Devoir de Philosophie

L'érosion : idées reçues et réalités tangibles

Publié le 16/11/2011

Extrait du document

Sous le terme d'érosion , on comprend habituellement trois actions liées mais différentes: L'action d'éroder, user, arracher, enlever, qui aboutit à un creux, un « moins «. Ce travail est bien caractérisé par le terme de glyptogenèse du grec signifiant gravure, sculpture; Le transport des débris de cette « sculpture « par des agents divers; Le dépôt, au bout d'un certain temps et pour un certain temps, de ces débris. L'accumulation n'intéresse la géomorphologie que lorsqu'elle se fait à l'air libre et non sous les eaux, car on parle alors de sédimentation, affaire de géologue. L'érosion au sens large comprend donc la glyptogenèse, le transport et l'accumulation.

« Mammouth dit • le grand-père •, grotte de Rouffignac (Dordogne) .

Tout comme les fresques du Tassili au Sahara, ces peintures rupestres sont la preuve de changements climatiques, les artistes ayant represente les animaux qu'ils avaient sous les yeux.

(Nougier).

qu'on fait le bilan, on calcule que le Tech a transporté plus d'alluvions diverses (maisons, routes, sol...) en trois jours que le Hhône en un an.

L'origine de cel événement n'était qu'une fan­ taisie un peu violente d'un climat coutumier d'excès.

e A l'automne 1970, les débordements dus à la mousson ajoutés à des cyclones et des marées importantes ravagent une partie du delta du Gange-Brahmapoutre.

Autrement dit, car il est inutile de mul­ tiplier les exemp les, quand l'érosion est active, on s'en rend compte.

D'autre part, l'eau est bien, suivant divers processus, le pl'incipal agent de l'érosion au sens large.

Une manière de syllogisme fait pen­ ser :. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles