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MOUVEMENT OUVRIER: Réforme ET RÉVOLUTION de 1900 à 1909 : Histoire

Publié le 26/12/2018

Extrait du document

histoire

Des dernières années du xixe siècle à la guerre de 1914, l’cconomie capitaliste connaît une période d’intenses changements. La concentration croissante mais inégale du capital qui masque, derrière quelques monopoles, une réalité très diversifiée, le développement de l’actionnariat et du crédit, l’atténuation, voire la disparition des crises cycliques et enfin l'apparition d'un nouveau stade du capitalisme, l’impérialisme, sont autant de phénomènes auxquels se trouvent confrontés les dirigeants du mouvement ouvrier. La diversité des réponses théoriques apportées par Bernstein, Jaurès, Rosa Luxem-burg ou Lénine témoigne des difficultés rencontrées par ces derniers pour penser une situation devenue plus complexe, difficultés accrues par le manque d’unité de la classe ouvrière : prolétaires des grandes usines, salariés des métiers qualifiés, artisans, mineurs, etc. Mais plus encore, cette diversité révèle au sein de la famille socialiste le divorce définitif entre réformistes et révolutionnaires, qui sera la marque du xxc siècle.

 

La critioue révisionniste

 

Certes, un fort courant modéré qui s’oppose au recours à la violence et à la révolution a toujours existé dans le mouvement ouvrier. Mais, combattu par la doctrine marxiste qui domine alors dans les organisations socialistes, cantonné dans un «trade-unionisme» vieillissant ou dans un pragmatisme qui n’ose dire son nom, le réformisme doit attendre l’Allemand Eduard Bernstein pour retrouver une audience auprès des partis politiques et des syndicats.

 

Dans son livre, les Présupposés du socialisme, paru en 1899, Bernstein s’en prend aux fondements mêmes de la théorie marxiste. Critiquant, au nom d'une vision morale du socialisme, le primat accordé par Marx aux critères économiques, il réfute l’idée selon laquelle l'effondrement du capitalisme serait inéluctable. Une telle analyse, qui intervient au moment même d’un renversement de la conjoncture économique qui jusqu'en 1914 se caractérise par une phase d'expansion, l'amène à cette constatation: loin d’entraîner une paupérisation croissante des ouvriers, le capitalisme fait preuve d'une grande souplesse lui permettant de s’adapter aux crises et surtout de redistribuer de façon plus large les richesses produites. L’essentiel désormais ne réside plus dans la prise du pouvoir politique par le prolétariat mais dans le mouvement qui rend possible une lente avancée vers des conquêtes sociales. Dans la pratique, l’atténuation de la lutte des classes qui, selon lui, est en cours depuis plus d’une décennie, éloigne toute perspective révolutionnaire à court comme à long terme et autorise le SPD, devenu un «parti réformiste, démocrate-socialiste», à s’allier avec les éléments progressistes de la bourgeoisie pour obtenir l’instauration du suffrage universel et la mise en place d'un régime démocratique. Si le révisionnisme, seule véritable expression théorique de l’esprit réformiste, se heurte à une opposition à l’intérieur même du SPD, il rencontre une résonance certaine dans le mouvement ouvrier. En accordant une importance accrue au jeu parlementaire et aux problèmes de stratégie politique, il manifeste une communauté de pensée avec le ministérialisme qui existe en France et en Italie et conduit les socialistes à participer à un gouvernement bourgeois, ainsi qu’avec le marxisme légal, teinté d’économisme, qui, en Russie, accepte certains compromis avec l’idéologie nationaliste et impérialiste. Dans tous les cas, l’État cesse d’être perçu uniquement comme un instrument de coercition. Enfin, la préférence marquée pour la lutte en faveur des intérêts matériels au détriment de la mission révolutionnaire du prolétariat reçoit le soutien du mouvement syndical allemand et britannique qui préfère les négociations avec le patronat et la signature de conventions collectives à toute autre forme d’action. Surtout, préconisant le renforcement de l'appareil administratif, la social-démocratie et les syndicats allemands comme le «trade-unionisme» anglais favorisent la professionnalisation des militants et donnent naissance aux permanents. Ces administrateurs, qui vivent de et pour leur organisation, en viennent à privilégier son renforcement et à rejeter tout ce qui pourrait troubler l'augmentation du nombre des adhérents.

 

Le courant révolutionnaire

 

Une telle attitude suscite bien évidemment de fortes réactions parmi les partisans de la révolution.

 

Regroupée en Allemagne autour de Karl Liebknecht et de Rosa Luxemburg et en Russie autour de Lénine, l'opposition de gauche, malgré tout hétérogène et dispersée, reproche au révisionnisme l'abandon de la notion de dictature du prolétariat et la bureaucratisation du parti qui en paralyse l’action. Plus encore, elle dénonce la passivité, voire la bienveillance des amis de Bernstein envers la politique impérialiste des États européens.

 

Mais c’est en dehors de la famille socialiste que se manifeste l’opposition la plus importante au révisionnisme. Depuis les années 1890 se développe en effet un nouveau type de syndicalisme, révolutionnaire. sous l’impulsion des anarchistes qui abandonnent la propagande par le fait et les attentats pour pénétrer les organisations syndicales. Contrairement à l’unionisme anglais qui. en participant à la

histoire

« Hal f pipe 2004 : Wecxsteen ��.

Ski cross 2003 : Schmid 1� 1 ; 2004 : Brugge cul ; 2005 : Kraus 1151 .

DAMES JEUX OLYMPIQUES Sauts .

1994 : Cheryazova 117J ; 1998 :Stone 111 ; 2002 : Camplin 16 >.

Bosses .

1992 : Weinbrecht 111 ; 1994 : Hattestad 19 1 ; 1998 : Satoya 1� 1; 2002 : Traa .

CHAMPIONNATS DU MONDE Sauts 1986 : Quintana 111 ; 1988 : Palenik 111 ; 1989 :Lombard��; 1991 : Semenchuk ; 1993 : Cher yazova 1• 1 ; 1995 : Stone 111 ; 1997 : Marshall 161 ; 1999 : Cooper 161 ; 2001 : Bauer �� ; 2003 : Camplin 161 ; 2005 : Li (7)_ Bosses 1986 : Tiampo ; 1988 : Rossi m ; 1989 : Bucher ; 1991 : Breen ; 1993 : Breen ; 1997 : Kuchenko ; 1999 : Rasumovskaya < 11 >.

COUPE DU MONDE Général 1980 : Sloan ��; 1981 : Asselin ��; 1982 : Asselin ��; 1983 : Kissling ; 1984 : Kissling ; 2003 : Camplin 161 ; 2004 : Camplin 161 ; 2005 : Li (7)_ Bosses 1980 : Engish 111 ; 1981 : Engish Ill ; 1982 : Engish 111 ; 1983 : Wolff Ill ; 1984 : Engish 111 ; 1985 : Tiampo 01 ; 1986 : Tia mpo 111 ; 1987: Monod Pl; 1988 : Hattestad 191 ; 1989 :Monod Ill ; 1990: Weinbrecht Ill; 1991 : Weinbrecht 111 ; 1992 : Weinbrecht 11 1; 1993 : Hattestad 191 ; 1994 : Weinbrecht 11> ; 1995 : Monod m ; 1996 : Weinbrecht 111 ; 1997 : Mittermayer 181 ; 1998 : Elfman cu > ; 1999 : Battelle en ; 2000 : Battelle ; 2003 : Bahrke Ill ; 2004 : Heil I l l ; 2005 : Heil 131.

Bosses parallèles 1996: Gilg Ill ; 1997 : Gilg Ill ; 1998 : Traa ; 1999 : Roark 111 ; 2000 : Traa 1 91 ; 2002 : Gerg ; 2003 : Marbler .

Hal f pipe 2004 : Martinod Ill .

Ski cross 2003 : Faric !lOI ; 2004 : David m ; 2005 : David m.

ijiji[.!l.li:!.J.lil11 Le snowboard, longtemps considéré comme dangereux et rebelle, est désormais rentré dans le rang au point d'être admis aux jeux Olympiques.

DE LA MER À LA MONTAGNE Les pionniers américains t:origine du snowboard est américaine.

En 1929, le Californien Jack Burchett développe le premier modèle de « snowboard" � partir d'une planche de surf traditionnel.

Au cours des années 1960, des Américains poursuivent ce travail d'adaptation.

En 1963, Tom Sims développe un " ski board"· t:année suivante, Sherman Popper relie deux skis, pose une dérive et attache une poignée � la pointe de la planche.

t:engin baptisé "snurfer " est aussitôt commercialisé.

En 1970, un million d'exemplaires ont été vendus.

Dimitrije Milovich ajoute des carres en métal �l'engin de Popper.

D'autres entreprises adaptent le surf aux pistes de ski en améliorant peu � peu les performances d'une planche plus destinée � la poudreuse.

t:essor du surf et du skate-board permet au snowboard de rencontrer le succès aux États-Unis dès le début des années 1980.

Pourtant, beaucoup de stations de ski américaines refusent d'ouvrir leur domaine � la pratique du surf, jugée trop dangereuse.

Un sport de compétition Au début des années 1980, des entreprises européennes développent leurs propres prototypes.

La pratique se répand.

Des compétitions s'organisent � travers le monde.

Le premier Championnat des États-Unis se tient en 1982.

Le système de fédérations sportives se met également lentement en place.

En 1990, l'International Snowboarding Federation (ISF) est créée.

Elle organise le premi er Championnat du mon de en 1993 en Autriche.

La FIS reconnaît la discipline quatre ans plus tard et lui permet de recevoir le label olympique en 1998.

A Nagano au Japon, des épreuves de slalom et de hoff pipe sont organisées.

L'engouement dans les années 1990 Au cours des années 1990, toutes les stations de sports d'hiver accueillent volontiers les surfeurs.

La pratique sportive se diversifie.

Une partie des disciplines pratiquées au cours des compétitions privées, à l'exemple des X-Games (big air, ski cross), sont peu � peu reprises par la FIS, qui met en place des épreuves de Coupe du monde.

Au point que l'épreuve de ski cross sera organisée aux jeux Olympiques pour la première fois �Turin en 2006.

Peu� peu, le snowboard se structure et s'intègre � la famille des sports d'hiver.

LES DISCIPUNES Les slaloms Cette discipline est identique � celle pratiquée en ski alpin.

Après avoir été longtemps individuel, le slalom se pratique en parallèle lors de la Coupe du monde et des JO.

• Slalom : dénivelé : 120 rn � 180 rn ; longueur : 600 rn maximum ; nombre de portes : 35 � 55 ; distance entre les portes : 8 rn� 15 m.

Deux manches.

Les 15 meilleures femmes et les 25 meilleurs hommes participent � la seconde manche.

• Géant : dénivelé : 200 rn � 400 rn ; longueur : pas de limite ; nombre de portes : variable ; distance entre les portes : 25 rn � 30 m.

Deux manches.

Les 15 meilleures femmes et les 25 meilleurs hommes participent � la seconde manche.

• Super Géant : dénivelé : 350 rn � 550 rn ; longueur : pas de limite ; nombre de portes : variable ; distance entre les portes : minimum de 25 m.

Une seule manche.

• Slalom parallèle : dénivelé : 80 rn à 120 rn ; longueur : pas de limite ; nombre de portes : environ 25.

• Géont porollèle : dénivelé : 120 rn � 200 rn ; longueur : de 400 rn � 700 rn ; nombre de portes : autour de 25 ; distance entre les portes : 20 rn� 25 m.

Les courses en parallèle comprennent une ou deux séances de qualifications.

Les 16 premiers sont qualifiés.

Ils s'affrontent en deux manches, passant chacun dans les deux parcours.

Le vainqueur du duel continue son parcours jusqu'� la finale.

Le hal f pipe t:épreuve se dispute dans un demi-tube tracé dans la neige.

Sa longueur varie de 100 rn� 140 rn, avec une inclinaison de 14 % à 18 % et une hauteur des murs de 3 rn � 4,5 m.

Le surfeur doit réaliser des ocro blltles en se servant des deux bords du tube pour s'élever dans les airs .

Chaque compétiteur réalise entre 6 et 8 figures avec un accompagnement musical.

La prestation des surfeurs (difficulté des acrobaties, attitude générale lors de la descente, ampleur des sauts, réception de chaque saut) est notée par 5 juges.

t:épreuve comprend une ou deux manches de qualification.

La meilleure des deux notes est retenue et les 6 ou les 12 mieux classés accèdent à la finale.

Deux nouvelles manches sont disputées en finale.

Le meilleur score des deux manches désigne le vainqueur.

Snowboard cross (boardercross) Les surfeurs descendent simultanément par 4 ou 6 un parcours composé de portes, de bosses (whoops}, de vagues (waves), de bords inclinés (banks}, desouts (kickers).

La longueur du parcours est variable.

t:épreuve commence par une ou deux manches de qualification individuelle.

Seul le meilleur des deux temps est retenu.

Les 48 ou 32 meilleurs coureurs accèdent� la finale selon la formule.

Puis les finalistes sont répartis en séries de 4 ou 6 concurrents.

Les 2 premiers (série � 4} ou les 3 premiers (série � 6) participent au tour suivant, et ainsi de suite jusqu'� la finale.

Le big air Cette discipline consiste à effectuer une figure � partir d'un tremplin.

Le site doit répondre aux caractéristiques suivantes : piste d'élan de 60 rn environ, tremplin (5 rn de large, entre 2,5 rn et 3,5 rn de haut angle de 25• à 30•), zone de réception (angle 30°, 35 rn de long, 22 rn de large).

Un jury de 5 personnes note chaque saut (la meilleure et la plus mauvaise note sont retirées).

La compétition comprend deux manches de qualification.

Les 6 meilleurs hommes et les 4 meilleures femmes de la première manche se qualifient directement pour la finale.

En finale, les 8 femmes qualifiées et les 12 hommes effectuent 2 nouveaux sauts.

Les 10 meilleurs hommes et les 6 meilleures femmes peuvent effectuer un troisième saut.

La note finale prend en compte les deux meilleurs sauts.

'h!M·PN 1.

ÉU; 2.

France ; 3.

Canada ; 4.

URSS; 5.

Ukraine ; 6.

Australie ; 7.

Chine ; 8.

Allemagne ; 9.

Norvège ; 10.

Autriche; 11.

Russie; 12.

Biélorussie ; 13.

Suède ; 14.

Finlande; 15.

Rép.

Tchèque ; 16.

Suisse ; 17.

Ouzbékistan ; 18.

Japon ; 19.

Italie ; 20.

Slovénie ; 21.

Pays-Bas HOMMES lEUX OLYMPIQUES Géant 1998 : Rebagliati ��.

Géant parallèle 2002 : Schoch c�>.

Half pipe 1998 : Simmen (16) ; 2002 : Powers m.

CHAMPIONNATS DU MONDE Slalom 1997 : Kroschewski ; 1997: Jacoby 11>; 1999 : Huet m; 2001 : Jaquet 116 1 ; 2003 : Grabner 1� 1 ; 2005 : Anderson m.

Géant parallèle 1999: Rikardsson c u >; 2001 : Huet �� ; 2003 : Kosir llO> ; 2005 : Anderson��.

Hal f pipe 1996 : Powers Ill ; 1997 : Rohrer ; 1999 : Brower 111 ; 2001 : Christiansen 19 1 ; 2003 : Keller 1161 ; 2005 : Autti !Ml.

Boardercross 1997 : Pramstaller c�> ; 1999 :Janssen ; 2001 : Nantermod c�> ; 2003 : Delerue Ill ; 2005 : Wescott 111, Big air 2003 : Mattila c•>; 2005 : Aut ti !Ml .

COUPE DU MONDE Général 1996 : Jacoby ; 1997 : Walder c�J ; 1998 : Koller c�J ; 1999 : Bozzetto Ill ; 2000 : Bozzetto �� ; 2001 : Anderson ; 2002 : Anderson Ill ; 2003 : Anderson Il l ; 2004 : Anderson�� ; 2005 : Schoch c�>.

Slalom 1995 : Pichler ce >; 1996: Pichler c el ; 1997 : Frenademez ce >; 1998 : Rikardsson ; 1999 : Bozzetto ��.

Géant 1995 : Jacoby 111 ; 1996 : Jacoby ; 2002 : Kosir !lOI.

Parallèle 1995 : Jacoby 111 ; 2000 : Bozzetto �� ; 2002 : Bozzetto �� ; 2003 : Bozzetto Ill ; 2004 : Grabner ; 2005 : Schoch 1� 1.

Slalom Parallèle 2001 : Bozzetto �� ; 2002 : Bozzetto ��.

Géant parallèle 2000 : Bozzetto m ; 2002 : Kosir llO>.

Hal f pipe 1995 : Grego ry 111 ; 1996 : Powers 111 ; 1997 : Gunnarsson cu > ; 1998 : Sterner cu > ; 1999 : Powers 111 ; 2000 : Johansson ; 2001 : Sterner cu > ; 2002 : Michaelis �� ; 2003 : Hoffmann ; 2004 : Mattila ; 2005 : Crepel m.

Boardercross 1997 : Messner ; 1998 : Koller ; 1999 : Duclos Ill ; 2000 : Stahlkloo ; 2001 : Stahlkloo ; 2002 : Anderson m ; 2003 : Delerue Ill ; 2004 : Delerue m; 2005 : Delerue ��.

Big air 2003 : Eratuli ; 2004 : Ax ; 2005 : Eratuli .

DAMES lEUX OLYMPIQUES Géant 1998: Ruby Ill.

Géant parallèle 2002 :Blanc �>.

HaH pipe 1998: Thost ; 1999 : Posch ce >; 2001 : Ruby m; 2003 : Blanc�� ; 2005 : Meu li ; 2003 : Bruhin .

Boardercross 1997 : Ruby m ; 1999 : Pomagalski m ; 2001 : Ruby Ill ; 2003 : Ruby Ill ; 2005 : Jacobellis 111.

COUPE DU MONDE Général 1996 : Ruby m ; 1997 : Ruby m ; 1998 : Ruby m; 1999 : Riegler ; 2002 : Ruby P> ; 2003 : Ruby P> ; 2004 : Pomagalski m ; 2005 : Meuli .

Slalom 1995 : Boerma (111 ; 1996 : Ruby Ill ; 1997 : Ruby Ill ; 1998 : Ruby Ill ; 1999 : Posch c e >.

Géant 1995 : Ruby Pl ; 1996 : Ruby Pl ; 1997 : Ruby m; 1998 : Ruby m; 1999 : Parini cel ; 2000 : Parini 1� 1 ; 2001 : Ruby Ill ; 2002 :Von Siebenthal .

Parallèle 1995 : Posch ; 2000 : Blanc Ill ; 2001 : Bruhin 1• 1 ; 2003 : Bruhin 1161 ; 2004 : Meuli 1161 ; 2005 : Meuli 1 � 1.

Slalom Parallèle 2001 : Ranigler 1� 1 ; 2002 : Ruby a>.

Géant parallèle 2000 : Blanc Pl ; 2002 :Blanc Ill.

Hal f pipe 1995 : Sadeghi 111 ; 1996 : Van Kilsdonk (llJ ; 1997 : Teigen �� ; 1998; Vidal m; 1999 : Byrnes 111 ; 2000 : Wehr-Hasler ; 2001 : Wehr- Hasler 181 ; 2002 : Pederzolli 111 ; 2003 : Pesko 1 16 1 ; 2004 : Yamaoka c�J ; 2005 : Narita .

Boardercross 1997 : Ruby a>; 1998 : Fingerlos ; 1999 : Fingerlos c�> ; 2000 : Farmand ; 2001 : Rub y Ill ; 2002 : Krings ; 2003 : Ruby Ill ; 2004 : Ruby a1 ; 2005 : Krings c•>.. »

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