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Jordanie -Arabie Séoudite -Yemen - États du golfe persique - Iran - Turquie - Liban - États d'Israël DE 1944 A 1977 (histoire)

Publié le 15/11/2011

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jordanie

L'économie subit le contrecoup de cet isolement et le gouvernement américain apporte une aide importante ainsi que l'Iran. Pour se libérer de la dépendance étrangère le gouvernement jordanien, avec à sa tête M. Zeid Rifaï, a lancé un plan triennal de développement (novembre 1972). Le roi consolide avec habileté les assises de son régime et les capitaux étrangers affluent à Amman : la Jordanie mise sur le dynamisme de son libéralisme économique et sur sa situation géographique, mais l'Etat dépend de l'assistance étrangère. Si le monarque se rend à Washington et à Paris (avril et septembre 1977), il se rend aussi à Moscou, l'u.R.s.s. ayant admis la participation de la Jordanie à la conférence de Genève.

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« Réfugiés palestiniens vers la Jordanie (guerre des Six Jours).

Les Hébreux traversaient le Jourdain pour gagner Chanaan, terre où coulaient le lait et le miel Gamma Le sommet arabe d'Alger (novembre 1973) recon­ naît l'O.L.P .

comme seul représentant légitime du peuple palestinien, malgré ses protestations .

L'Egypte et la Syrie soutiennent Hussein dans ses efforts pour se faire admettre comme l'un des interlocuteurs d'Israël.

L'économie subit le contrecoup de cet isolement et le gouvernement américain apporte une aide importante ainsi que l'Iran .

Pour se libérer de la dépendance étrangère le gouvernement jordanien, avec à sa tête M.

Zeid Rifaï, a lancé un plan trien­ nal de développement (novembre 1972).

Le roi consolide avec habileté les assises de son régime et les capitaux étrangers affluent à Amman : la Jordanie mise sur le dynamisme de son libéralisme économique et sur sa situation géographique , mais l'Etat dépend de l'assistance étrangère.

Si le monarque se rend à Washington et à Paris (avril et septembre 1977), il se rend aussi à Moscou, l'u.R.s.s .

ayant admis la participation de la Jordanie à la conférence de Genève .

La réconciliation avec Yasser Arafat lors de la conférence afro-arabe du Caire en mars 1977, l'al­ liance avec la Syrie et l' appui de l'Arabie Saoudite ont contribué à sortir la Jordanie de son isole­ ment.

Reste en suspens le statut d'un éventuel Etat palestinien : la plupart des pays arabes accepte­ raient , en 1980 , le plan de 1972.

Le roi Hussein condamne les implantations juives en Cisjordanie, mais il s 'est prononcé pour la reconnaissance mutuelle des droits d'Israël et des Palestiniens.

Le roi n'ignore pas qu'Amman est toujours le centre du conflit et il poursuit auprès des Grands comme auprès du monde arabe un jeu diplomati­ que difficile mais vital pour son royaume .

Epargné par la contestation islamique, son régime est un des plus stables du Proche-Orient.

ARABIE SÉOUDITE Une puissance dans le monde arabe L'ancien royaume du Hedjaz et du Nedj est devenu , en 1932, le royaume d'Arabie Séoudite avec pour monarque Ibn Seoud auquel succède, en 1953, son fils Seoud.

Une sourde rivalité l'op­ posait à son frère Fayçal , il est destitué en 1964 au profit de ce dernier, seul capable de redresser une situation alarmante : importante dette publique , réserve de devises épuisée et hausse des prix.

Le nouveau souverain s'efforce de moderniser un royaume théocratique et archaïque , et il écha­ faude les structures d'un Etat moderne avec l'ap­ pui des Etats-Unis et de leurs puissantes compagnies pétrolières.

L'Arabie est le premier pays producteur et exportateur de pétrole du Proche-Orient : Was­ hington et le royaume séoudien renforcent leur alliance pour le développement de la production .

La croissance spectaculaire de la production pétrolière donne à l'Arabie un rôle grandissant sur. »

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