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Pourquoi revenir au passé ?

Publié le 05/11/2005

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nous pouvons dire que nous nous intéressons à notre passé pour ne pas reproduite les erreurs que l’on a pu faire au cours de l’histoire et donc d’en tirer des « bonnes « leçons. Connaître son passé c’est peut-être le maîtriser et donc de ne plus subir les effets négatifs. Pour cela, nous pouvons prendre l’exemple de la Seconde Guerre Mondiale avec le terrible crime que l’on nomme génocide consistant à éliminer un peuple. Ce crime fait parti d’une atrocité de l’histoire où il y a eu l’extermination de millions de personne à cause de la « solution finale « prise en 1941, et donc d’anéantir tous les juifs d’Europe. Nous pouvons donc dire que l’on s’intéresse à l’histoire du passé pour éviter, empêcher d’autres crimes d’une telle atrocité. Comme nous le souligne Schopenhauer : « Cader sed aliter « [les même choses mais d’une autre manière].

« Nous venons de voir l'histoire comme histoire du peuple.

Maintenant, nous pouvons nous intéresser lepassé comme un déterminisme de façon à se développer toujours complètement et conformément à un but.

Grâce à l'histoire, on essaye de comprendre le sens que l'individu peut avoir.

L'idée d'un sens de l'histoire àexactement la même fonction, autrement dit le sens c'est à la fois l'orientation et la signification de ce sens.

SelonKant, le principe de finalité qui servira de fil directeur.

Ce principe stipule que « la nature aurait un chemin, la naturene fait rien en vain ».

Autrement dit, comprendre le sens du passé ce poursuit par un but, a une finalité et doncnous pouvons parler de destin et donc que l'individu doit évoluer en comprenant son passé.

De plus, nous pouvonsdire que ce sens détermine notre avenir.

Ensuite, pour Hegel, ce n'est pas l'homme qui fait l'histoire car l'individu suit ses passions.

La raison se réalisedans l'histoire comme apparition progressive de l'Idée.

Il y a la raison qui guide l'humanité vers ce qu'elle doit être Finalement, nous pouvons dire que nous nous intéressons à notre passé pour ne pas reproduite les erreurs quel'on a pu faire au cours de l'histoire et donc d'en tirer des « bonnes » leçons.

Connaître son passé c'est peut-être lemaîtriser et donc de ne plus subir les effets négatifs.

Pour cela, nous pouvons prendre l'exemple de la SecondeGuerre Mondiale avec le terrible crime que l'on nomme génocide consistant à éliminer un peuple.

Ce crime fait partid'une atrocité de l'histoire où il y a eu l'extermination de millions de personne à cause de la « solution finale » priseen 1941, et donc d'anéantir tous les juifs d'Europe.

Nous pouvons donc dire que l'on s'intéresse à l'histoire du passépour éviter, empêcher d'autres crimes d'une telle atrocité.

Comme nous le souligne Schopenhauer : « Cader sedaliter » [les même choses mais d'une autre manière]. En conclusion, nous pouvons donc dire qu'il est sans doute plus tentant d'oublier le passé parce que cela paraitplus facile.

Mais, l'homme ne peut agir pleinement son avenir si le passé est connu et assuré jusque dabs sesaspects les moins encourageants.

Nous pouvons voir qu'il y a un véritable intérêt pour l'histoire et donc pouraccueillir l'avenir avec confiance.. »

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