Devoir de Philosophie

corpus

Publié le 15/12/2016

Extrait du document

CAMPILLO Theo Francais 1SSI1 Note Observation Devoir Maison Corpus : Nous sommes dans un corpus à 4 textes. Tout d’abord le texte 1 est un extrait de L’Abbé Prévost qui s’intitule « Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut » de 1731. Ensuite, le texte 2 de Stendhal, « Le rouge et le noir » de 1830. Le texte 3 D’Aragon, « Aurélien » de 1944. Et pour finir le texte 4, « Corniche kennedy », de Maylis de Kenrangal de 2008. Nous nous demanderons donc comment les extraits du corpus mettent-ils en évidence l’intensité r...

« de Manon Lescaut : « Mais il resta une, fort jeune, qui s’arrêta seule dans la cour, pendant qu’un homme d’un âge plus avancé » (l5-6), chez Stendhal : « Il était en chemise blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette.

Le teint de ce petit paysan était si blanc » (l3-5), Mais on retrouve aussi une description chez Aragon : « Il n’aima pas comment elle était habillée » (l2-3) ou bien « Les cheveux coupés » (l5) et « Plutôt petite, pâle, je crois… » (l7).Le description des personnages est d’autant plus présente dans Corniche kennedy ; on remarque : « Les traits rudes, le front haut et large, le nez long, busqué, poussé depuis le haut du front » (l6-7) et aussi « peau d’héritière, lisse et douce, irisée d’ambre solaire, pieds bronzés, ongles nacrés, un paréo tahitien » (l16-17) Troisièmement, nous avons dans les quatre textes le ressentis des personnages face à leur rencontre.

Chez L’Abbé Prévost et Stendhal nous avons à faire à une scène de coup foudre alors que chez Aragon et Maylis de Kerangal c’est une scène de rencontre d’anti coup de foudre.

En effet chez Prévost nous pouvons lire « Je me trouvais enflammé » (l9) ou bien « L’amour me rendait déjà si éclairé » (l14) et chez Stendhal « Il oublia une partit de sa timidité » (l11) ou bien « étonné de sa beauté » (l11).

L’Avis des personnages divergent chez Aragon, on peut lire : « Il la trouva franchement laide » (l1) mais encore « Il n’aima pas comment elle était habillée » (l1-2), tout comme chez Maylis de kerangal : « Il ne sait pas, trancherait plutôt pour moche » (l9). On peut donc dire que ce corpus met en évidence l’intensité romanesque de la rencontre par l’utilisation du champs lexical du regard, par un forte description des personnages mais aussi en donnant le ressentis des personnages et la perception de leur rencontre qu’elle soit un coup de foudre ou l’inverse.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles