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Thierry Horguelin: La Nuit Sans Fin

Publié le 17/02/2011

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Thierry Horguelin est un nouvelliste de la littérature québécoise. Il écrit en 2009 La Nuit Sans Fin qui est publiée chez l’éditeur québécois L’Oie de Cravan. La Nuit sans fin est un recueil de nouvelles qui se compose de sept histoires. La nouvelle intitulée « Le trou du souffleur « est, sans conteste, la perle de ce recueil.   Suite à la lecture des le trou du souffleur, on peut affirmer que Louis Dembour perd le contrôle de sa propre vie. Nous verrons que Louis Dembour se laisse dominer par son imagination, qu’il a la difficulté à gérer ses émotions, et aussi qu’il est incapable de contrôler ses gestes.

 Tout d’abord, on remarque que Louis Dembour est un personnage qui se laisse dominer par son imagination. Il croit pouvoir revivre la scène où le poète Nerval se pendu en 1855 à l’endroit où se situe aujourd’hui le trou du souffleur du Théâtre Sarah-Bernhard. D’ailleurs, Louis Dembour, imagine que les rues de 1855 se ressemblent encore à celles d’aujourd’hui «  Puisque les rues d’hier hantent encore celles d’aujourd’hui, f devait exister entre elles des points de contact privilégiés. «, « il se pourrait que chaque année, dans la nuit du 25 au 26 janvier, la ruelle fantôme réapparaisse dans le théâtre désert, et que la scène affreuse se rejoue, entre l’escalier et la grille d’égout. « Louis Dambour est persuadé qu’il peut revivre le moment où Nerval se pendu. Il décide de s’enfermer dans la salle du Sarah-Bernard, et passer la nuit dans le trou du souffleur. D’autre part, Louis Dembour, imagine entend des bruits et voir des ombres. « De temps…mystérieux. «, « dembou…personne « une fois les lumières éteintes, louis dembour commence à imaginer des ombres et à écouter des bruits bizarres. Bref, on peut remarquer que son imagination l’amène à vouloir revivre la légende urbaine de la scène.

 

Ensuite, LD a la difficulté à gérer ses émotions, c’est un personnage, que tout le long d’histoire, il éprouve de l’angoisse. «  une terreur..Interminable. « Il a une peur intense face au danger qui peut l’arriver. D’autre part, il est dominé par sa peur. « dem petrifi «  l’auteur utilise le procédé d’énumération, pour montrer et faire sentir aux lecteurs la peur qui règne sur dembour. On remarque ici, que d. panique et il veut partir du théâtre, mais il se sent coincé dedans, et il se rendre compte après qu’il est trop tard. Bref, on peut voir que D. est envahit par ses peurs ce qui fait qu’il est incapable de réagir comme il veut.

 

            Dans le même ordre d’idées, après la lecture le trou de souffleur, on remarque que Ld. À l’incapacité de contrôler ses gestes. Il ne se sent pas apter de réagir face à la réalité « de ..crier «

d. voudrait crier demander de l’aide, mais il n’est pas capable, car la peur qu’il a est plus forte que lui. «  le visage…comme.. «  L’auteur utilise ici le procédé de comparaison, pour que le lecteur puisse imaginer  la scène comme un macabre et montrer jusqu’à quel point l’imagination de D. peut arriver. Donc, L.D. a des soucis pour maîtriser ses gestes.

            Pour conclure, LD. Perds le contrôle de sa propre vie, car son imagination est plus forte que lui, il veut revivre la légende urbaine,  de plus sa peur le domine ce qui fait qu’il n’arrive pas à faire et à réagir comme il voudrait. Il a tellement peur que de fois il n’arrive plus à parler.  La Nuit sans fin est une nouvelle qui parle du réel au rêve, du monde de vivants au monde de mortes. T.H. a écrit sept   différentes nouvelles dans  ce recueil, et ils font référence à la littérature classique qu’à la culture contemporaine comme le cinéma.

 

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