homme n'a-t-il que les droits que lui donnent les lois de son pays ?
L'opinion peut-elle faire la loi ?
Pensez-vous que : \"le châtiment ne rend pas l'homme meilleur, il le dompte\" ?
Peut-on admettre l'idée d'un droit à la révolte ?
Peut-on concevoir une liberté sans loi ?
Peut-on faire la guerre au nom des droits de l'homme ?
Peut-on fonder le droit sur la nature ?
Peut-on n'obéir à aucune loi ?
Pourquoi parle-t-on d'un \"droit de savoir\" ?
Puis-je, au nom de ma conscience, refuser de me soumettre aux lois ?
Quelle peut être la force de la loi ?
Quelle peut-être la force de la loi ?
Qui a le droit de punir ?
Un monde sans justice est-il humain ?
Y a-t-il de justes inégalités ?
Y a-t-il des fondements naturels de l'ordre social ?
Ce qui ne peut s'acheter est-il dépourvu de valeur ?
Comment concevoir les rapports entre les échanges économiques et l'ensemble de la vie sociale ?
Donner pour recevoir, est-ce le principe de tout échange ?
En quel sens les échanges économiques sont-ils des faits de communication ?
En quel sens peut-on parler d'une rémunération juste ou injuste ?
La justice sociale passe-t-elle essentiellement par la régulation des échanges économiques ?
La morale a-t-elle sa place dans les rapports économiques ?
La nécessité des échanges peut-elle ne pas entraîner la dépendance à l'égard d'autrui ?
La notion d'échange n'a-t-elle de sens qu'économique ?
La satisfaction des besoins économiques est-elle un obstacle à la défense des valeurs morales ?
La science économique est-elle un facteur de progrès social ?
Le don peut-il être gratuit ou n'est-il qu'une forme de l'échange ?
Les relations entre les hommes peuvent-elles être toutes interprétées en termes d'échange ?
N'échange-t-on que des biens ?
Peut-on mettre sur le même plan le commerce des choses et le commerce des idées ?
Peut-on tout échanger ?
Tout peut-il avoir une valeur marchande ?
Tout peut-il s'acheter ?
Toute relation à autrui est-elle un échange ?
Les échanges marchands peuvent-ils à la fois unir et satisfaire tous les membres d'une société ?
Les échanges sociaux sont-ils inévitablement dominés par le principe de compétition et d'antagonisme ?
Peut-on tout donner ?
Pourquoi échangeons-nous ?
Dans une société dominée par l'échange, est-il encore possible de donner ?
La notion d'échanges n'a-t-elle de sens qu'économique ?
Que signifie échanger les idées ?
Tout peut-il avoir une valeur économique ?
Un don peut-il être un acte désintéressé ou est-il nécessairement lié à un échange ?
L'espace est-il notre création ?
L'obéissance à l'Etat est-elle toujours une obligation ?
Ce que la morale autorise, l'Etat peut-il légitimement l'interdire ?
En quel sens l'\"économique\" est-il aussi politique ?
Entre-t-il dans les attributions de l'Etat d'assurer le bonheur des individus ?
Est-il dans la nature de l'Etat de limiter son pouvoir ?
Est-il légitime de faire prévaloir les exigences de la conscience sur celles de l'Etat ?
Faut-il accorder le moins possible à l'Etat ?
La concentration des pouvoirs est-elle nécessaire à l'autorité de l'Etat ?
La fin de l'Etat est-elle la liberté ?
La formation scientifique favorise-t-elle l'accès d'un peuple à la démocratie ?
La politique n'est-elle que l'art de capter à son profit les passions des autres ?
La propagande politique est-elle un obstacle à l'exercice de la démocratie ?
La recherche du bien commun est-elle le fondement et la limite de la souveraineté de l'Etat ?
La référence aux \"contraintes économiques\" est-elle, dans le gouvernement des hommes, autre chose qu'un alibi ?
L'action politique s'exerce-t-elle sur les choses ou sur les esprits ?
Le gouvernement par le peuple signifie-t-il nécessairement la liberté ?
Le politique n'est-il que l'expression de l'économie ?
L'emploi du mot \"raison\" est-il légitime dans l'expression \"la raison d'Etat\" ?
Les lois de la cité politique ont-elles pour but la paix ou la vertu ?
Les sciences politiques nous dispensent-elles de la réflexion politique ?
Les utopies sont-elles inutiles ?
L'Etat a-t-il besoin de la mémoire des citoyens ?
L'Etat doit-il reconnaître des limites à sa puissance ?
L'Etat restreint-il la liberté individuelle ?
L'ordre politique exclut-il la violence ?
Par quelles voies un Etat peut-il exercer sa souveraineté ?
Peut-on critiquer la démocratie ?
Peut-on tout attendre de l'Etat ?
Pourquoi l'union du droit et de la force dans l'Etat est-elle un problème ?
Que vaut, en politique, la règle de la majorité ?
Quelle est la fonction première de l'Etat ?
Quelle est la mesure de l'efficacité politique ?
Quelle signification faut-il donner à l'idée de l'égalité entre les hommes ?
Quels sacrifices l'Etat est-il en droit de nous demander ?
Tous les problèmes politiques sont-ils des problèmes d'organisation ?
Y a-t-il vraiment une \"Raison d'Etat\" ?
\"La démocratie, tyrannie de l'incompétence.\" Que penser de cette affirmation\" ?
Est-il dans la nature de l'Etat de refuser les différences ?
Etre citoyen, est-ce un droit ou un devoir ?
Faut-il distinguer le citoyen dans l'Etat et l'individu dans la société ?
La morale relève-t-elle de la compétence de l'Etat ?
La politique est-elle l'affaire de tous ?
La politique est-elle l'affaire de tous ?
La raison d'être de l'État est-elle de garantir la sécurité du citoyen ?
La reponsabilité politique n'est-elle réservée qu'à ceux qui gouvernent ?
L'action politique peut-elle être autre chose que la recherche du moindre mal ?
Le gouvernement des meilleurs, cette expression a-t-elle un sens ?
Les relations entre les Etats peuvent-elles être autre chose que l'expression de rapports de force ?
L'Etat est-il l'ami ou l'ennemi de l'individu ?
L'Etat est-il l'objet essentiel de la théorie politique ?
L'inégalité des hommes est-elle un obstacle à l'égalité des citoyens ?
L'inégalité des hommes rend-elle impossible l'égalité des citoyens ?
L'intérêt de l'Etat coïncide-t-il avec le bien commun ?
Ordre et progrès
Peut-on dire avec Hölderlin que : \"Ce qui fait de l'Etat un enfer, c'est que l'homme a voulu en faire son paradis.\" ?
Peut-on être citoyen du monde ?
Quelles sont les différentes fonctions de l'Etat ?

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