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Morgane Bunz Le Clézio : Pensée écologique et peuples opprimés.

Publié le 03/09/2018

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Morgane Bunz Le Clézio : Pensée écologique et peuples opprimés. Le Clézio est un auteur très connu pour ses récits aussi diversifié les uns que les autres. Le fait qu’il ait voyagé de nombreuses fois tout au long de sa vie lui a permis de nous délivrer des récits aussi fantastique qu’intéressant. Son attrait pour ces civilisations, encore présentes, de l’Amérique Latine et ses aventures parmi celles-ci lui ont permis de découvrir un nouveau type de vie qu’il a retranscrit sur papier de manière fantastique. Le sort des immigrés, l’effet sur les terres et les cultures étrangères est quelque chose qu’il mentionne souvent dans ces ouvrages et que nous allons étudier à travers ces quelques pages. La nature et l’écologie sont des thèmes qui sont au centre des œuvres de Le Clézio, notamment à partir des années 1960. Raison de notre existence et de notre survie, Le Clézio lui a dédié plusieurs de ses ouvrages, notamment Terra Amata, Désert, La guerre ou encore le Rêve Mexicain ou la Pensée Interrompue. En effet, ces récits sont parmi ceux dans lesquels le concept de Terre-Mère est évoqué et mis en avant de façon très explicite. Terre nourricière, le concept de Terre-Mère est très important et Le Clézio nous l’explique parfaitement bien dans ses œuvres. En effet, la Terre est l’élément indispensable à notre survie mais également la raison de notre existence. Sans elle, rien n’aurait été créée ou n’aurait pu vivre. C’est donc un élément qu’il est indispensable de protéger afin qu’elle puisse assurer son œuvre le plus possible. Terre nourricière mais également destructrice selon ses dires. En effet, bien que la terre nous donne la vie, elle peut également nous la reprendre et ce, à tout moment, sans préavis, ni raison. C’est pour cela que dans certaines régions du monde, la protection et le respect de cette terre qui nous est donnée est primordiale. Cependant, nous pouvons observer au travers de ses œuvres que cette dite nature n’est pas toujours traitée comme elle le devrait et que l’Homme est la raison de ce mauvais traitement. En effet, depuis des années, voir des siècles, l’Homme agit sur la nature de façon néfaste, lui prenant ce dont il a besoin et négligeant le fait qu’il faut la ménager pour qu’elle puisse se recréer afin de continuer à produire. Les constructions, les grandes villes, les produits chimiq...

« qu’il est indispensable de protéger afin qu’elle puisse assurer son œuvre le plus possible.

Terre nourricière mais également destructrice selon ses dires.

En effet, bien que la terre nous donne la vie, elle peut également nous la reprendre et ce, à tout moment, sans préavis, ni raison.

C’est pour cela que dans certaines régions du monde, la protection et le respect de cette terre qui nous est donnée est primordiale.

Cependant, nous pouvons observer au travers de ses œuvres que cette dite nature n’est pas toujours traitée comme elle le devrait et que l’Homme est la raison de ce mauvais traitement.

En effet, depuis des années, voir des siècles, l’Homme agit sur la nature de façon néfaste, lui prenant ce dont il a besoin et négligeant le fait qu’il faut la ménager pour qu’elle puisse se recréer afin de continuer à produire.

Les constructions, les grandes villes, les produits chimiques, sont autant de raisons qui conduisent à l’amenuisement des richesses dont la terre dispose mais également au réchauffement climatique, qui est un problème de plus en plus important dans notre société moderne.

Souvent négligé, il est important de souligner qu’encore aujourd’hui, certaines civilisations vivent de cette nature, bien plus que les civilisations modernes le font.

En effet, Le Clézio est connu pour avoir vécu parmi certaines de ces civilisations dites amérindiennes.

Pour elles, le concept de Terre-Mère est absolument important et au centre de leur mode de vie.

Respectant cette terre qui leur permette de vivre, ils la cultivent mais lui rendent également ce qu’ils lui prennent.

De cette façon, ils s’assurent que le respect soit permanent et que la terre soit bien traitée, dans le respect de leurs coutumes.

Cependant, Le Clézio nous démontre que ces civilisations proches de la nature et souciantes de l’écologie sont parfois mal considérés et jugées de sauvages par des civilisations ayant des avancées que ces civilisations dites naturelles n’ont pas, ce qui fut le cas dans le Rêve. »

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