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Le progrès n'est pas une « route en lacets » - ALAIN

Publié le 15/07/2012

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alain

Peut-on concevoir ce progrès comme un développement continu du savoir par complexification croissante ?

Mais ne serait-ce pas un refus de prendre en compte l’histoire réelle des sciences dans leurs révolutions théoriques ?

Barchelard soutient longuement dans ses livres sur la physique et la chimie l’idée qu’il y a dans l’histoire des sciences des « sauts », des « bonds », des « failles », « des ruptures ».

Autrement dit il n’y aurait pas progression par accumulation simple et élargie (cf la révolution théorique opérée par Einstein, par exemple, en physique).

???

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