le stoïcisme (analyse)

« rassemblements ont lieu et l'enjeu est de voir les potentiels bienfaits à tirer sur notre propre vie d'un tel mode d'existence et d'en mesurer l'utilité du quotidien.

Ce que nous pouvons remarqué dans cette philosophie est tout d'abord ce point essentiel qui est la logique.

Pour les stoïciens, la logique est une des conditions pour accéder à la connaissance.

Or, nous savons que le sensible est un certain modèle du vrai.

Ils définissent l'âme comme principalement réceptive.

Puis, pour parvenir à la science, donc une compréhension ferme et assurée, l'esprit se doit de dégager la vérité grâce aux prénotions ( synonyme de prolepses ).

C'est ce qui pour eux, constituent la raison.

Également, comme autre point important, il y a la physique, ce qui se rapproche de la nature et des Dieux.

En effet, d'après plusieurs recherches, le stoïcisme peut être considéré comme un panthéisme.

C'est-à-dire que pour eux, Dieu est le monde.

Le monde serait donc gorgé de raison, avec un certain ordre des choses, et qui de plus, serait porteur d'intelligence.

Ce serait donc, un organisme définit comme parfait, idéal, gouvernait par le Destin et considéré comme une puissance spirituelle, qui gouvernerait tout l'univers.

Cependant, le stoïcisme ne croit absolument pas en la fatalité, car pour eux, l'homme garde tout de même une certaine part de liberté.

De plus, la morale élaborée par les stoïciens est une morale dite de liberté.

En effet, malgré le destin, l'homme demeure libre de son opinion.

Pour eux, la liberté est établie et renvoie à la puissance de pouvoir d'agir par soi-même, quant à la pensée et au jugement.

Le stoïcisme défend l'idée que, nos désirs et nos opinions dépendent de nous.

Et en revanche, ce qui ne dépend pas de nous, ce sont les honneurs, et les biens matériels.

Ainsi, il existe un autre principe du stoïcisme qui renvoie à la distinction des choses qui dépendent de nous et ne dépendent pas de nous, sous la formule de " Subis, abstiens-toi ".

Ce qui montre l'indifférence totale du stoïcien face au monde extérieur.

C'est. »