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Le harcèlement à l’école : le mal du siècle ?

Publié le 21/05/2016

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Le harcèlement à l’école : le mal du siècle ? Longtemps ignoré, le harcèlement scolaire aujourd’hui commence à mobiliser le grand public. En effet les cas se multiplient de plus en plus vite avec l’expansion des réseaux sociaux. De plus les anciennes victimes partagent leurs histoires et conseils dans l’espoir que personne n’ait à vivre ce qu’ils sont vécu. Pourtant de plus en plus de cas extrêmes se produisent, plongeant familles et enfants dans le désespoir. Du simple harcèlement verbal aux violences physiques, les victimes réagissent de manière très différente : du renfermement social aux pleurs en passant par les dépressions pour finir au suicide. Comment en sont-ils arrivés là ? Le cas le plus récent, Madison, s’est suicidée après plusieurs années...

« Influence de l’émergence des réseaux sociaux Le harcèlement sur internet ou cyberbullying est un phénomène récent ce qui explique le manque d’étude à son sujet.

Toutefois le peu d’étude faite à ce jour indique que le cyberbullying est en forte expansion.

On ne parle plus de violences physiques mais exclusivement morales qui peuvent néanmoins être tout autant grave pour la victime.

De lus l’absence totale de contrôle de la part d’adultes et l’anonymat d’internet rendent e harcèlement beaucoup trop facile et incontrôlable. Les solutions envisageables : Un changement radical de la société est dans mon optique la seule solution.

Les jeunes possèdent tellement de problèmes et subissent trop de pressions sociales que pour certains, plus sensibles, n’arrivent pas à tenir le coup..

Une société beaucoup trop matérialiste qui privilégie le développement de la fortune individuelle au profit de la collectivité et prône l’élitisme.

Il faut toujours être meilleur, le meilleur.

Ils doivent répondre aux attentes de leurs parents, suivre leur religion, ne pas pouvoir choisir leurs études.

Sans compter le manque total de pouvoir de décisions dans la société.

C’est aussi peut-être la racine de tous les problèmes d’adultes tels que les burn-out dépressions ou suicides.

Il faudrait donc prôner le vivre ensemble et laisser la parole aux jeunes enfants et adolescents, être à leur écoute.

Mais aussi leur laisse plus de liberté, leur laisser faire des erreurs à nos côtés au lieu de les surprotéger pour qu’au finale ils découvrent seul et dangereusement certaines expériences de la vie.

Avant de pouvoir mettre tout cela en place, il faut d’abord leur laisser la parole et construire un dialogue au lieu de les enfermer dans des idéologies archaïques.. »

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