Comment la mort apparait-elle dans chacun de ces documents?
Publié le 11/11/2012
Extrait du document
«
« le bas, la fin, l'éceuil » qui definissent la mort, puis, on remarque une gradation pour définir la vie avec : « on
marche, on court, on reve, on souffre, on penche, on tombe, on monte », c'est une succession de mots qui
séparent la vie en ces nombreuses situations.
« On monte », est le départ pour la mort, vers les cieux.
Une
antithèse entre « monstre » et « ange » est présente.
Dans le dernier document, celui de De Viau, l'auteur a un
aspect assez négatif de la mort.
Il fait meme référence aux enfers avec le vers 30 « La Seine est l'Achéron »,
fleuve des enfers.
On note un vocabulaire propre à la tragédie rien qu'avec le vers 14 « l'arret sanglant a résolu
sa peine », le mot « poison » vers 24 et avec le mot « peste » vers 23 qui est une maladie incurable et que la
mort est donc inévitable.
On remarque aussi le champs lexilcal de la douleur, du malheur, avec ces quelques
mots : « mort » vers 1, « desespoir » vers 3, « accident » vers 6, « supplice » vers 10, « douleur » vers 28 et
d'autres.
Tandis que ces textes évoquent beaucoup l'aspect négatif de la mort, on remarque cependant une mort assez
douce, et donc un aspect positifdans certains passages.
Dans « La Mort des Amants », Baudelaire utilise un vocabulaire très léger pour parler de la mort, tel que :
«odeurs légères » vers 1 et « cieux plus beaux » vers 4.
Il sous-entend une vie après la mort avec « Ange » qui
est synonyme de « Paradis ».
On remarque aussi la présence de douceurs dans les couleurs employées avec
le « rose » et le « bleu » vers 9 qui sont des couleurs pastelles.
Dans celui-ci, on analyse un champs lexical de
la chaleur et de la lumière avec « chaleurs dernières » vers 5, « flambeaux » vers 6 qui est la personnification
des deux coeurs des défunts, « lumière » vers 7, « eclairs » vers 10 et « flammes » vers 14.
Notons les adjectifs
meilloratif « fidèle et joyeux » vers 13.
Dans son deuxième poème, Baudelaire dit que « la mort [..] fait vivre », que c'est « le but de la vie », que chaque
personne va y passer.
On trouve une aténuation de la mort qui est comparée au sommeil vers 10.
Baudelaire
fait référence au personnage divin Dieu, avec au vers 12 : « c'est la gloire des Dieux ».
Dans le poème de Victor Hugo, il incite aux gens de vivre au mieux leur vie, et de ne pas se soucier de la mort.
Le vers 9 « tout les hommes sont fils du même père » est une référence à la Bible et donc à Dieu.
Que tout les
hommes sont frères.
Qu'aucuns n'est privilégiés.
Il nous parle d'amour, et d'extase.
« Du monstre devient dans
la lumière un ange », on note une antithèse entre monstre et ange.
On remarque dans ces trois poèmes la.
»
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