La vision de la femme

« couche protectrice contre les « défaillances de la nature » : la femme est donc dépourvue d’armes pour affronter les difficultés de la vie, elle donc dépendante.

Cependant, même si l’auteur ne représente pas le stéréotype de femmes, elle est « souffreteuse », « nerveuse », et sensible à la maternité : émotions traditionnelles, et associées aux femmes.

Finalement, dans le dernier texte, Simone de Beauvoir déclare de façon ironique la destinée de la femme : « objet et proie » , elle est vouée à être subjuguée.

Cependant elle explique que cette dernière nie son destin imposé, et prend la décision de « se mutiler », expression qui exagère cette soumission des femmes.

Les misogynes, elle dit, accuse les femmes de s’embellir quan d elles veulent s’apparenter aux hommes, cependant la féminité est caractérise comme accoutumées à suivre les modes ; mais ces canons évoluent pour s’assimiler au mâle, ce qui montre la volonté de l’émancipation féminine et leur nécessité de devenir indépendantes.

Ainsi, la femme se montre un comme un être suffoquée dans une société qui l’écrase par le poids de l’homme, et donc adhère à une nécessité d’indépendance et de liberté.

Ces trois textes favorables à la démonstration des conditions des femmes qui les rendent nuisibles et inaptes comme être, dépeignent donc leur vision de la femme à différente s époque s, mais une même idée reste présente tout au long de ces trois siècles : la femme est un soumise à l’homme.

Nous nous rendons compte à leur lecture qu e c’est l’homme qui utilisent de tous ses moyens, afin de l’isoler, de la rendre ignorante et de lui empêcher d’évoluer, afin qu’elle reste sa servante éternelle.

Ainsi ces trois extraits prônent la reconnaissance de la femme comme être égal à l’homme.. »