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Dans quelle mesure les réseaux sociaux ont-ils un impact sur la cohésion sociale?

Publié le 17/08/2012

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D’après une étude la mutualité socialiste-solidaris6 voici quelques statistiques relevées : Utilisation des réseaux sociaux en fonction de l’âge :  12 ans 13%  13 ans 16%  14 ans 17%  15 ans 15%  16 ans 17%  17 ans 13%  18 ans 7%  Normalement d’après le règlement de certains réseaux sociaux, l’âge minimum d’inscription est de 13 ans. Ici, nous constatons que dans certains cas, cela n’est pas respecté.  Normalement d’après le règlement de certains réseaux sociaux, l’âge minimum d’inscription est de 13 ans. Ici, nous constatons que dans certains cas, cela n’est pas respecté.    Dans la vie des jeunes de 12 à 18 ans, internet fait partie intégrante de leur vie. Selon une étude réalisée en 2010 par le CRIOC7 , 90% des jeunes belges entre 10 et 17 ans surfent sur internet.  Ils se connectent quotidiennement (6 à 9 fois/semaine). De plus ils ont constaté que 60% des jeunes n’ont aucune limites imposées par les parents.  Une grosse majorité des jeunes déclarent qu’ils ne pourraient pas se passer de ces réseaux sociaux.  c. Les réseaux sociaux, outils dangereux ?  Le fait d’avoir des amis virtuels est un signe d’identification sociale. Cette nécessité d’agrandir sa liste d’amis peut pousser le jeune à adopter un comportement dangereux. Les jeunes ont tendance à régler les problèmes personnels via leur ordinateur. On aurait parfois l’impression qu’ils ressentent un sentiment de supériorité derrière leur écran. Un quart des jeunes se serait déjà moqué voir aurait insulté quelqu’un via ce procédé.

« 3 article : http://jeunescongolais.mondoblog.org/tag/reseaux-sociaux/ , consulté le 3 avril 2012 vers 10h4 article : http://www.presse-citron.net/reseaux-sociaux-une-addiction-en-entraine-une-autre , consulté le 3 avril 2012 vers 10h Plus le jeune passera du temps sur l'ordinateur, plus une forme de dépendance s'installera.

Ils sont souvent touchés par des troubles anxieux, parfois même jusqu'à ladépression … Ainsi qu'à d'autres troubles avec des conséquences à long terme.Voici quelques exemples de symptômes que pourraient engendrer l'utilisation excessive d'internet sur notre santé psychologique et sociale :* Perte de concentration* Isolement* Dépression* Changement de comportement penchant vers le négatif (agressivité, mauvaise humeur,..)* Paranoïaque* Antisociale* Etc.Les arrangements et les normes sociales ont un impact sur la vie virtuelle du jeune.

Même s'il est douteux que la notion de vie privée est différente, certainesfrontières entre le privé et le publique existent.L'usage abusif des nouvelles technologies à des effets négatifs sur la santé des adolescents.

Ils sont souvent touchés par des troubles anxieux, parfois même à ladépression … Ainsi qu'à d'autres troubles avec des conséquences à long terme.b.

Vie réelle ou virtuelle ?Il existe un lien très fort entre la vie réelle et virtuelle.

Les deux n'étant pas déconnectées l'une de l'autre mais réagissent parallèlement.

Certains jeunes marquent unedifférence entre une discussion face à face et une discussion au travers d'un écran.Les internautes communiquent entre eux via les réseaux sociaux.

Ils ne voient donc plus l'intérêt de se voir en dehors de leur ordinateur.

En conclusion les amitiéstentent à devenir plus virtuelle que réelle.c.

Influence sur nos activités.5 aidé par le site : http://www.frenchxsw.com/265-les-reseaux-sociaux-ont-ils-appauvri-notre-vie-sociale , consulté le 1 avril 2012 vers 15h5 aidé par le site : http://www.frenchxsw.com/265-les-reseaux-sociaux-ont-ils-appauvri-notre-vie-sociale , consulté le 1 avril 2012 vers 15hFacebook ne touche pas spécialement la santé psychologique et sociale mais aussi au point de vue de l'enseignement et le travail5.Les réseaux sociaux ont un impact important sur le temps que l'on passe à faire ses devoirs et à apprendre ses leçons.

Cela diminue notre niveau scolaire.

Les jeunespréfèrent être connecté et parler avec leur amis que de devoir faire leur problèmes de math … Quand on est jeune, le choix est vite fait.Ils diminuent aussi notre concentration au travail, nous n'avons plus toutes nos perceptions ainsi que nos capacités.Les individus passent de plus en plus de temps devant leur écran d'ordinateur.

Et leur dépendance aux réseaux sociaux ne les aide pas à s'en défaire.Les activités physiques deviennent de moins en moins exercées.

C'est certainement moins fatiguant de rester devant son écran.

Nous disons beaucoup que les enfantset les adolescents passent leur vie sur l'ordinateur mais il ne faut pas croire, les adultes aussi deviennent de plus en plus dépendant.2.5 Au point de vue sociologiquea.

La vie privée est-elle respectée par les réseaux sociaux ?Les réseaux sociaux fournissent depuis leur apparition de nombreux débats surtout sur la publicité qu'ils produisent, sur les données personnelles et la vie privée desutilisateurs.Ceci est un véritable phénomène de société dont les conséquences sur la vie amoureuse et affective ne peuvent être ignorées.Plus le jeune passe du temps sur Facebook, plus il ignore les risques qui peuvent s'y trouver.

Il y a une confiance démesurée dans l'outil qui s'installe.En résumé, le portrait-robot du jeune indifférent est un garçon qui publie sans faire attention au risque qui le menace, qui n'a pas changé ses paramètres deconfidentialité et qui passe beaucoup trop de temps sur Facebook et s'y connecte plusieurs fois sur une journée.Facebook et d'autres outils permettent de plus en plus de s'introduire dans la vie privée et parfois même d'espionner les usagers (que ce soit son partenaire ou encoresa famille, ..).Il ne faut tout de même pas oublier que les relations affectives saines se basent sur le respect et la confiance.

Le contrôle de l'autre n'est en aucun cas un moyend'épanouissement.D'après une étude, les filles ont une connaissance plus profonde des risques liés à l'utilisation de certains réseaux sociaux.

Au contraire, les jeunes qui publient denombreuses informations à caractère privé et ceux qui ne protègent pas l'accès à leur profil ne perçoivent pas de risques majeurs à l'utilisation de cet outil.b.

Statistiques.D'après une étude la mutualité socialiste-solidaris6 voici quelques statistiques relevées : Utilisation des réseaux sociaux en fonction de l'âge :12 ans | 13% |13 ans | 16% |14 ans | 17% |15 ans | 15% |16 ans | 17% |17 ans | 13% |18 ans | 7% |Normalement d'après le règlement de certains réseaux sociaux, l'âge minimum d'inscription est de 13 ans.

Ici, nous constatons que dans certains cas, cela n'est pasrespecté.Normalement d'après le règlement de certains réseaux sociaux, l'âge minimum d'inscription est de 13 ans.

Ici, nous constatons que dans certains cas, cela n'est pasrespecté. Dans la vie des jeunes de 12 à 18 ans, internet fait partie intégrante de leur vie.

Selon une étude réalisée en 2010 par le CRIOC7 , 90% des jeunes belges entre 10 et17 ans surfent sur internet.Ils se connectent quotidiennement (6 à 9 fois/semaine).

De plus ils ont constaté que 60% des jeunes n'ont aucune limites imposées par les parents.Une grosse majorité des jeunes déclarent qu'ils ne pourraient pas se passer de ces réseaux sociaux.c.

Les réseaux sociaux, outils dangereux ?Le fait d'avoir des amis virtuels est un signe d'identification sociale.

Cette nécessité d'agrandir sa liste d'amis peut pousser le jeune à adopter un comportementdangereux.

Les jeunes ont tendance à régler les problèmes personnels via leur ordinateur.

On aurait parfois l'impression qu'ils ressentent un sentiment de supérioritéderrière leur écran.

Un quart des jeunes se serait déjà moqué voir aurait insulté quelqu'un via ce procédé.6 aidé par le site :http://www.mutsoc.be/NR/rdonlyres/BFEC6213-DD73-4B8E-A0F8-D010B04F8034/0/EnqueteFacebookSolidaris.pdf , consulté le 5 avril 2012 vers 14h7 Centre de Recherche et d'Information des Organisations de Consommateurs6 aidé par le site :http://www.mutsoc.be/NR/rdonlyres/BFEC6213-DD73-4B8E-A0F8-D010B04F8034/0/EnqueteFacebookSolidaris.pdf , consulté le 5 avril 2012 vers 14h. »

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