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Résumé Deuxième Leçon De Psychanalyse de Freud

Publié le 11/09/2011

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Cet extrait des Cinq leçons sur la psychanalyse de Sigmund Freud est nommé « Deuxième leçon «. . Cette seconde partie de l'ouvrage s'étend de la page 16 à la page 21.  Cet ouvrage est paru en 1904, et fut traduit de l'Allemand par Yves Le Lay en 1921.  Sigmund Freud (1856-1939) est considéré comme l'un des père de la psychanalyse.  Il est également l'auteur de Étude sur l'hystérie, rédigé en collaboration avec le D. Joseph Breuer en 1895 ; L'interprétation des rêves (1900) ; Trois essais sur la théorie sexuelle (1905) : Totems et Tabous (1915) ou encore Introduction à la psychanalyse (1917).   

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« fREUD Cinq leçons sur la psychanalyse 1909 ~C'est, en pleine lumière que J'on triomphe du désiL » (Deuxième leçon) >Repères Ce texte est un recueil de cinq conférences prononcées aux États-Unis pour présenter la psychanalyse à un public de non-initiés.

Freud (1856-1939) y expose les enjeux de cette nouvelle discipline face à la médecine traditionnelle qui refuse de considérer les maladies mentales comme autre chose que des exagérations feintes ou des dégénérescences physiques.

Il expose ainsi les principes de cette nouvelle discipline, mais aussi ses buts et ses méthodes thérapeutiques, ainsi que ses enjeux par rapport à la société.

D'un accès facile, ce texte constitue une excellente introduction à l'œuvre de Freud.

>Problématique Ceux que l'on catalogue de fous agissent par définition de manière étonnante, apparemment illogique et incompréhensible.

Aussi, de nombreux médecins considèrent-ils les comportements des aliénés comme feints, arbitraires, voire comme des marques de dégénération mentale.

Et face à de tels cas, ils n'envisagent que l'isolement, l'enfermement.

Mais Freud va montrer qu'un comportement déraisonnable n'est pas dénué de raison, que l'on peut et doit l'étudier rationnellement pour pouvoir espérer une guérison.

Appréhender rationnellement la maladie mentale implique de se défaire des illusions de la raison (suprématie de la conscience, du savoir et du pouvoir médical, sépa­ ration de l'âme et du corps ...

) et que l'on admette l'hypothèse de l'incons­ cient.

Mais ne risque-t-on pas de tomber dans l'irrationnel à vouloir étudier l'inconscient qui, par définition, échappe à la conscience ? Freud va mettre en avant que non seulement l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire, mais que l'on peut y avoir accès pour débloquer certaines situations pathologiques.

>Thèses essentielles t Le déterminisme psychologique Les symptômes des maladies mentales n'ont rien d'arbitraire: on peut non seulement expliquer leurs causes mais en interpréter le sens.

Les fous sont malades pour n'avoir pas pu assimiler une émotion passée trop angoissante e12. »

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