DANSE MACABRE de Saint-Saëns. (résumé & analyse)

DANSE MACABRE de Saint-Saëns.

Poème symphonique de Camille Saint-Saëns (1835-1921), sur des vers d’Henri Cazalis. « Zig et zig et zig, la Mort en cadence - frappant une tombe avec son talon, - la Mort, à minuit joue un air de danse, - zig et zig et zag, sur son violon. - Le vent d’hiver souffle, et la nuit est sombre ; - des gémissements sortent des tilleuls ; - les squelettes blancs vont à travers l’ombre, - courant et sautant sous leurs grands linceuls. - Zig et zig et zig, chacun se trémousse ; - 0n entend claquer les os des danseurs. - Mais psit ! tout à coup on quitte la ronde, - 011 se pousse, on fuit, le coq a chanté ». Tout le poèine symphonique, précédé du coup douze fois répété de minuit que scande la harpe, est une valse tripartite, dont toutefois certains éléments secondaires et de liaison se voient repris dans les tonalités relatives et constituent un développement classique. Les onomatopées