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A quoi bon se connaitre soi même?

Publié le 13/10/2019

Extrait du document

b) la connaissance de soi est conscience de soi-même en tant que limité

-Connais-toi toi-même je sais que je ne sais rien.

• Fais connaître à tout homme son ignorance

• Son ignorance ( conscience de

ses limites + finitudes, donc de son essence

• Sa limite ( car conditionné (famille, pays, époque)

-Conditionnement : sociologique, psychologique, génétique

-Sartre, question de méthode : conditions ( champs de possible

c) La sagesse érotique : la connaissance de soi est conscience du désir d’outrepasser le limité en soi

• Celui qui est dans l’illusion de savoir ne peut désirer de savoir : imbus, remplis de lui même

• Seul celui qui désire savoir affirme qu’il sait qu’il ne sait rien

-prise de conscience de la limite ( désir d’outre passer

-l’humanité est perfectible (Rousseau)

d) la connaissance de soi est conscience du désir d’outrepasser le limité en soi comme, en tant que reconduction

de la limitation

-outrepasser la finitude ne veut pas dire que j’en ai fini av elle

( on est limité en puissance (en puissance) / en acte (plein épanouissement de ce qui n’est qu’en germe)

( ≠ dieu : qui lui ne progresse pas, ne s’actualise pas

• il est pleinement ce qu’il est

• pas défaillant comme moi

Conclusion partielle : la connaissance de soi se confond ave la sagesse socratique, avec un juste regard porté sur

la condition humaine :

• la conscience du soi comme limité (position)

• du soi comme désir d’outrepasser le limité (négation ou antithèse)

• du soi comme désir qui reconduit la limitation (seconde position, synthèse).

( Faire le point par rapport au sujet. Fin : la sagesse entendue comme

désillusion, donc délivrance.

II- LE SOI AU SENS DU SUJET : LA CONNAISSANCE DE SOI CONDITIONNE TOUTE CONNAISSANCE

« • Ce savoir est déjà vertu puisqu’il est juste.

Ni excès, ni défaut b) la connaissance de soi est conscience de soi -même en tant que limité -Connais -toi toi-même je sais que je ne sais rien. • Fais connaître à tout homme son ignorance • Son ignorance ( conscience de ses limites + finitudes, donc de son essence • Sa limite ( car conditionné (famille, pays, époque) -Conditionnement : sociologique, psychologique, génétique -Sartre, question de méthode : conditions ( champs de possible c) La sagesse érotique : la connaissance de soi est conscience du désir d’outrepasser le limité en soi • Celui qui est dans l’illusion de savoir ne peut désirer de savoir : imbus, remplis de lui même • Seul celui qui désire savoir affirme qu’il sait qu’il ne sait rien -prise de conscience de la limite ( désir d’outre passer -l’humanité est perfectible (Rousseau) d) la connaissance de soi est conscience du désir d’outrepasser le limité en soi comme, en tant que reconduction de la limitation -outrepasser la finitude ne veut pas dire que j’en ai fini av elle ( on est limité en puissance (en puissance) / en acte (plein épanouissement de ce qui n’est qu’en germe) ( ≠ dieu : qui lui ne progresse pas, ne s’actualise pas • il est pleinement ce qu’il est • pas défaillant comme moi Conclusion partielle : la connaissance de soi se confond ave la sagesse socratique, avec un juste regard porté sur la condition humaine : • la conscience du soi comme limité (position) • du soi comme désir d’outrepasser le limité (négation ou antithèse) • du soi comme désir qui reconduit la limitation (seconde position, synthèse). ( Faire le point par rapport au sujet.

Fin : la sagesse entendue comme désillusion, donc délivrance. II- LE SOI AU SENS DU SUJET : LA CONNAISSANCE DE SOI CONDITIONNE TOUTE CONNAISSANCE -On cherche à connaître quelque chose que ds la mesure où on reconnaît sa finitude ( toute connaissance s’enracine ds la connaissance de soi A)Descartes en a fait l’élément fondamental de sa philosophie première -Œuvre de Descartes = recherche de la certitude -Pas raisonnable de douter de ce dont doute descartes • Existence d’un dieu trompeur ? • Sens trompeurs ? -Volonté qui doute • on se trompe lorsque la volonte > entendement • or entedement fini – volonté infinie ( donc parfois notre jugement qui n’est pas fiable • volonté condition nécéssaire du doute • donc on ne peut douter d’elle -Volonté de trouver la certitude première • Quand j’ai ôté les nuages, la lumière vient à moi ( je rencontre le premier principe • Premier principe est une certitude qui s’éprouve ( me permet de continuer la recherche ( Besoin d’une idée vague,flou de l’objet recherché -Le cogito. »

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