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LA RAISON (cours de philo - TSTT)

Publié le 29/01/2016

Extrait du document

Lorsque les premi�res affirmations, appelées prémisses, sont considérées comme des évidences données par l'intuition à partir desquelles on déduit avec nécessité une vérité nouvelle, l'on a affaire à un syst�me axiomatico-déductif. Ce syst�me

suppose encore l'acceptation des premiers principes de la raison, principes indé‑ montrables : 1) le principe de non-contradiction (on ne saurait affirmer A et non A en même temps et sous le même rapport) ; 2) le principe d'identité: A reste

identique à lui-même et ne devient pas______ non A, ce qui_____ revient à             attribuer à A une éternelle incorruptibilité, à la différence de toutes les réalités que nous voyons changer et périr autour de nous; ce principe est donc davantage formel ou idéal que réel; 3) le principe du tiers exclu: il n'y aurait que deux valeurs, vrai ou faux,

 

à l'exclusion,      par exemple, du possible et de l'indéterminé.

« 11:o mme ncer La raison démontre qu'elle ne peut ni définir tous les termes, ni prouver toutes les propositions (Blaise Pascal).

li nous faut donc, pour commencer un raisonne­ ment, des termes et des propositions, des bases ou fondations, qui ont une origine autre que la raison: l'intuition, la vraisemblance ou la croyance, l'autorité ou la foi.

Lorsque les premières affirmations, appelées prémisses, sont considérées comme des évidences données par l'intuition à partir desquelles on déduit avec nécessité une vérité nouvelle, l'on a affaire à un système axiomatico-déductif.

Ce système suppose encore l'acceptation des premiers principes de la raison, principes indé­ montrables : 1) le principe de non-contradiction (on ne saurait affirmer A et non A en même temps et sous le même rapport) ; 2) le principe d'identité : A reste identique à lui-même et ne devient pas non A, ce qui revient à attribuer à A une éternelle incorruptibilité, à la différence de toutes les réalités que nous voyons changer et périr autour de nous; ce principe est donc davantage formel ou idéal que réel; 3) le principe du tiers exclu : il n'y aurait que deux valeurs, vrai ou faux, à l'exclusion, par exemple, du possible et de l'indéterminé.

Les mathématiques, jusqu'à une époque récente (exception faite des antiques réfutations des sceptiques), ont été regardées comme le modèle par excellence de la déduction conduisant à des conclusions parfaites.

Les nouvelles géométries et les travaux de K.

Gode! contraignent à ne considérer les mathématiques que comme constructions idéales hypothético-déductives.

Le quatrième des principes fondamentaux de la logique s'appelle .

On peut le formuler de plusieurs façons:>;. »

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