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Commentaire JEAN PAUL SARTRE "Les Mots"

Publié le 13/02/2018

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En 1964, Jean Paul Sartre écrit « Les Mots ». C'est l'autobiographie de sa vie. Né à Paris en 1905, il fut un des auteurs les plus fameux du XXe siecle. Le courant de « Les Mots » est l'existanctialite, et d’ailleurs sartre en sera le représentante. Dans ce livre, Jean Paul Sartre raconte son enfance jusqu’à l'age d'onze ans. Ce livre est divisé en deux parties : « lire » et « ecrire », car ce sont les deux evenement les plus marquants de l'enfance selon lui. L'extrait que nous allons étudier ce situ dans la partie « ecrire ». Celui-ci parle du jour ou Sartre est allé chez le coiffeur, ce couper les cheveux pour la premiere fois. Nous allons traiter la problématique suivante : Comment l'auteur provient à un constat ironique dans ce texte ? A travers l'etude de cet extrait, nous allons mettre en evidence dans un premier temps, que la famille de Sartres vit dans l'illusion du bonheur. Puis dans un secod temps, l'amère et l'ironique découverte de la vérité. En effet des les premieres lignes, nous pouvons constater que la famille et la vie de jean paul Sartre semble tout a fait normal. Ainsi, Sartre perme...

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« Ces differentes facons d'introduire sa vie, et sa famille, nous confirme la volonté que sartre a de faire passer son enfance, comme un bonheur au quotidien.

Dans une premiere partie, sartre met en evidence l'illusion de la paix, et de la joie dans sa famille.

De par la description presque parfaite de celle-ci, du goût pour les surprises, mais encore du jeux theatrale utilisé.

Mais, l'amère et l'ironique découverte de la vérité va prouver le contraire, et va tout chambouler. En effet à partir de la ligne 15, sartre evoque de nombreux signes enonciateurs permettant d'introduire le drame familial.

Tout d'abord, sartre parle de ses anglaises en les qualifiant d' « inexplicablement ternies », ce qui montre que la fait de les avoir coupé, va detruire sa vie.

Mais encore, la derniere phrase du premier paragraphe « je revins glorieux et tondu » celle-ci, d'un ton ironique presente la catastrophe, ce qui prepare la suite.

De plus, nous avons remarqué que la vie de l'enfant que fut sartre, etait remplis de surprise.

Ce qui nous laisse, en temps que lecteur, imaginer que la réaction de la mère sur son changement capillaire ne sera pas celle l'attendait. Jean Paul sartre met en scene par la suite le drame familial, de part tout d'abord l'ellipse, et le changement de situation.

D'un coté il y a la joie de l'enfant « cris » , et de l'autre le désespoir de la mere « pour pleurer ».

Cette fois ci, c'est le sens negatif d'embrassements qui apparaît contrairement au debut du texte : « pas d'embrassement ». Jean Paul Sartre voulait seulement etre felicité, pour cet acte de bravour prouvant qu'il etait devenue un grand garcon.

Mais, il fut attristé à cause de la dure, et violente réaction de sa mère.

En effet, la revelation ce fait en deux temps.

Premierement il y a le choc de la mere, elle decouvre que son petit à grandit « on avait troqué sa fillette contre un garconnet » Puis, le rideau tombe, et nous decouvrons la verité.

La coupe de cheveux ne revele pas un petit garcon, mais un petit garcon « laid ».

Sur un ton ironique, Sartre insiste sur sa laideur « tant qu'elles voltigeaient autour de mes oreilles, mes belles anglaises lui avient permis de refuser l'évidence de ma laideur ».

« on lui avait confié sa petit merveille, il avait rendu un crapaud » en utilisant cette anthithese sartre accentue une nouvelle fois sur le choc et la desseption de la mere une nouvelle fois de facon ironique. Sartre perd confiance en ses proches qui le trahissent d'une certaine maniere.

Nous avons meme l'impression que c'etait les adultes qui vivaient dans un compte et refusaient de voire la verite. Dans ce texte, Jean Paul Sartre parvient à un constat ironique de part l'illusion. »

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