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Faut-il ne désirer que le possible ?

Publié le 24/07/2010

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Le désir, par définition est l'ensemble des efforts, des tendances qui sont faits par les Hommes afin de réaliser quelque chose qu'ils croient bon. Nous pouvons, dès lors, distinguer deux genres de désirs: ceux qui sont possibles et ceux qui, au contraire, ne le sont pas. Comment définir le possible? Le possible, c'est ce qui peut être, ce qui peut être possible à concevoir ou bien possible à réaliser. Le problème qui nous est alors posé est: Faut-il ne désirer que le possible? L'homme doit-il se satisfaire du rationnel, doit-il se soumettre à ne restreindre ses désirs qu'à ce qui est possible? Dans un premier temps, nous essayerons de montrer les bénéfices que l'on peut tirer à ne désirer que ce qui est possible et dans un second temps, nous nous attarderons sur l'importance du fait que l'homme désire toujours plus, et en l'occurrence, qu'il désire l'impossible.

« -Trissotin ne fut l'abbé Cottin -Vadius,le poète ménage réputé pour l'indélicatesse avec laquelle il pillait les auteurs anciens. Quand à l'ensemble des caractères,on peut les définir en disant qu'il se font les uns aux autres contrepoids commecela arrive souvent chez Molière. Chrysal,Henriette,Clitandre,Martine s'oppose avec la plus extrême vigueur au trio des « femmes savantes »et à leuracolytes Ramaeilleur et Pédant.Toutefois au sein du clan prétentieux les différences sont grandes.Bélise est unevieille femme sentimentale et sans méchanceté et qui s'efforce de trompé le vide de son existence.Armande est toutau contraire,occupée de calcules assez peu reluisants ;c'est la calculatrice ou celle qui cherche ses propres intérêtsa ses propres adhésions à une philosophie. Philaminte apparaît comme une maîtresse femme qui possède le goût de l'outrance,mais qui n'est pas dénué d'espritni de générosité. En réalité Molière ne veut atteindre que ceux et celles qui accordent aux spéculations de l'esprit une importanceexcessive,risquant de tomber par la dans l'erreur et pour peux de l'opiniâtreté sans mêle,de faire le malheur d'unproche c'est pourquoi par réaction par Molière entreprant de faire l'apologie de la femme d'intérieur et des vertusdomestiques. V.Procédés du comique Au titre du comique on distingue une palette très vaste qui va du comique de contraste au comique psychologiqueen passant par le comique de mot. A)Comique de contraste On constate le contraste : -entre une déclaration et une attitude(ex :vers 426 et 443) -entre des suppositions de plus en plus fortes et inquiète la réalité(459) -entre le pédantisme de Bélise et Philaminte et la niaiserie de Martine B)Comique de mot Il rebondi d'un personnage à l'autre tout au long de la pièce : -à propos de Martine ,Chrysal qui par exemple l'appel coquine maraude. -à propos du crime de Martine,martyre -l'emploi du patois de Martine des calembours de Martine dont l'ignorance en est la cause (Grand-mère, grammaire). C)Comique de psychologique ou comique de caractère Ce type de comique est lié aux réactions des personnages et aux aspects ridicules que révèle leur attitude .Il peuts'agir de situations absurdes où se trouve un personnage (cf.Chrysale),de réaction naturelles totalement effacées(manque de réaction devant le crime de Martine),d'exclamations pathétiques exprimées par certains personnagesdont le caractère grotesque ou comique se trouve ainsi soulignées (les exclamation de Bélise dans la leçon degrammaire,les calembours de Martine ignorante). On appelle calembours un jeu de mots fondé sur la différence de sens alors que leur prononciation est voisine. Molière c'est usé dans ces pièces de tout cette éventail de comique,du plus gros au plus fin.. »

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