Loi de 1846 sur le libre-échangisme
Publié le 15/06/2010
Extrait du document
L'Angleterre accepte le libre-échangisme. En 1846, le gouvernement britannique adopte une loi qui met fin aux pratiques protectionnistes de la L'abolition des Corn Laws en 1846 consacre la doctrine libérale du laisser-faire et du libre-échange. Cette abolition par le gouvernement de sir Robert Peel ouvre la voie à l'abrogation en masse des entraves à la liberté du commerce. Dès lors, il devient presque impossible de critiquer les principes du libre-échange; ses adversaires n'osent pas prononcer le mot de "protectionnisme" et se bornent à en appeler à une concurrence loyale. L'apogée du libre-échange est indissolublement liée à la Ligue contre les lois sur le blé et à Richard Cobden. Cobden devient une célébrité internationale, est invité partout en Europe pour expliquer les thèses de l'École de Manchester.
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- La liberté est-elle gênée par la loi, ou est-ce au contraire par la loi que l'on devient libre ? La loi s' oppose-t-elle dans son essence même à la liberté, ou la liberté a-t-elle besoin du droit pour être vraiment libre ?
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- Il n'y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu'un est au dessus des lois : dans l'état même de nature l'homme n'est libre qu'à la faveur de la loi naturelle qui commande à tous.
- Une loi, suivant sa véritable notion, n'est pas tant faite pour limiter, que pour faire agir un agent intelligent et libre conformément à ses propres intérêts : elle ne prescrit rien que par rapport au bien général de ceux qui y sont soumis.
- La loi ne consiste pas tant à limiter un agent libre et intelligent qu'à le guider vers ses propres intérêts, et elle ne prescrit pas au-delà de ce qui conduit au bien général de ceux qui sont assujettis à cette loi.