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Le dieu bleu

Publié le 23/10/2019

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Le sacre du Printemps 1913 Anne journo est une Danseuse professionnelle depuis plus de 20 ans, elle partage depuis 12 ans réflexions et créations avec Clara Cornil en tant qu’interprète.Elle travaille avec les metteuses en scène Léa Dant et Laurence Andréini, et participe à différentes performances avec des plasticiennes et des musiciens. Elle mène de façon régulière des ateliers dans les crèches, les maternelles, les lycées…Elle propose également des ateliers d’improvisations dans un esprit de recherche permanente où elle développe une écoute au coeur de la sensibilité de chacun et permet de laisser émerger sa relation au mouvement, aux sons, à l’espace, au rythme en écoutant profondément l’instant présent. Elle enseigne également le yoga. Dans les bâtiments de la coursive, scène national de La Rochelle , elle nous a transmit durant les mois de septembre et octobre 2019 , les différents corps du sacre du Printemps de 1913. Présentation de l’œuvre collective (reception, archive) : « La belle époque » , c'est ainsi que l'on nomme les année d'avant guerre qui traduise la modernité de l’œuvre. En effet cette période se construit sur des progrès social (premier salon de peinture , sculpture,développement médecine , tourisme) , des progrès économique , politique et technologique (automobile, aéroplane , cinéma, photo). En somme c'est une vraie période d’expansion et de modernité , on crois au progrès. A Paris les ballets original s'affaiblissent, des chorégraphes s'en vont en Russie pour les renouveler (Marius petit pas). Le sacre du Printemps est un ballet composé par Stravinski et chorégraphié par nijinsky entre 1910 et 1913 pour le fondateur des ballet russe , Serge de Diaghuilève (1872-1929). Celui si est un agitateur , il met a mal les conservateurs dans la mise en place d'idée novatrice.La composition de l’œuvre se fonde sur un rite sacral païen, les vieux sages, assis en cercle, et observant la danse à la mort d'une jeune fille, qu'ils sacrifient pour leur rendre propice le dieu du printemps.C'est une série de cérémonie de l'ancienne Russie. On vois des danseurs dans un corps contraint vêtue de tenue traditionnelles. Les déplacements ce font en groupe, en cercle, ou en farandole comme pour symboliser une communautés.Le sacre à provoqué un scandale artistique du fait premièrement de la musique , le rythme qui se qualifié comme un chahut ou un vacarme est un élément principale de l’œuvre(agrégat sonore) .Stravinsky introduit une rupture fondamentale , il juxtapose de façon dissonante des éléments variés. Il tranche le tissu sonore, lorsqu’une section s’interrompt, une autre de nature très différente apparaît, sans transition. Pierre Boulez parle d’une barbarie très élaborée. On constate donc l’avènement d'une autre conception du temps musical fragmenté, discontinu. Sa musique est fondée sur le rythm...
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« codifiée, tout lyrisme gestue tandis que Fokine privilégiait une esthétique de la ligne et de l’élan, Nijinsky sacrifie la fluidité et les transitions pour faire surgir un corps à la géométrie constamment recomposée » Jacques Rivière rédacteur en chef Nouvelle Revue française . Aujourd'hui le Sacre du Printemps est une œuvre mythique et tient des travaux de réécriture.

On retrouve peu d'archive autour du sacre (dessin , décor, photo , cahier de notation..) C'est a partir de 8 photos et dessins de valentine Hugo que Dominique brun tente de remonter Le sacre .Elle invite six danseurs interprètes chorégraphes à inventer un solo à partir d’une série de dessins d’époque qui témoignent de cette danse.

Ce travail chorégraphique s’écrit parallèlement à une création musicale conçue par le compositeur Juan Pablo Carreño.

Sur scène, une chanteuse en interprète la composition.

Son travail se base donc sur une forme expérimentation.

Dans une seconde de son projet Dominique brun tente une reconstitution historique , la danse de cette seconde version, documentée par des chercheurs et donné à des danseurs contemporains, s’écrira en deux étapes d'une part elle se tiendra au plus près des archives collectées et d'autre part elle se souviendra également de la partition autographe de L’Après-midi d’un faune de Nijinski (1915).

Millicent Hodson va collaborer avec l’historien anglais Kenneth Archer dont le travail sera de se pencher sur les costumes et décors de Nicolas Roerich.

Ensemble, et durant sept longues années, ils fourniront un travail intense et de recherches approfondies en tous genres : retrouver des éventuels danseurs d’époque, des proches du compositeur, des personnes ayant pu se trouver dans le public, des journalistes, des journaux intimes laissés par l’un ou par l’autre, des photos, des croquis, des documents...

Après avoir récupéré tous ces éléments, Hodson a travaillé avec des petites figurines pour bien comprendre les mouvements, poses et déplacements de chacune.

Archer va se faire aider par Sally Ann Parsons, et ensemble ils étudieront avec beaucoup de sérieux et précision tous les documents laissés par Roerich afin de confectionner près de 80 costume avec des matières très nobles : soie sauvage brodée peinte à la main, des velours, de la fourrure … Quatre films ont été réalisés sur leur travail sur Le Sacre et trois sur d'autres. »

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