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le creusot

Publié le 04/01/2014

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Revel Nathalie 1ere L Le Creusot : Une ville, une famille, une entreprise Question 1 :Dans ce tableau nous pouvons voir de nombreuses usines au deuxième plan ce qui me permet de dire cela est la fumée noir s'échappant des grandes cheminées de certains bâtiments mais ce n'est pas tout nous pouvons aussi voir du matériel qui semble être des morceaux de canons ainsi que de nombreuses voies ferrés principalement concentré au centre là où se trouve les usines. Au premier plan à droite nous pouvons voir de grand jardins avec beaucoup de verdure et de bâtiments je pense que cela peut être une des « maisons » des Schneider et enfin au troisième nous pouvons apercevoir de nombreuses maisons, de la verdure, des champs ainsi qu'une église l'arrière est donc constitué des logements des employé. Nous pouvons donc en déduire que cette ville et une ville industrielle. La ville tout comme le tableau est constituée de trois partie tout d'abord la première partie et premier plan qui concerne les habitations des Scheider, ensuite la deuxième partie et deuxième plan qui...

« Question 4 : On peut dire que Henry Schneider est un patron libéral car il est partisan du libéralisme, c’est-à-dire qu’il est pour les libertés du travail et respecte l’indépendance des employés et leurs opinions.

Schneider est contre l’intervention de l’Etat dans l’économie « l’intervention de l’Etat ? Très mauvaise ! ».

Il est la libre entreprise, c’est-à-dire le non intervention de l’Etat dans le secteur économique qui dépend de l’initiative privée et de l’intérêt individuel. Question 5 : Henry Schneider pense que la journée de travail de l’ouvrier limitée à 8 heures équivaudrait à baisser les salaires ou d’une diminution du pouvoir d’achat par l’augmentation du prix des produits.

Il dit aussi que la liberté du travailleur est de travailler autant qu’il le souhaite.

Question 6 : Ces documents montre des rapports totalement différents les uns des autres ainsi les documents 4 et 5 loue les Schneider avec la chanson éditée à l’occasion du centenaire d’Eugène Ier en 1905 « De la chère et grande famille Que tous ici nous bénissons » mais aussi avec le vitrail d’Henry Schneider en Saint Eloi. Cependant tous les documents ne les louent pas, en effet le document 6 parle de la contestation du système Schneider qui critique sa domination sur la ville et a chassé ses opposants de la ville ainsi qu’instauré un régime moins souple.. »

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