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Conseil au predicateur

Publié le 08/11/2017

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Les cistériens sont les premiers a recueillir des histoires moralisatrices et a les organiser sous forme de livres tel que le Livre des Miracles ( Liber Miraculorum ) ou le Livre des Miracles et Visions ( Liber Miraculorum et Visionum ) au début du XIIe siecle. Mon étude se porte sur un extrait de l'oeuvre Liber exemplorum ad usum praedicantium. Il s'agit d'un recueil d'exempla, des recits breft qui vise a donner un modele de comportement ou de morale, écrit par un franciscain britanique vers 1275 et 1279. L'ordre Franciscains ou ordre des freres mineurs est un ordre de religieux basé sur la pauvreté, à l'image du christ, et la simplicité évangélique. Dans cet extrait, l'auteur presente l'histoire d'une femme qui décide de pecher par cupidité en ne communiant pas avec Dieu par la sainte eucharistie le jour de la Noël. Elle est alors puni par Dieu et cherche alors a racheter ses pechets en se confessant aupres d'un ecclesiastique. Il explique ensuite au predicateurs que ce récit peut leur servir d'exemple. A travers cet extrait, l'auteur cherche a nous montrer comment, par le biai de la predication, peut diffuser une façon de penser et d'agir. I/ Le récit, un exemple moralisateur A) De mauvaises influences Cet extrait nous parle de la femme d'un Paumier vivant en Irlande, près des ville de Dowisky et Ros. L'appelation Paumier vient du nom accordé au pélerin aillant effectué le voyage jusque Jérusalem en terre sainte. Jerusalem est toujours a cette epoque le centre principale de la religion Chretienne, malgré les problemes politiques engendrés par les differentes croisades effectués pendant les deux siecles auparavant. 

« alors a d'autre femme, dont une désigné comme une sorcière.

Le terme sorciere renvoi a l'origine au mot laptin sortiarius qui veut dire "diseur de sorts".

Les sorcieres designent generalement des femmes qui vivent en dehors de la société et qui aurrait le pouvoir de commander au démon.

De ce fait, la sorciere est mauvaise et de mauvais conseil.

Cette derniere conseille alors la femme du Paumier de garder la sainte eucharistie lors de la communion de la Noël afin de la deposer dans le tonneau de vin afin de le vendre comme il lui plaira ( l.10-12).

La Femme est alors poussé par "une avidité bien feminine" (l.9-10 ) et suit le conseil de la sorcière.

En effet, on attribut beaucoup de défaut au femme, symbole meme du pechet puisqu'on tien la femme responsable du départ du jardin d'Eden. La punition divine ne se fait cependant pas attendre. B) La confession, symbole du pardon En effet, en refusant de consommer la saint eucharistie, la femme refuse de communier avec le Christ, l'eucharistie étant le corps du christ. Afin de la punir, Dieu aurait alors vider le tonneau de son contenu afin de punir cette femme.

Cette derniere cherche alors le pardon en se confessant au curé.

Ce dernier l'envoi alors chercher conseil chez les freres mendiants.

Les freres mendiants est une autre appelation pour les Franciscains, puisqu'il vivent grace a l'homone.

L'auteur, étant un franciscains, cherche a montrer la plus grandes sagesses dont ils font preuve.

La femme se confesse alors a un frere qui lui donne l'absolution, qui est le pardon pour les fautes commisent, ainsi qu'une penitence.

La pénitence a pour but de racheter les pechés commis.

La penitence est plus ou moins dure en fonction des pechés commis. La femme aillant demander pardon, Dieu lui aurait rendu le vin que contenait le tonneau.. »

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