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Candide

Publié le 26/05/2017

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Candide Incipit Désireux de faire raisonner un public le plus large possible, Voltaire invente un nouveau genre à la fois plaisant et constructif : le conte philosophique. « Candide ou l’optimisme » est probablement le plus célèbre de ceux qui l’a rédigé. Son titre éponyme annonce ses interrogations sur la philosophie optimiste de Leibniz. Voltaire, déiste comme la plupart des philosophes des Lumières s’interroge sur la bonté de l’homme et sur la question du mal dans notre monde. En 1759, ce roman philosophique est diffusé au 4 coins de l’Europe et nous plonge dès les premières lignes sur l’enseignement et le pouvoir. Ainsi nous pouvons nous demander dans quelle mesure l’entrée dans ce conte annonce sa tonalité satirique. Pour cela, nous observerons tout d’abord que l’on entre dans le pastiche du conte et que Voltaire profite de celui ci pour faire une satire des faux savants. Le pastiche du conte Les codes de l’entrée dans un conte « Il y avait » il était une fois Temps du récit : imparfait, passé simple, passé antérieur, plus que parfait.

« Sa présentation est illogique, le dernier paragraphe souligne la gradation decrescendo  simplicité de son esprit. La subjectivité de l’auteur se manifeste « un bon et honnête gentil homme du moyen âge »  exagération et antiphrase  Banon : Tourné en dérision par l’auteur mais aussi par les courtisant. Enumération linge 9-11  « tout » : tonalité  Mme la Baronne : description hyperbolique (l 21-22) Masse : énormité de ka masse  défaut « Très », « encore plus » : énormité  Cunégonde : gradation crescendo (l 14)  l’extrait se conclue sur la vision subjective « extrêmement belle », cet adv marque l’éloge du narrateur (ironie) qui rend la fille ridicule : vision du monde inadapté  Pangloss : (l 15) la croyance apparaît comme un enseignement fondamental alors qu’il n’est pas basé sur des faits concrets. « Percepteur Pangloss » (l 15)  complément du nom « Oracle de la maison »  très large II.

La satire des faux savants a.

Un professeur tourné en dérision  (l 17)  accumulation de ma science sans lien direct puisqu’elles essaient d’expliquer la morale par la physique.  étude des religions alors que la France est monothéiste.  étude des astres : ironie  exagération du savoir  formulation difficile : rire  Théories relatives (l 18-19) puisqu’elles sont possible que dans le meilleur des mondes b.

Des raisonnements illogiques  (l 20) « ne peut être autrement » : négation exclu tout autre possibilité  (l 20-26)  cause / effet inversé  (l 26)  ponctuation qui marque des conséquences qui n’en sont pas  raisonnement court sans lien logique, ajouter des arguments les uns derrières les autres.

c.

Une critique de l’optimisme  La critique est porté par toutes les marques de modalisateur du narrateur (l 3) : discours indirect libre  ironie. »

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