Guillaume Apollinaire

Biographie : 

 

Guillaume Apollinaire (ou Wilhelm Albert Włodzimierz Apollinary de Wąż-Kostrowicki) est un poète et écrivain Français né le 25 août 1880 d’un père inconnu et d’Angelica, sa mère. En 1900 il s’installe à Paris et, n’ayant que très peu d’argent, passe un diplôme de sténographie et devient employé de banque pour gagner sa vie.

 

Il est considéré comme l’un des principaux poètes français du début du XXe siècle, avec des recueils comme « Alcools » (1913), « Calligrammes » (1918) ou encore « Poèmes à Lou ». Il écrit également des nouvelles (« Le Poète assassiné », 1916) et des romans érotiques (« Les Onze Mille Verges », 1907), mais aussi du théâtre (« Les Mamelles de Tirésias », 1917). Il est l’inventeur du terme calligramme qui désigne ses poèmes écrits en forme de dessins.

 

Engagé dans la guerre de 14, il est gravement blessé mais c’est la grippe espagnole qui le fera passer de l’autre côté au moment où est signée l’armistice de 1918.

 

 

 

 

 

 

 

Le Cubisme :

 

Le cubisme est un mouvement artistique du début du XXe siècle.

Les œuvres cubistes représentent des objets décomposés et réassemblés pour en faire une composition abstraite qui multiplie les points de vue.

 

L'inspiration première vient de l’œuvre de Cézanne. Braque et Picasso en créant le courant cubisme mettent fin à la perspective, principe fondamental de la peinture depuis la renaissance. Quelques grands artistes cubistes sont : Pablo Picasso, Georges Braque, Fernand Léger, Pieter Mondrian ou encore Robert Delaunay.

 

 

 

15 poèmes :

 

La porte ; La blanche neige ; Annie ; Les colchiques ; Le brasier ; Rosemonde ; Saltimbanques ; Salomé ; Marizibill ; Un soir ; L’Emigrant de Landor Road ; Clair de lune ; Hôtels ; Signe ; Le vent nocturne.

 

 

 

 

 

 

 

Illustrations :

 

La blanche neige :

 

     

Par Martin Missfeldt, peinture numérique : Matthew prend l'Evangile par un ange (d'après Poussin)

 

Saltimbanques :    

 

Par Picasso, Famille de saltimbanques

 

Clair de lune :

 

 

Jean-François Millet : Le parc à moutons, clair de lune