LA VIE FUTURE
Publié le 05/03/2014
Extrait du document
LA VIE FUTURE
Réalisation
Scénario d'après son propre roman
Directeur de la photographie
Musique
Décors
Effets spéciaux
Production
Distribution
Durée
INTERPRÉTATION
John CabaVOswald Cabal
Pippa Passworthy/Raymond Passworthy
Rudolph
Roxana
Theotocopulos
Mrs John Cabal
Dr Harding
Richard Gordon
Mary Gordon
Maurice Passworthy
L'enfant
L'HISTOIRE
Everytown, 1940: c'est Noël et la guerre menace. La radio annonce la mobilisation géné-rale. La ville est bombardée sans relâche et n'est bientôt que ruines. John Cabal, pilote de guerre, abat un avion ennemi mais bientôt le suit au sol. Dégoûté par la guerre, il donne son masque à gaz à une enfant et son fusil au jeune aviateur ennemi blessé. Il s'éloigne et un coup de feu retentit...
Liens utiles
- Est-il légitime qu'une institution éducative se donne pour objectif de préparer les jeunes à leur vie future ?
- Georges Duhamel écrivait à propos du cinéma, dans les « Scènes de la Vie Future », ces lignes sévères : « C’est un divertissement d’ilotes, un passe-temps d'illettrés, de créatures misérables, ahuries par leurs besognes et leurs soucis. » Partagez-vous cette opinion ?
- Que pensez-vous de la définition du «hasard objectif» proposée par Michel Carrouges (André Breton et les données fondamentales du surréalisme, Gallimard, 1950) : «Le hasard objectif, c'est l'ensemble de ces phénomènes qui manifestent l'invasion du merveilleux dans la vie quotidienne. Par eux, en effet, il s'avère que l'homme marche en plein jour, au milieu d'un réseau de forces occultes qu'il lui suffirait de déceler et de capter pour s'avancer enfin victorieusement, à la face du monde
- Etes vous d'accord avec la place que Michel Carrouges assigne au merveilleux dans la mission du surréalisme : «La mission du surréalisme est de prédire l'entrée de l'humanité dans la zone éblouissante des merveilles. Il entend se servir de la poésie comme des autres arts et de la vie tout entière, pour préfigurer l'avènement du fabuleux royaume. Mais il ne se contente ni de prédire ni de préfigurer. Il est une praxis, il veut conduire effectivement l'humanité vers le but qu'il entrevoi
- Jean Grémillon, metteur en scène de cinéma (mort en 1959), a écrit : « Le cinéma dispose d'une puissance de conviction jamais encore égalée... On ne pourrait inventer un instrument de connaissance plus convaincant ». L'écrivain Georges Duhamel semble d'un avis totalement opposé, lorsqu'il affirme, dans les Scènes de la vie future, que le cinéma « est un passe-temps d'illettrés ». Que pensez-vous de ces deux assertions ?