Quel est le point de vue adopté par le narrateur dans cet incipit de roman ?
Publié le 24/08/2014
Extrait du document
Quel est le point de vue adopté par le narrateur dans cet incipit de roman ? Comme il faisait une chaleur de tente-trois degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. Plus bas le canal Saint-Martin, fermé par les deux écluses, étalait en ligne droite son eau couleur d'encre. Il y avait au milieu un bateau plein de bois, et sur la berge deux rangs de barriques. Au delà du canal, entre les maisons que séparent des...
Liens utiles
- En 1865, dans la préface à son roman Une vieille maîtresse, Barbey d'Aurevilly écrit : « La moralité de l'artiste est dans la force et dans la vérité de sa peinture. En peignant la réalité, en lui infiltrant, en lui insufflant la vie, il a été assez moral : il a été vrai. Vérité ne peut jamais être péché ou crime ». En appuyant votre argumentation sur des exemples précis empruntés notamment à la littérature, vous analyserez et apprécierez ce point de vue. ?
- “Enfin, ajouta-t-il en faisant un geste plein d’enfantillage, il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits. Je ne crains, moi, le mépris de personne.” Honoré de Balzac, “Le colonel Chabert” En quoi cette réflexion, formulée par le colonel Chabert à la fin du roman, éclaire-t-elle le point de vue du lecteur sur le personnage de la comptesse Ferraud?
- Enfin, ajouta-t-il en faisant un geste plein d'enfantillage, il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits. Je ne crains, moi, le mépris de personne. Honoré de Balzac, Le colonel Chabert: En quoi cette réflexion, formulée par le colonel Chabert à la fin du roman, éclaire-t-elle le point de vue du lecteur sur le personnage de la comtesse Ferraud?
- Enfin, ajouta-t-il en faisant un geste plein d’enfantillage, il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits. Je ne crains, moi, le mépris de personne. Honoré de Balzac, Le colonel Chabert En quoi cette réflexion, formulée par le colonel Chabert à la fin du roman, éclaire-t-elle le point de vue du lecteur sur le personnage de la comptesse Ferraud?
- Stendhal a exprimé sur le roman ce point de vue qui peut paraître paradoxal : J'ai écrit dans ma jeunesse des biographies (Mozart, Michel-Ange) qui sont une espèce d'histoire. Je m'en repens... On ne peut plus atteindre au vrai que dans le roman. » Pensez-vous comme lui que le roman est un moyen incomparable d' « atteindre au vrai »? Justifiez votre réponse par des exemples précis tirés de vos lectures.