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point existé, lut les discours, et, hormis Charles, chacun discuta ce qu'il répondrait.

Publié le 04/11/2013

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discours
point existé, lut les discours, et, hormis Charles, chacun discuta ce qu'il répondrait. Charles laissa Marguerite épondre comme elle l'entendrait. Il se montra très difficile sur le choix des termes pour d'Alençon ; mais quant au discours de Henri d'Anjou, il apporta plus que du mauvais vouloir : il fut acharné à corriger et à reprendre. Cette séance, sans rien faire éclater encore, avait lourdement envenimé les esprits. Henri d'Anjou, qui avait son discours à refaire presque entièrement, sortit pour se mettre à cette tâche. Marguerite, qui n'avait pas eu de nouvelles du roi de Navarre depuis celles qui lui avaient été données au étriment des vitres de sa fenêtre, retourna chez elle dans l'espérance de l'y voir venir. D'Alençon, qui avait lu l'hésitation dans les yeux de son frère d'Anjou, et surpris entre lui et sa mère un regard d'intelligence, se retira pour rêver à ce qu'il regardait comme une cabale naissante. Enfin, Charles allait asser dans sa forge pour achever un épieu qu'il se fabriquait lui-même, lorsque Catherine l'arrêta. Charles, qui se doutait qu'il allait rencontrer chez sa mère quelque opposition à sa volonté, s'arrêta et la egarda fixement : - Eh bien, dit-il, qu'avons-nous encore ? - Un dernier mot à échanger, Sire. Nous avons oublié ce mot, et cependant il est de quelque importance. Quel jour fixons-nous pour la séance publique ? - Ah ! c'est vrai, dit le roi en se rasseyant ; causons-en, mère. Eh bien ! à quand vous plaît-il que nous fixions le jour ? - Je croyais, répondit Catherine, que dans le silence même de Votre Majesté, dans son oubli apparent, il y avait quelque chose de profondément calculé. - Non, dit Charles ; pourquoi cela, ma mère ? - Parce que, ajouta Catherine très doucement, il ne faudrait pas, ce me semble, mon fils, que les Polonais nous vissent courir avec tant d'âpreté après cette couronne. - Au contraire, ma mère, dit Charles, ils se sont hâtés, eux, en venant à marches forcées de Varsovie ici... Honneur pour honneur, politesse pour politesse. - Votre Majesté peut avoir raison dans un sens, comme dans un autre je pourrais ne pas avoir tort. Ainsi, son avis est que la séance publique doit être hâtée ? - Ma foi, oui, ma mère ; ne serait-ce point le vôtre par hasard ? - Vous savez que je n'ai d'avis que ceux qui peuvent le plus concourir à votre gloire ; je vous dirai donc qu'en ous pressant ainsi je craindrais qu'on ne vous accusât de profiter bien vite de cette occasion qui se présente de oulager la maison de France des charges que votre frère lui impose, mais que, bien certainement, il lui rend en loire et en dévouement. - Ma mère, dit Charles, à son départ de France, je doterai mon frère si richement que personne n'osera même penser ce que vous craignez que l'on dise. - Allons, dit Catherine, je me rends, puisque vous avez une si bonne réponse à chacune de mes objections... Mais, pour recevoir ce peuple guerrier, qui juge de la puissance des États par les signes extérieurs, il vous faut un éploiement considérable de troupes, et je ne pense pas qu'il y en ait assez de convoquées dans l'Île-de-France. - Pardonnez-moi, ma mère, car j'ai prévu l'événement, et je me suis préparé. J'ai rappelé deux bataillons de a Normandie, un de la Guyenne ; ma compagnie d'archers est arrivée hier de la Bretagne ; les chevau-légers, épandus dans la Touraine, seront à Paris dans le courant de la journée ; et tandis qu'on croit que je dispose à eine de quatre régiments, j'ai vingt mille hommes prêts à paraître. - Ah ! ah ! dit Catherine surprise ; alors il ne vous manque plus qu'une chose, mais on se la procurera. - Laquelle ? - De l'argent. Je crois que vous n'en êtes pas fourni outre mesure. - Au contraire, madame, au contraire, dit Charles IX. J'ai quatorze cent mille écus à la Bastille ; mon épargne particulière m'a remis ces jours passés huit cent mille écus que j'ai enfouis dans mes caves du Louvre, et, en cas de pénurie, Nantouillet tient trois cent mille autres écus à ma disposition. Catherine frémit ; car elle avait vu jusqu'alors Charles violent et emporté, mais jamais prévoyant. - Allons, fit-elle, Votre Majesté pense à tout, c'est admirable, et pour peu que les tailleurs, les brodeuses et les joailliers se hâtent, Votre Majesté sera en état de donner séance avant six semaines. - Six semaines ! s'écria Charles. Ma mère, les tailleurs, les brodeuses et les joailliers travaillent depuis le jour où l'on a appris la nomination de mon frère. À la rigueur, tout pourrait être prêt pour aujourd'hui ; mais, à coup sûr, tout sera prêt dans trois ou quatre jours. - Oh ! murmura Catherine, vous êtes plus pressé encore que je ne le croyais, mon fils. - Honneur pour honneur, je vous l'ai dit. - Bien. C'est donc cet honneur fait à la maison de France qui vous flatte, n'est-ce pas ? - Assurément. - Et voir un fils de France sur le trône de Pologne est votre plus cher désir ? - Vous dites vrai. - Alors c'est le fait, c'est la chose et non l'homme qui vous préoccupe, et quel que soit celui qui règne là-bas... - Non pas, non pas, ma mère, corboeuf ! demeurons-en où nous sommes ! Les Polonais ont bien choisi. Ils sont adroits et forts, ces gens-là ! Nation militaire, peuple de soldats, ils prennent un capitaine pour prince, c'est logique, peste ! d'Anjou fait leur affaire : le héros de Jarnac et de Moncontour leur va comme un gant... Qui oulez-vous que je leur envoie ? d'Alençon ? un lâche ! cela leur donnerait une belle idée des Valois ! ... D'Alençon ! il fuirait à la première balle qui lui sifflerait aux oreilles, tandis que Henri d'Anjou, un batailleur, bon ! toujours l'épée au poing, toujours marchant en avant, à pied ou à cheval ! ... Hardi ! pique, pousse, assomme, tue ! Ah ! c'est un homme que mon frère d'Anjou, un vaillant qui va les faire battre du matin au soir, depuis le premier jusqu'au dernier jour de l'année. Il boit mal, c'est vrai ; mais il les fera tuer de sang-froid, voilà tout. Il sera là dans sa sphère, ce cher Henri ! Sus ! sus ! au champ de bataille ! Bravo les trompettes et les tambours ! Vive le roi ! vive le vainqueur ! vive le général ! On le proclame imperator trois fois l'an ! Ce sera admirable pour la maison de France et l'honneur des Valois... Il sera peut-être tué ; mais, ventremahon ! ce sera une mort superbe ! Catherine frissonna et un éclair jaillit de ses yeux. - Dites, s'écria-t-elle, que vous voulez éloigner Henri d'Anjou, dites que vous n'aimez pas votre frère ! - Ah ! ah ! ah ! fit Charles en éclatant d'un rire nerveux, vous avez deviné cela, vous, que je voulais l'éloigner ? Vous avez deviné cela, vous, que je ne l'aimais pas ? Et quand cela serait, voyons ? Aimer mon frère ! Pourquoi donc l'aimerais-je ? Ah ! ah ! ah ! est-ce que vous voulez rire ?... (Et à mesure qu'il parlait, ses joues pâles s'animaient d'une fébrile rougeur.) Est-ce qu'il m'aime, lui ? Est-ce que vous m'aimez, vous ? Est-ce que, xcepté mes chiens, Marie Touchet et ma nourrice, est-ce qu'il y a quelqu'un qui m'ait jamais aimé ? Non, non, je 'aime pas mon frère, je n'aime que moi, entendez-vous ! et je n'empêche pas mon frère d'en faire autant que je ais. - Sire, dit Catherine s'animant à son tour, puisque vous me découvrez votre coeur, il faut que je vous ouvre le ien. Vous agissez en roi faible, en monarque mal conseillé ; vous renvoyez votre second frère, le soutien naturel u trône, et qui est en tous points digne de vous succéder s'il vous advenait malheur, laissant dans ce cas votre ouronne à l'abandon ; car, comme vous le disiez, d'Alençon est jeune, incapable, faible, plus que faible, lâche ! ... Et le Béarnais se dresse derrière, entendez-vous ? - Eh ! mort de tous les diables ! s'écria Charles, qu'est-ce que me fait ce qui arrivera quand je n'y serai plus ? Le Béarnais se dresse derrière mon frère, dites-vous ? Corboeuf ! tant mieux ! ... Je disais que je n'aimais personne... je me trompais, j'aime Henriot ; oui, je l'aime, ce bon Henriot : il a l'air franc, la main tiède, tandis que je ne vois autour de moi que des yeux faux et ne touche que des mains glacées. Il est incapable de trahison nvers moi, j'en jurerais. D'ailleurs je lui dois un dédommagement : on lui a empoisonné sa mère, pauvre garçon ! des gens de ma famille, à ce que j'ai entendu dire. D'ailleurs je me porte bien. Mais, si je tombais malade, je l'appellerais, je ne voudrais pas qu'il me quittât, je ne prendrais rien que de sa main, et quand je mourrai je le ferai roi de France et de Navarre... Et, ventre du pape ! au lieu de rire à ma mort, comme feraient mes frères, il pleurerait ou du moins il ferait semblant de pleurer. La foudre tombant aux pieds de Catherine l'eût moins épouvantée que ces paroles. Elle demeura atterrée, regardant Charles d'un oeil hagard ; puis enfin, au bout de quelques secondes : - Henri de Navarre ! s'écria-t-elle, Henri de Navarre ! roi de France au préjudice de mes enfants ! Ah ! sainte madone ! nous verrons ! C'est donc pour cela que vous voulez éloigner mon fils ? - Votre fils... et que suis-je donc moi ? un fils de louve comme Romulus ! s'écria Charles tremblant de colère et l'oeil scintillant comme s'il se fût allumé par places. Votre fils ! vous avez raison, le roi de France n'est pas votre fils lui, le roi de France n'a pas de frères, le roi de France n'a pas de mère, le roi de France n'a que des sujets. Le roi de France n'a pas besoin d'avoir des sentiments, il a des volontés. Il se passera qu'on l'aime, mais il veut qu'on lui obéisse. - Sire, vous avez mal interprété mes paroles : j'ai appelé mon fils celui qui allait me quitter. Je l'aime mieux en ce moment parce que c'est lui qu'en ce moment je crains le plus de perdre. Est-ce un crime à une mère de désirer que son enfant ne la quitte pas ? - Et moi, je vous dis qu'il vous quittera, je vous dis qu'il quittera la France, qu'il s'en ira en Pologne, et cela dans deux jours ; et si vous ajoutez une parole ce sera demain ; et si vous ne baissez pas le front, si vous n'éteignez pas la menace de vos yeux, je l'étrangle ce soir comme vous vouliez qu'on étranglât hier l'amant de votre fille. Seulement je ne le manquerai pas, moi, comme nous avons manqué La Mole. Sous cette première menace, Catherine baissa le front ; mais presque aussitôt elle le releva. - Ah ! pauvre enfant ! dit-elle, ton frère veut te tuer. Eh bien, soit tranquille, ta mère te défendra. - Ah ! l'on me brave ! s'écria Charles. Eh bien, par le sang du Christ ! il mourra, non pas ce soir, non pas tout à l'heure, mais à l'instant même. Ah ! une arme ! une dague ! un couteau ! ... Ah ! Et Charles, après avoir porté inutilement les yeux autour de lui pour chercher ce qu'il demandait, aperçut le petit poignard que sa mère portait à sa ceinture, se jeta dessus, l'arracha de sa gaine de chagrin incrustée d'argent, et bondit hors de la chambre pour aller frapper Henri d'Anjou partout où il le trouverait. Mais en arrivant dans le vestibule ses forces surexcitées au-delà de la puissance humaine, l'abandonnèrent tout à coup : il étendit le bras, laissa tomber l'arme aiguë, qui resta fichée dans le parquet, jeta un cri lamentable, s'affaissa sur lui-même et roula sur le plancher. En même temps le sang jaillit en abondance de ses lèvres et de son nez.
discours

« sont adroits etforts, cesgens-là !Nation militaire, peupledesoldats, ilsprennent uncapitaine pourprince, c’est logique, peste!d’Anjou faitleur affaire : lehéros deJarnac etde Moncontour leurvacomme ungant… Qui voulez-vous quejeleur envoie ? d’Alençon ? unlâche !cela leur donnerait unebelle idéedesValois !… D’Alençon !il fuirait àla première ballequiluisifflerait auxoreilles, tandisqueHenri d’Anjou, unbatailleur, bon !toujours l’épéeaupoing, toujours marchant enavant, àpied ouàcheval !… Hardi !pique, pousse, assomme, tue!Ah !c’est unhomme quemon frère d’Anjou, unvaillant quivales faire battre dumatin ausoir, depuis lepremier jusqu’au dernierjourdel’année.

Ilboit mal, c’est vrai ; maisilles fera tuer desang-froid, voilà tout.

Ilsera làdans sasphère, cecher Henri !Sus !sus !au champ debataille !Bravo lestrompettes etles tambours !Vive leroi !vive levainqueur !vive legénéral !On leproclame imperator trois foisl’an !Ce sera admirable pourlamaison deFrance etl’honneur desValois… Ilsera peut-être tué ;mais, ventremahon !ce sera une mort superbe ! Catherine frissonnaetun éclair jaillitdeses yeux. – Dites, s’écria-t-elle, quevous voulez éloigner Henrid’Anjou, ditesquevous n’aimez pasvotre frère! – Ah !ah !ah !fit Charles enéclatant d’unrirenerveux, vousavezdeviné cela,vous, quejevoulais l’éloigner ? Vousavezdeviné cela,vous, quejene l’aimais pas ?Etquand celaserait, voyons ? Aimermonfrère ! Pourquoi doncl’aimerais-je ? Ah!ah !ah !est-ce quevous voulez rire ?… (Etàmesure qu’ilparlait, sesjoues pâles s’animaient d’unefébrile rougeur.) Est-cequ’ilm’aime, lui ?Est-ce quevous m’aimez, vous ?Est-ceque, excepté meschiens, MarieTouchet etma nourrice, est-cequ’ilya quelqu’un quim’ait jamais aimé ?Non,non,je n’aime pasmon frère, jen’aime quemoi, entendez-vous !et jen’empêche pasmon frère d’enfaire autant queje fais.

–Sire, ditCatherine s’animant àson tour, puisque vousmedécouvrez votrecœur, ilfaut quejevous ouvre le mien.

Vousagissez enroi faible, enmonarque malconseillé ; vousrenvoyez votresecond frère,lesoutien naturel du trône, etqui estentous points dignedevous succéder s’ilvous advenait malheur, laissantdanscecas votre couronne àl’abandon ; car,comme vousledisiez, d’Alençon estjeune, incapable, faible,plusquefaible, lâche! … Et leBéarnais sedresse derrière, entendez-vous ? – Eh !mort detous lesdiables !s’écria Charles, qu’est-ce quemefait cequi arrivera quandjen’y serai plus ? Le Béarnais sedresse derrière monfrère, dites-vous ? Corbœuf!tant mieux !… Je disais quejen’aimais personne… jeme trompais, j’aimeHenriot ; oui,jel’aime, cebon Henriot : ilal’air franc, lamain tiède, tandis que jene vois autour demoi quedesyeux fauxetne touche quedesmains glacées.

Ilest incapable detrahison envers moi,j’enjurerais.

D’ailleurs jelui dois undédommagement : onlui aempoisonné samère, pauvre garçon ! des gens dema famille, àce que j’aientendu dire.D’ailleurs jeme porte bien.Mais, sije tombais malade,je l’appellerais, jene voudrais pasqu’il mequittât, jene prendrais rienquedesamain, etquand jemourrai jele ferai roideFrance etde Navarre… Et,ventre dupape !au lieu derire àma mort, comme feraient mesfrères, il pleurerait oudu moins ilferait semblant depleurer. La foudre tombant auxpieds deCatherine l’eûtmoins épouvantée quecesparoles.

Elledemeura atterrée, regardant Charlesd’unœilhagard ; puisenfin, aubout dequelques secondes : – Henri deNavarre !s’écria-t-elle, HenrideNavarre !roi deFrance aupréjudice demes enfants !Ah !sainte madone !nous verrons !C’est donc pourcelaquevous voulez éloigner monfils ? – Votre fils…etque suis-je doncmoi ? unfils delouve comme Romulus !s’écria Charles tremblant decolère et l’œil scintillant commes’ilsefût allumé parplaces.

Votrefils!vous avezraison, leroi deFrance n’estpas votre filslui, leroi deFrance n’apas defrères, leroi deFrance n’apas demère, leroi deFrance n’aque des sujets.

Leroi deFrance n’apas besoin d’avoir dessentiments, ilades volontés.

Ilse passera qu’onl’aime, maisil veut qu’on luiobéisse. – Sire, vous avezmalinterprété mesparoles : j’aiappelé monfilscelui quiallait mequitter.

Jel’aime mieux en cemoment parcequec’est luiqu’en cemoment jecrains leplus deperdre.

Est-ceuncrime àune mère de désirer quesonenfant nelaquitte pas ? – Et moi, jevous disqu’il vous quittera, jevous disqu’il quittera laFrance, qu’ils’eniraenPologne, etcela dans deux jours ; etsivous ajoutez uneparole cesera demain ; etsivous nebaissez paslefront, sivous n’éteignez paslamenace devos yeux, jel’étrangle cesoir comme vousvouliez qu’onétranglât hierl’amant de votre fille.Seulement jene lemanquerai pas,moi, comme nousavons manqué LaMole. Sous cette première menace,Catherine baissalefront ; maispresque aussitôtellelereleva. – Ah !pauvre enfant!dit-elle, tonfrère veuttetuer.

Ehbien, soittranquille, tamère tedéfendra. – Ah !l’on mebrave !s’écria Charles.

Ehbien, parlesang duChrist !il mourra, nonpascesoir, nonpastout à l’heure, maisàl’instant même.Ah!une arme !une dague !un couteau !… Ah ! Et Charles, aprèsavoirporté inutilement lesyeux autour delui pour chercher cequ’il demandait, aperçutle petit poignard quesamère portait àsa ceinture, sejeta dessus, l’arracha desagaine dechagrin incrustée d’argent, etbondit horsdelachambre pourallerfrapper Henrid’Anjou partoutoùille trouverait.

Maisen arrivant danslevestibule sesforces surexcitées au-delàdelapuissance humaine,l’abandonnèrent toutàcoup : il étendit lebras, laissa tomber l’armeaiguë,quiresta fichée dansleparquet, jetauncrilamentable, s’affaissa sur lui-même etroula surleplancher. En même tempslesang jaillit enabondance deses lèvres etde son nez.. »

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