Devoir de Philosophie

Tourisme solidaire en espagnol

Publié le 10/05/2021

Extrait du document

Nous allons définir le tourisme de masse et donner ses inconvénients puis, faire pareil pour le tourisme durable. Tout d’abord, le tourisme de masses peut être défini par des chiffres. En effet, selon l’Organisation Mondiale du Tourisme, 95 % des touristes mondiaux se concentrent sur moins de 5 % des terres émergées. Nos destinations de voyages ne sont pas assez diversifiées, et cela a un impact direct sur les territoires les plus prisés, leurs populations et leur environnement. Le tourisme de masse est un concept né après les années 1960 en raison de la diminution des heures de travail par semaine et de la création des congés payés. Le tourisme de masse se limite souvent aux côtes, aux villes ou aux sites les plus connus d'une destination. Ce type de tourisme suppose des coûts de vacances moindres, favorisés par des moyens de transports et d'hébergement toujours plus accessibles. Mais le tourisme de masse est aussi une des conséquences de l'accès du plus grand nombre aux vacances. Le tourisme de masse présente des avantages mais beaucoup d’inconvénients. Le seul avantage est économique car le tourisme génère de l’argent et assure un salaire aux saisonniers, guide touristiques, et à encore beaucoup de personnes. Ceci est valable hors pandémie mondial comme celle du coronavirus que la majorité des pays subit. Cependant les inconvénients et conséquences sont nombreux. Tout d’abord, le tourisme de masse ne profite pas aux populations locales des pays visités. On constate également que l'arrivée massive de touristes finit par entraîner des dégradations sur les sites touristiques, dont il faut alors limiter la fréquentation par diverses mesures. Il y a aussi, la consommation exagérée des ressources naturelles, les pollutions diverses par les déchets, le bruit, la pollution de l'eau, de l’air et la pollution visuelle. Venise est victime du tourisme de masse. La place Saint-Marc, accueille 25 millions de visiteurs par an sans parler des navires de croisière qui menacent la ville construite sur pilotis de s’effondrer. L'eau qui est une denrée rare dans les pays chauds attractifs, est particulièrement gaspillée au sein des grands complexes hôteliers, au détriment des populations locales. En moyenne dans les régions tropicales, 27 litres d'eau sont consommés par jour et par habitant contre 100 litres par jour et par touriste. En bord de mer, cette eau est le plus souvent pompée directement dans la nappe phréatique, ce qui a régulièrement pour conséquence un affaissement du sol et une infiltration du sable des plages. Dans ce cas de figure, les plages concernées ont ainsi tendance à disparaître, ce qui fait baisser la fréquentation touristique. Les croisières sont en train de devenir toujours plus populaires et elles transportent chaque année 20 millions de passagers dans le monde. Mais elles sont aussi un mode de transport très polluant, parce qu’il a une incidence majeure sur la production totale de CO2 dans le secteur touristique et, en plus, il est la cause de la destruction des systèmes marins. En effet, les poissons, les mollusques et les barrières de corail peuvent mourir à cause des excès d’azote et phosphure causés par les eaux usées des bateaux. La principale cause de la pollution est le carburant qui est le fioul. Celui-ci est bien moins cher que le diesel mais est plus polluant. La Baie d’Along est très menacée par la pollution ; ce site attire de plus en plus de bateaux qui polluent beaucoup. En effet, la Baie d’Along a attiré en 2019 15 000 visiteurs par jour, soit deux fois plus qu’en 2016. Cependant, sur leur passage, bateaux et touristes laissent de nombreux détritus. De même au Pérou, de nombreux dégâts sont produits sur l’écosystème, à cause des constructions d’infrastructures touristiques polluantes et gourmandes en eau et décharges sauvages. Le Mont Blanc croule sous les déchets ce qui est également représentatif du tourisme de masse. Ces dernières années, les pouvoirs publics ont dû mener des campagnes contre les déchets abandonnés par les alpinistes, les randonneurs ou les campeurs sauvages. Ensuite, les moyens de transport multiples utilisés par les voyageurs contribuent à l’émission du CO2 et les gaz à effet de serre, des milliers d’avions de touristes atterrissent et décollent, des bus touristiques circulent quotidiennement, ainsi que les bateaux de croisières qui longent les littoraux. Par exemple, un bateau de croisière produit 7000 tonnes de déchets par an. Le tourisme, c’est aussi 60% du trafic aérien mondial. Les exemples de sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, pour en assurer la protection ne manquent pas et sont en pleine augmentation. Parfois la nature et le temps sont responsables des dégradations, parfois c'est la sur-fréquentation touristique qui en porte la responsabilité.

 Le tourisme durable est une nouvelle forme de tourisme qui commence à être connu et qui se développe de plus en plus depuis quelques années. Celui-ci englobe toutes les formes de tourismes dites responsables qui sont respectueuses de l’environnement et soucieuse du bienêtre des populations. Les bénéfices du tourisme équitable se répartissent avec équité entre le voyageur et les populations locales qui accueillent les visiteurs qui sont utilisés généralement pour entretenir les sites, les monuments, les transports. C’est un tourisme qui tient pleinement compte de ses impacts économiques en appliquant un partage équitable des retombées économiques issues du tourisme et une employabilité viable et durable. Il y a de plus, des impacts sociaux en venant en aide aux populations pour lutter contre la pauvreté mais aussi en encourageant la tolérance interculturelle et le respect des modes de vies de ces populations. Il prend aussi compte ses impacts environnementaux en plaçant la préservation de la nature au cœur de la valorisation touristique et en soutenant la sauvegarde des ressources naturelles. Il s’améliore de plus en plus pour lutter contre les dérivés du tourisme de masse. Le secteur du tourisme représente aujourd’hui dix pourcents du PIB mondial et un emploi sur onze. Indirectement lié à de nombreux secteurs économiques, il est un levier d’influence grandissant. C’est parce qu’aujourd’hui l’activité touristique est à la fois un des secteurs les plus porteur qu’il est primordial de favoriser la sensibilisation des voyageurs à des gestes éco-responsables pour allier au mieux tourisme et développement durable. Nous avons plusieurs exemples de tourisme durable dans le monde comme le groupe Allibe qui propose 6 jours de balade et une immersion dans le Vietnam traditionnel avec la découverte de différents villages où chacun à sa culture, ici le but est de s’adapter aux peuples vietnamiens. Dans le tourisme durable, il y a le tourisme solidaire comme le circuit solidaire à Madagascar qui est basé sur les échanges culturels et le respect d’autrui car on le sait Madagascar est connu pour la beauté de ses terres mais surtout pour sa population, le but de ce voyage étant de découvrir le pays dans tous ses domaines : l’agriculture, l’environnement, l’éducation et la santé. Il y aussi des exemples d’écotourisme comme au Kenya avec Terra Natura qui s’engage à reverser la moitié du prix payé par les touristes aux peuples locaux. C’est un programme qui a pour but de s’engager autour de la conservation de la faune et de la flore, la plantation d’arbres, la scolarisation, la gestion de l’accès à l’eau potable et le traitement des déchets. On remarque donc qu’il y a différentes formes de tourismes qui participent au tourisme durable, chacun à sa manière.

 

 

 

 

 


Al principio, voy a presentar el video.  Este video es una campaña a favor del turismo sostenible. En efecto, en el video vemos diferentes imágenes con frases que se parece a una persona que están hablando y cuando miro todo el video me parece que es la naturaleza que está hablando a los turistas y como si quiere que creer una relación de confianza entre ella y los turistas. Muestra que juntos podemos cambiar el mundo y reinventar el turismo de más en turismo sostenible. Para ella, nada es imposible. En el video hay imágenes de la naturaleza, de diferentes culturas, de animales también, muchas buenas cosas. Vemos paisajes de muchos países, personas que representan su cultura. Me alegra que la naturaleza sea tan rica. Al final del video, hay el eslogan que representa los principios del turismo sostenible, «viaja, disfruta, respecta», es el mensaje del video. Los miembros del ONG piden que los turistas elijan el buen turismo, el que respecta la naturaleza y que limita la contaminación. En el video está escrito «soy como tú, tú eres como yo y juntos podemos cambiar el mundo», esta frase representa para mí la unión de todos, Me sorprende que algunos turistas privilegien el turismo de masas hoy otra vez. El video muestra que el turismo sostenible están bueno como el turismo de masas y hay muchas cosas hermosas que descubrir con cosas sencillas que respetan la naturaleza y los habitantes.

A continuación, vamos a definir el turismo de masas y a exponer sus inconvenientes, y luego haremos lo mismo con el turismo sostenible. En primer lugar, el turismo de masas puede definirse con cifras. En efecto, Según la Organización Mundial del Turismo, el 95% de los turistas del mundo se concentran en menos del 5% de la superficie terrestre. Nuestros destinos turísticos no están lo suficientemente diversificados, lo que repercute directamente en los territorios más codiciados, en sus poblaciones y en su entorno. El turismo de masas es un concepto que nació a partir de los años sesenta debido a la reducción de las horas de trabajo semanales y a la creación de las vacaciones pagadas. El turismo de masas suele limitarse a las costas, las ciudades o los lugares más famosos de un destino. Este tipo de turismo implica unos costes vacacionales más bajos, favorecidos por unos medios de transporte y alojamiento cada vez más accesibles. Pero el turismo de masas es también una de las consecuencias del acceso a las vacaciones del mayor número de personas. El turismo de masas tiene ventajas pero muchos inconvenientes. La única ventaja es económica, porque el turismo genera dinero y proporciona un salario a los temporeros, a los guías turísticos y a mucha más gente. Esto es válido fuera de una pandemia global como la del coronavirus que la mayoría de los países están sufriendo. Sin embargo, las desventajas y consecuencias son numerosas. En primer lugar, el turismo de masas no beneficia a las poblaciones locales de los países visitados. También se ha observado que la afluencia masiva de turistas acaba provocando daños en los lugares turísticos, que deben limitarse con diversas medidas. También hay un consumo excesivo de los recursos naturales, hay varias formas de contaminación por residuos, ruido, agua, aire y contaminación visual. Venecia es víctima del turismo de masas. La Plaza de San Marcos recibe 25 millones de visitantes al año, por no hablar de los barcos de cruceros que amenazan con derrumbar la ciudad construida sobre pilotes. El agua, que es un bien escaso en los atractivos países cálidos, se despilfarra especialmente en los grandes complejos hoteleros, en detrimento de la población local. En las regiones tropicales se consumen por término medio veintisiete litros de agua al día y por habitante, contra cien litros al día y por turista. En la orilla del mar, la mayor parte de las aguas se bombean directamente a las capas freáticas, lo que provoca regularmente el hundimiento del suelo y la infiltración de la arena de las playas. En este caso, las playas en cuestión tienden a desaparecer, lo que se traduce en un descenso del número de turistas. Los cruceros son cada vez más populares y transportan veinte millones de pasajeros al año en todo el mundo. Pero también son un medio de transporte muy contaminante, porque tiene un gran impacto en la producción total de dióxido de carbono en el sector turístico y, además, es la causa de la destrucción de los sistemas marinos. En efecto, los peces, los moluscos y los arrecifes de coral pueden morir a causa del exceso de nitrógeno y fósforo provocado por las aguas residuales de los barcos. La principal causa de la contaminación es el fuel. Es mucho más barato que el diesel, pero es más contaminante. La Bahía de Along está muy amenazada por la contaminación; este lugar atrae cada vez más barcos que contaminan mucho. De hecho, en dos mil diecinueve, la Bahía de Along atrajo a quince mil visitantes al día, el doble que en dos mil dieciséis. Sin embargo, los barcos y los turistas dejan mucha basura a su paso. Del mismo modo, en Perú se producen muchos daños en el ecosistema, debido a la construcción de infraestructuras turísticas contaminantes y devoradoras de agua y de vertederos silvestres. El Mont Blanc está abrumado por los residuos, que también son representativos del turismo de masas. En los últimos años, las autoridades públicas han tenido que realizar campañas contra la basura abandonada por montañeros, excursionistas o campistas salvajes. Después, los múltiples medios de transporte utilizados por los viajeros contribuyen a la emisión de dióxido de carbono y gases de efecto invernadero, miles de aviones turísticos aterrizan y despegan, los autobuses turísticos circulan a diario, así como los cruceros que surcan las costas. Por ejemplo, un crucero produce siete mil toneladas de residuos al año. El turismo también representa el sesenta por ciento del tráfico aéreo mundial. No faltan ejemplos de sitios inscritos en la Lista del Patrimonio Mundial de la UNESCO para garantizar su protección, y el número está aumentando. A veces la naturaleza y el tiempo son responsables de las degradaciones, otras veces es la responsable es la sobre visitación de los turistas. Me entristece que el turismo de masas destruya el medio ambiente. El turismo sostenible es una nueva forma de turismo que empieza a conocerse y que se está desarrollando cada vez más en los últimos años. Abarca todas las formas del turismo responsable que son respetuosas con el medio ambiente y se preocupan por el bienestar de la población. Los beneficios del turismo equitativo se reparten equitativamente entre el viajero y las poblaciones locales que acogen a los visitantes, que generalmente se emplean en el mantenimiento de los lugares, los monumentos y los transportes. Es un turismo que tiene plenamente en cuenta sus impactos económicos aplicando un reparto equitativo de los beneficios económicos derivados del turismo y una empleabilidad viable y sostenible. Además, hay impactos sociales al ayudar a la gente a luchar contra la pobreza, pero también al promover la tolerancia intercultural y el respeto por el modo de vida de estas poblaciones. También tiene en cuenta su impacto medioambiental, situando la preservación de la naturaleza en el centro del desarrollo turístico y apoyando la salvaguarda de los recursos naturales. Cada vez es mejor combatir los subproductos del turismo de masas. El sector turístico representa hoy en día el diez por ciento del PIB mundial y uno de cada once empleos. Indirectamente vinculada a muchos sectores económicos, es una palanca de influencia creciente. Puesto que hoy en día el turismo es uno de los sectores más pujantes, es fundamental fomentar la sensibilización de los viajeros con respecto a las acciones sostenibles para combinar de la mejor Tenemos varios ejemplos de turismo sostenible en el mundo como el grupo Allibe que propone seis días de paseos y una inmersión en el Vietnam tradicional con el descubrimiento de diferentes pueblos donde cada uno tiene su propia cultura, aquí el objetivo es adaptarse al pueblo vietnamita. En el turismo sostenible, existe el turismo solidario como el circuito solidario en Madagascar que se basa en los intercambios culturales y el respeto a los demás. Porque Madagascar es conocido por la belleza de su tierra, pero sobre todo por su gente, el objetivo de este viaje es descubrir el país en todos sus sectores, la agricultura, el medio ambiente, la educación y la salud. También hay ejemplos de ecoturismo, como en Kenia con Terra Natura, que se compromete a devolver la mitad del precio pagado por los turistas a la población local. Es un programa que pretende comprometerse con la conservación de la fauna y la flora, la plantación de árboles, la escolarización, la gestión del acceso al agua potable y el tratamiento de residuos. Por lo tanto, podemos ver que hay diferentes formas de turismo que participan en el turismo sostenible, cada una a su manera. Me alegra que haya gente que piense al futuro del planeta

Al final, para concluir, pedimos que piense en el tipo de turismo que va a elegir para sus próximas vacaciones porque su elección tendrá consecuencias, estamos en pleno cambio climático por lo que puede ayudar al planeta. Además, las poblaciones locales de algunos lugares poco frecuentados tienen dificultades para sobrevivir, por lo que debemos ayudarlas gracias al turismo sostenible. Creo que todos tenemos que aceptar nuestra parte de responsabilidad. Tenemos que ser capaces de decir que estoy de acuerdo en ir a este lugar, pero también estoy de acuerdo en contaminar la tierra, consumiendo en exceso y matando a los animales de alrededor. Gracias

 

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