COMMENTAIRE – L’étranger   Introduction Il semble dans ses relations

« pas de retrait volontaire de la société c'est plutôt la volonté, pas de volonté d'aller de soi parce qu'il vit la société telle qu'elle est présentée, Il cherche à intégrer la société.

On a l'impression qu'il isole le personnage et le lecteur étant donné qu'il ne donne pas d'informations sur le protagoniste.

A la fois on est dans sa conscience mais on ne sait pas ce qu'il pense quand même.

On a beaucoup de phrase sujet, verbe, complément, des phrases très simples, resserrées. La simplicité du langage demande au lecteur de lui faire confiance car le protagoniste ne va pas le perdre dans du langage soutenu.

Ce qui contribue à son malaise, est la succession des événements sans nous donner les raisons etc… Ici, on a toutes les marques de la découverte d'une intériorité, mais en même temps on attend des choses qui ne viennent pas.

Camus verrouille ainsi la conscience du personnage.

Ce qu'on peut noter également, c'est qu'il a quand bien même toutes les caractéristiques de l'Incipit de base.   B)    Un incipit qui rompt l'incipit traditionnaliste On s'attendait également à la description de la mère, les lieux ne sont pas décrits et enfin de compte, tout le récit se concentre sur des actions qui s'enchainent.

Autre élément dans cette rupture, c'est qu'il y a un autre élément extrêmement déstabilisant, c'est cette neutralité, on devrait être au point de vue interne, ainsi avec les sentiments mais on n'en a pas.

Pourquoi l'auteur écrit comme ça ? Pour susciter deux réactions, soit on ferme le livre, soit on essaye de trouver les clés pour tout savoir.   2)     Héros ou anti-héros ? A)   Son indifférence aux événements. Ici, il ne se soucie pas de la mort de sa mère mais de quand date la mort, ce qui laisse penser que le personnage n'a pas de sentiments.

Ici on est pris entre conséquences matérielles et l'absence de conséquences.

On attend de son patron, qu'il soit compatissant mais le patron est en colère car il doit réorganiser le travail.

La relation aux autres est distante on aurait attendu des paroles répétées.

On est en présence d'une sécheresse dans l'écriture.

La plupart des auteurs recherchent la précision et être riche en écriture alors que Camus ne recherche pas cela.

On est dans les pensées du personnage, on a. »