Devoir de Philosophie

Sujet d'invention sur l'utopie

Publié le 11/05/2019

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Sujet donné : créez votre propre utopie. Temps imparti : 2heures. Note reçue pour ce devoir : 20/20.    Devoir :    Une brise marine me caresse doucement le visage alors que j'ouvre les yeu et découvre un ciel bleu azur. Je me trouve un peu déboussolé et je tente avec peine de secouer mes membres engourdis. Il fait chaud et j'ai du mal à m'assoir sur le semblant de bateau qu'il me reste. La tempête qui m'a drappé il y a déjà un moment a détruit tous mes vivre. Je n'ai plus la notion du temps, je ne sais où je suis, je commence à perdre espoir. Devant moi, tout est bleu. J'ai peine à distinguer le ciel de l'océan, et la faible houle me berce. Je me serais déjà rendormi si le soleil tapant ne faisait pas rougir ma peau déjà bronzée. Et derrière moi... La terre ! Un mirage ? je me frotte les yeux et me mouille le visage pplusieurs fois pour remettre mes idées en place, mais le semblant de verdure qui s'étend devant face à moi ne bouge toujours pas. Je me sens soudain revigoré, je rassemble mes forces et ba...

« effrayée ni inquiète.

Je fais un pas vers elle et la salue avec douceur.

Elle me épond alors dans une langue que mes oreilles ne peuvent entendre, je lui montre mon incompréhension.

Elle me fait alors signe de la suivre et je m'éxécute sans réticence comme envoûté par la beauté du lieu.

Alors que je la suis à travers les chemins escarpés de la forêt, je remarque que toutes les autres que j'ai pu voir depuis mon arrivée sont habillées de la même façon : un mince bout de tissu cache une partie de leur corps, elles marchent pieds nus et ont les cheveux noués dans des tresses épaisses.

Leurs jambes et bras dénudés sont musclés et épais, ce qui résulte probablement d'une vie de labeur.

IL en est de même pour les hommes que nous croisons : le même tissus les habille et laisse transparaître des muscles saillants.  Nous traversons les bois pendant une demi-heure et je fais la rencontre de plusieurs enfant qui courent et jouent, des hommes et femmes qui cultivent, récoltent, construisent ou cherchent des choses dans les broussailles.

Ils semblent tous se connaître et se font des signes de la main régulièrement ou s'échangent quelques mots dans leur langue.

Nous arrivons dans un village, des cabanes faites en bis et dotées de toits de paille nous surplombent.

Il ne semble pas y avoir de réelle délémitation entre les propriétés, ni de jardins.

Je ne vois ni éléctricité ni robinets, ni technologie, rien qui ne s'apparente au monde moderne que je côtoie.

Je crois rêver et la douceur de l'herbe que foule mon pied me paraît surnaturelle.

Cette luxuriance me surprend, même les animaux semblent imaginaires.

La femme grimpe dans une cabane qui à l'air plus grande que les autres et m'indique de rester où je suis.

J'attends ses ordres et je constate que la faim qui me tordait le ventre quelques minutes plus tôt a disparue.

Suite à son signe, je monte dans la cabane.

Il y a très peu de meuble, du moins le strict minimum.

Un simple matelas sur un côté de la pièce sur lequel est assis en tailleur un homme, grand, fin et robuste, musclé et souriant.

Il se lève, et me dit d'une voix grave :  - Bonjour, étranger, comment allez-vous ? Sa diction et son éloquence parfaites le surprennent, je ne sais que répondre.    - J'espère que vous avez fait bon voyage, continue-t-il.  Je repense vaguement à la tempête qui m'a saisi alors que je péchais à la côte de mon pays.

Elle a. »

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